(c) Ecran Noir 96 - 24 |
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Le saviez-vous ? Nous sommes dans l’année internationale des déserts et de la désertification. A cette occasion, la Cité des sciences et de l’industrie programme un cycle de films et de documentaires, Vivre au désert.
Trois week ends thématiques (Avancée du désert, Peuples du désert et Amoureux du désert) composent cette découverte d’un milieu tout à la fois hostile et fascinant. Projections, débats, diaporama pédagogique pour mieux comprendre cet environnement envahissant (en Asie comme en Afrique) où 135 millions de personnes sont victimes de cette mutation géographique. De la Chine au Mali, de l’Inde au Niger, d’Iran en Australie, du Western au Kalahari, le cinéma a toujours planté ses caméras dans ces décors somptueux.
Fictions à ne pas manquer
Lili et le Baobab, de Chantal Richard (avec Romane Bohringer)
L’émigré, de Youssef Chahine (avec Michel Piccoli)
Les dieux sont tombés sur la tête, hit culte de Jamie Uys (avec une bouteille de Coca Cola)
L’histoire du chameau qui pleure, de Byambasuren Davaa (idéal pour les enfants)
La prisonnière du désert, de John Ford, avec John Wayne. TCM célèbrera les 50 ans de ce film légendaire en décembre. Cannes lui a consacré une projection Cannes Classics.
Un thé au Sahara, de Bernardo Bertolucci (avec Debra Winger et John Malokovich)
«Connaître le désert, c’est, aussi, y pénétrer. Et entrer au Sahara un peu comme on entre en religion.» (Théodore Monod)
v.
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