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Simone Genevois

Jury du 10e Prix

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Remise du prix

Interview du lauréat 1998

LE PRIX SIMONE GENEVOIS 1998

Jean Tulard, nouveau lauréat du 10ème Prix Simone Genevois, pour “le Guide des films”.





Par Bertrand Amice.
Jean Tulard

Le restaurant DROUANT a accueilli pour la dixième année le Prix Simone Genevois primant la meilleure oeuvre littéraire cinématographique et universitaire sur le septième art.

Sous la présidence de Claude Sautet (réalisateur et auteur), le jury était composé de diverses personnalités telles que :

  • André Conti (membre d’honneur et fondateur du prix Simone Genevoix)
  • Gustave Leven (membre d’honneur)
  • Laetitia Conti (petite-fille de Simone Genevois et membre d’honneur)
  • Alexandre Astruc (scénariste, metteur en scène et romancier)
  • Claude Beylie (critique, journaliste et écrivain)
  • Henri Mercillon (professeur et écrivain)
  • Dominique Muller (journaliste et écrivain de cinéma)
  • Michel Mourlet (critique et théoricien sur le cinéma)
  • Dominique Rabourdin (critique de cinéma et réalisateur de télévision)
  • Yves Rousset Rouard (écrivain, producteur et fondateur de Trinacra films)
  • Bertrand Tavernier (réalisateur, scénariste et producteur de cinéma)
  • Jean Paul Török (professeur de cinéma à Paris 1, scénariste et écrivain)

Le Prix du meilleur travail universitaire est attribué ex-aequo à Patrice Alain de l’université de Nantes pour une thèse de doctorat sur Jacques Viot “les avant-gardes d’instituts et littéraire au scénario des nouveau esprits”, et à Dominique Dupuis de Paris I pour sa thèse de doctorat Paul Sheader “le discours de la méthode”.

A l’occasion du dixième anniversaire, une mention spéciale est attribuée à Pascal Manuel Eu pour un mémoire de maîtrise d’histoire contemporaine sur Emile “Guyermose et Paul Soudet et cinéma” soutenue devant l’université de Versailles.

Jean Tulard, Historien et auteur du Dictionnaire du cinéma :
“Je dois dire que j’ai déjà été récompensé pour des travaux napoléoniens, jamais pour le cinéma (...) J’ai toute fois une petite inquiétude, c’est que l’on dira pour Tulard c’était le prix Albert Dieudonné qui lui fallait, interprète de Napoléon au temps du cinéma et bien je m’engage à écrire bientôt une vie de Jeanne d’Arc pour bien justifier le prix Simone Genevois, Merci”.



© 1998 Ecran Noir / Christophe Train.