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A C T U 29/08/98
La Corée du Sud en vedette invitée
En 1919, le cinéma coorén est né à Séoul, avec Urijok Gutun (Loyal Revenge); le sommet muet atteint son apogé avec Arirang (1926). Il faut attendre 1935 pour voir le premier film parlant, Chunhyangjon, qui fut un succés au box-office.
Dans les années 60, la production coréenne cumulait jusqu’à 200 films par an, le nombre de salle allait croissant et le public était au rendez-vous.
Cependant le pays fut touché par une crise cinématographique à partir des années 70, donc afin de préserver et d’améliorer la qualité des films, le gouvernement mis en place des aides et la Korean Motion Picture Promotion Corporation fut créée en 1973 pour apporter un soutien financier aux réalisateurs.
Les Jeux Olympiques de Séoul (88) ont contribué au renouveau de l’art cinématographique coréen, le nombre de films étrangers visionnés en Corée passe de 50 à 300 films.
De nos jours ce cinéma s’accorde à dépeindre la vie quotidienne des habitants comme le montre la séléction du FFM cette année.
10 films sont présentés, dont Extras en compétition officielle, au Festival et notons que les réalisateurs ont une moyenne d’âge de 39 ans, ce qui donne un souffle de jeunesse à la création.
De plus les sujets traités balayent les problèmes sociaux, la prostitution, la vie des jeunes dans cette Corée tout essayant de panser les plaies de l’occupation japonaise. Malgré la crise économique, la Corée espère faire renaître son cinéma...(Alix)
Nathalie baille
Nathalie Baye n'a pas été très conciliante avec la presse canadienne.
La star française venue présenter Si
je t'aime prend garde à toi sort d'un marathon médiatique entre la
France (pour la sortie du film) et Montréal (pour le FFM).
Résultat: de nombreuses interviews annulées par l'actrice. sans compter
son exigence pour 1/2 journée de shopping.
Les invités de marquent sont plutôt absents cette année à Montréal. L'un
des rares grands cinéastes prévus, Alain Corneau, aurait annulé sa venue.
(VinCy)
De Irving à Disney
Extraits de la conférence de presse de Simon Birch, présenté en
avant-première mondiale à Montréal. Le film est une adaptation d'un best-seller
de John Irving. Très hollywoodien dans son style, il est aussi un de smoments
forts et émouvants de ce festival.
"Le projet (du film) a été transmis via l’hôpital et j’ai aimé le script."
"J’ai beaucoup appris par mon père (qui était acteur), et Joe (Mazzello)
m’a montré beaucoup de trucs "
"J’ai appris à jouer avant de savoir lire..."
