THE SPY WHO SHAGGED ME AUSTIN POWERS L'ESPION QUI M'A TIREE USA Sortie USA / 11 juin 1999 Sortie France / 27 octobre 1999 |
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Fiche Technique Production: New Line Cinema Réalisation: M. Jay Roach Scénario: Michael McCullers, Mike Myers Musique: George S. Clinton Photo: Ueli Steiger Son: Frederick Howard Montage: Debra Neil-Fisher, Jon Poll (95 mn)
Casting: |
Histoire: C'est assez impossible à raconter. Disons que cette parodie de L'espion qui m'aimait, un James Bond, est un aller et retour dans le temps entre les années 90 et les années 60. Il y a des mêchants, une bombe sexuelle et tout finira bien pour l'espion-farce. |
Liens Internet
Galerie de photos Austin Powers Bac Films (distributeur France) Site Officiel Mike Myers |
Agent 00 Sexe
Nouvelle mission pour Austin Powers dans ce deuxième opus racontant l'histoire de l'agent secret le plus insolite dans l'histoire de l'espionnage britannique. Dans le genre "Retour vers le futur" (Back to the furture), Jay Roach, après nous avoir transporté dans années 60 vers les années 90, choisi cette fois de faire envoyer notre agent dans le passé car le vilain Docteur Denfer y fait un passage. En effet, ce dernier souhaite volerle mojo (la libido) d'Austin. Ainsi, l'espion doit retourner dans le passé grâce à une voiture (une coccinelle) capable de voyager dans le temps. Pour le succès de sa mission, il est accompagné de Felicy Bonnebez (nom très évocateur), un agent de la CIA. Dans ce deuxième épisode, Mike Myers incarne à nouveau ce personnage haut en couleurs (au sens propre) qui, comme chacun sait, est doté d'une libido démesurée. A côté de lui, James Bond n'est qu'un petit joueur. Pourtant, tout dans ce film est une parodie des aventures de James Bond. Pis encore. Le long métrage caricature des films comme Jerry Maguire, Independance Day, et aussi Star Wars, le concurrent de sa sortie française (dont la bande-annonce joue beaucoup sur ce "hasard" de la distribution). Dans cette histoire, il y a toujours et encore plein de méchants et de méchantes, dont la très troublante Robin Swallows. Le Docteur Denfer se voit entouré d'un nouveau compagnon, Mini-Moi, un clone miniature que le vilain docteur a créé à son image. Bref, ce long métrage nous offre du délire pur, qui amuse même s'il faut bien reconnaître que, d'un point de vue cinématographique, il s'agit là du visage gras et vulgaire de la connerie. Notamment avec l'apparition également d'un nouveau personnage (joué aussi par Myers), Fat Bastard, un gros lard écossais parfaitement dégoûtant. On saluera donc la triple performance de Mike Myers qui prend plaisir à manier un grand nombre de blagues de mauvais goût. Même les dialogues sont parsemés de vocabulaires en dessous de la ceinture. On notera ainsi le passage où apparaît dans le ciel la fusée du docteur Denfer, qui a tous les attributs d'un membre viril, des personnages déclinent tout le lexique possible et imaginable pour décrire le fameux engin. Ausyin Powers, l'espion qui m'a tirée n'a pas, comme son titre l'indique, la prétention d'élever l'esprit, ni le membre masculin (quoique). Il est tout simplement "sexydélique" et drôle. Chris |
Musique!
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Achats en ligne...
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BUZZZZZ
Le premier épisode envoyait son héros des sixties dans les années 90. Ici, on inverse tout. Le même mauvais goût, les même sous entendus salaces, l'aspect kitsch indispensables. Austin Powers 1 avait été ultra-rentable vu son faible coût. Objet culte pour certains cinéphiles, il a rapporté 100 millions de $ aux USA (cinéma + vidéo). La suite se devait d'exister. On remplace juste Hurley Elizabeth, brune et british, par Graham Heather, blonde et californienne. Heather avait déjà allumé pas mal de garçcons en star du porno et du roller dans Boogie Nights. Hurley fait quand même un caméo... |
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