Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.
Production : Mandarin films, Gaumont Distribution : Gaumont Réalisation : Michel Hazanavicius Scénario : Michel Hazanavicius, Jean-François Halin, d'après l'oeuvre de Jean Bruce Montage : Reynald Bertrand Photo : Guillaume Schiffman Décors : Maamar Ech-Cheikh Son : Didier Sain Musique : Ludovic Bource Costumes : Charlotte David Durée : 100 mn
Jean Dujardin : Hubert Bonisseur de la Bath, OSS 177
Louise Monot : Dolorès
Alex Lutz : Heinrich
Rüdiger Vogler : Von Zimmel
Ken Samuels : Trumendous
Reem Kherici : Carlotta
Pierre Bellemare : Lesignac
1967. Douze après sa mission au Caire, OSS 117 est envoyé à Rio pour effectuer une transaction avec un ancien nazi, détenant une liste compromettante de collabos français. Il devra s'associer avec le Mossad israélien, et plus particulièrement la belle Dolorès, lieutenant pas commode.
En trouvant le jeune Heinrich, un hippie, ils espèrent pouvoir atteindre son père, Von Zimmel, qui détient le micro-film tant recherché. Mais en fait Von Zimmel a un dessein bien plus important. La CIA, de son côté, joue double jeu. Et OSS est en plus porsuivi par une horde de Chinois qui veulent se venger d'une mission de notre espion à Gstaadt, où il a trucidé plusieurs membres d'une triade.
Evidemment, tout cela n'est pas aidé par la bêtise et l'ignorance de OSS 117.