PRESENTATION

ACTU
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LE JURY
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COMPETITION LONGS METRAGES
COMPETITION COURTS METRAGES
LES "TRIBUTES" - LES HOMMAGES
LE PANORAMA - CINEMA INDEPENDANT
PRIX MICHEL D'ORNANO
RENSEIGNEMENTS



Deauville 97

Deauville 96

24e FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN
DE DEAUVILLE

Deauville 1998

LE PANORAMA



Cette section, élargie cette année, a pour ambition d'être le miroir de la production de l'année.
Les personnalités en bleu sont attendues. Les personnalités en vert sont espérées...


  • SLAM
    de Marc Levin, avec Saul Williams, Bonz Malone, Sonja Sohn.
  • MEN WITH GUNS
    de John Sayles, avec Federico Luppi, Mandy Patinkin.
  • LULU ON THE BRIDGE
    de Paul Auster, avec Mira Sorvino, Harvey Keitel.
  • HAPPINESS
    de Todd Solondz, avec Jane Adams, Lara Flynn Boyle.
  • SLUMS OF BEVERLY HILLS
    de Tamara Junkins, avec Alan Arkin, Marisa Tomei.
  • INDEPENDANT'S DAY
    de Marina Zenovich, avec Steven Soderbergh, Greg Mottola, Neil Labute
    Documentaire
  • INTO MY HEART
    de Anthony Stark et Sean Smith, avec Rob Morrow, Claire Forlani.
  • KURT AND COURTNEY
    de Nick Broomfield, avec Kurt Cobain, Courtney Love, El Duce, Tom Grant.
  • SMOKE SIGNALS
    de Chris Eyre, avec Evan Adams, Adam Veach.
  • YOUR FRIEND AND NEIGHBORS
    de Neil LaBute, avec Jason Patric, Nastassja Kinski, Aaron Eckart, Ben Stiller.
  • SAFE MEN
    de John Hamburg, avec Sam Rockwell, Steve Zahn.


"Deux chiffres publiés dans la dernière édition du magazine professionnel le Film français donnent toute la mesure du problème qu'il incombe à un festival comme celui de Deauville de résoudre: en 1985, les Etats-Unis produisaient 50 films indépendants; en 1997, on en comptait 950. Ces chiffres sont aussi déprimants qu'encourageants: tant mieux pour tous les cinéastes en herbe d'outre-Atlantique et tant pis pour nous, puisqu'il va de soi que les Etats-Unis, pas plus qu'une autre nation, ne sont capables de mettre sur le marché 950 films vraiment intéressants chaque année, qui s'ajoutent de surcroît à la production régulière des studios de Hollywood. Beaucoup de ces films restent donc sur le carreau, sans distributeur ni public, et se cantonnent, au mieux, au circuit des festivals et des campus américains."

Source: Libération - 09/09/98


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