(c) Ecran Noir 96 - 24 |
|
|
Les Présidents
- Emir Kusturica : Compétition Officielle
- Abbas Kiarostami : Caméra d'Or
- Alexander Payne : Un Certain Regard
- Edward Yang : Courts métrages et Cinéfondation
Les jurys
Jury des longs métrages: Emir Kusturica, président (réalisateur - Serbie-Montenegro); Toni Morrison (écrivain - Etats-Unis); Nandita Das (actrice - Inde); Salma Hayek (actrice - Mexique); Agnès Varda (réalisatrice - France); John Woo (réalisateur - Chine); Fatih Akin (réalisateur - Allemagne); Javier Bardem (acteur - Espagne); Benoît Jacquot (réalisateur - France)
Jury de la Cinéfondation et des courts métrages: Edward Yang, président (réalisateur - Taïwan) ; Chantal Akerman (réalisatrice - Belgique) ; Sylvie Testud (atrice - France) ; Yousry Nasrallah (ralisateur - Egypte) ; Colin MacCabe (critique et écrivain - Irlande)
Jury "Un Certain Regard" (section officielle parallèle): Alexander Payne, président (réalisateur et scénariste - Etats-Unis) ; Betsy Blair (actrice - Etats-Unis) ; Sandra Den Hamer (directrice du Festival de Rotterdam - Pays-Bas) ; Katia Chapoutier (journaliste - Canada) ; Geneviève Welcomme (journaliste - France) ; Gilles Marchand (réalisateur et scénariste - France) ; Eduardo Antin (Quintin) (critique et écrivain - Argentine)
Jury de la "Caméra d'Or" (meilleur premier film): Abbas Kiarostami, président (réalisateur - Iran) ; Patrick Chamoiseau (écrivain - France) ; Malik Chibane (réalisateur - France) ; Romain Winding (directeur de la photographie - France) ; Scott Foundas (critique - Etats-Unis); Roberto Turigliatto (Festival de Turin - Italie) ; Luc Pourrinet (technicien - France); Yves Allion (critique - France); Laura Meyer (cinéphile - France)
Maîtresse de Cérémonie :
Cécile de France
Nouveautés : Cannes pour les enfants (avec un extrait du prochain Kirikou), programme Tous les cinémas du monde, L'Atelier du festival, Hommages à James Dean, au 100 ans du Cinéma Chinois, Leçon de comédien par Catherine Deneuve
44ème Semaine de la Critique
Otor Iosseliani, parrain
- Grain in Ear, de Zhang Lu
- L'Orizzonte Degli Eventi (L'horizon des événements), de Daniele Vicari
- Me and You and Everyone We Know, de Miranda July
- A Stranger of Mine, d'Uchida Kenji
- Orlando Vargas, de Juan Pittaluga
- The Great Ecstasy of Robert Carmichael, de Thomas Clay
- La Petite Jérusalem, de Karin Albou
- Les invisibles, de Thierry Jousse (Hors compétition)
- L'imposture, de Patrick Bouchitey (séance de minuit)
- Los Heroes y el Tiempo, d'Arturo Ripstein (séance et débat)
- Hommage au cinéma africain (Drum, Giorgobistve)
- Junebug, de Phil Morrison (clôture)
|
|
|
LE FESTIVAL EN DIRECT C'EST EN CLIQUANT ICI (CANNES-FEST.COM)
FILMS EN COMPETITION
Le retour des palmés... ou des habitués. 4 anciennes Palmes, aucun de documentaires, pas de cartoons, une série de monstres sacrés et d'auteurs "cannois". D'un film irakien au premier film de Tommy Lee Jones, point de fureur. Les films parlent de paternité, de responsabilité, d'avenir. On ne peut que regretter quelques oublis ou absents (pas prêts, pas bons?)... On pense notamment au cinéma argentin, espagnol, brésilien... Le manque de sang neuf est flagrant, hormis un Mexicain et un Irakien (deux des films à surveiller). Venise devrait, comme l'an dernier, en récolter quelques pépites. En attendant le Festival de Cannes 2005, 58ème du nom, mise sur les valeurs sûres, ses acquis, un bon fond d'investissement peuplé de grands noms (belles marques). D'un point de vue continental, l'Asie et l'Amérique sont les grands gagnants. L'Afrique l'éternelle disparue. Médiatiquement, peu de révélations, quelques stars (d'Eva Marie Saint à Lauren Bacall, de Natalie Portman à Scarlett Johansson) et surtout un match de vétérans sous le regard d'un double palmé : fera-t-il entrer un nouveau membre dans ce club très select, sacrera-t-il un grand cinéaste méritant ou décidera-t-il de couronner un nouveau venu, un regard singulier? En gros, sera-t-on KO ou OK le 22 mai? Nous serons sur place pour vous le dire. (site dédié : Cannes fest)
- Lemming (Ouverture), de Dominik Moll
- Peindre ou faire l'amour, d'André et Jean-Marie Larrieu
- Caché, de Michael Haneke (portrait)
- Don't Come Knockin', de Wim Wenders
- Last Days, de Gus Van Sant
- Manderlay, de Lars Von Trier (portrait)
- L'enfant, de Luc et Jean-Pierre Dardenne
- Where the Truth Lies, d'Atom Egoyan (portrait)
- History of Violence, de David Cronenberg (portrait)
- Sin City, de Frank Miller et Robert Rodriguez (portrait)
- Broken Flowers, de Jim Jarmusch (portrait)
- The Three Burials of Melquiades Estrada, de Tommy Lee Jones (portrait)
- Free Zone, d'Amos Gitaï
- Une fois que tu es né, tu ne peux plus te cacher, de Marco Tullio Giordana
- Basing, de Masahiro Kobayashi
- Shanghai Dreams, de Wang Xiaoshuai
- The Best of our Times, d'Hou Hsiao-Hsien
- Election, de Johnny To
- Batalla en el cielo (Bataille dans le ciel), de Carlos Reygadas
- Kilomètre zéro, de Hiner Saleem
HORS COMPETITION
Grands écarts du cambodgien Rithy Panh à l'épisode 3 de Star Wars. Entre auteurs et films de genre, surprises et documentaires, ce fourre-tout devrait révéler quelques spécimens incongrus mais passionnants, as usual. Sans compenser les failles habituelles de Cannes : certains territoires, certains cinémas sont toujours écartés de la Croisette.
- Chromophobia (Cloture), de Martha Fiennes
- Match Point, de Woody Allen (portrait)
- Star Wars Episode III: Le Retour des Sith, de George Lucas (la saga)
- Joyeux Noël, de Christian Carion
- Kiss, kiss, bang, bang, de Shane Black
- Dal kom han in-saeng (A bittersweet life), de Kim Jee-won
- Midnight movies : from the margin to the mainstream, de Stuart
Samuels
- Crossing the bridge, de Fatih Akin
- The power of nightmares (Le pouvoir des cauchemars), d'Adam Curtis
- Nekam achat mishtey eynay (Pour un seul de mes yeux), d'Avi Mograbi
- Les artistes du théâtre brûlé, de Rithy Panh
- Operetta tanukigoten (Princess Raccoon), de Seijun Suzuki
- C'est pas tout à fait la vie dont j'avais rêvé, de Michel Piccoli (portrait)
- Cindy, de Bertrand Bonello
UN CERTAIN REGARD
De nombreux premiers films, une internationalisation toujours plus poussée, des pays oubliés par la Compétition officielle mais aucun nom majeur, hormis les Français, ce qui est une nouveauté, pour cette sélection en perpétuelle quête d'identité. Ozon et Jolivet permettront-ils de porter un certain regard à cette sélection au tapis bizarrement bleu?
- Sangre, d'Amat Esacalante
- Cinema, aspirinas e urubus (Cinéma, aspirines et vautours), de
Marcelo Gomes
- Schläfer, de Benjamin Heisenberg
- Falscher bekenner, de Christoph Hochhäusler
- Down in the valley, de David Jacobson
- Tawa dura yanna (La terre abandonnée), de Vimukthi Jayasundara
- Voksne Mennesker, de Dagur Kari
- Yek shab (Une nuit), de Niki Karimi
- Hwal, de Kim-Ki-duk
- Jewboy, de Tony Kravitz
- Cidade Baixa, de Sergio Machado
- The king, de James Marsh
- Johanna, de Kornél Mundruczo
- Unmoregi (La forêt oubliée), de Kohei Oguri
- Mortea Domnului Lazarescu, de Criti Puiu
- Yellow fella, d'Ivan Sen
- Nordeste, de Juan Solanas
- Delwende" (Lève-toi et marche), de S. Pierre Yameogo
- Le filmeur, d'Alain Cavalier
- Zim and co. (La caisse), de Pierre Jolivet
- Le temps qui reste, de François Ozon (portrait)
- Habana blues (Cloture), de Benito Zambrano
Vincy
|
|
|