Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.
Production : Caméra Lucida, La géode productions Distribution : La Géode Réalisation : François Bertrand Scénario : François Bertrand, Marie Sellier, d'après une idée dePeter Knapp Photo : Vincent Mathias Format : 70 mm Musique : Armand Amar Durée : 40 mn
Jacques Gamblin : Van Gogh
Peter Knapp : lui même
Hélène Seuzaret : la conservatrice
Moi, Van Gogh propose une vision tout à fait nouvelle de l’artiste.
Cette vision est celle de Peter Knapp et François Bertrand qui ont voulu un film à la fois centré sur le travail du peintre, construisant une relation intime avec l’homme, et résolument spectaculaire dans son traitement graphique grâce au procédé 70 mm/15 perforations - IMAX.
Véritable voyage aux sources de l’inspiration artistique de Van Gogh, le film permet au grand public de découvrir, pour la première fois en format géant, l’oeuvre, la force et la liberté de l’un des plus grands peintres du monde.
Des Pays-Bas, à Auvers-sur-Oise, en passant par Arles, Saint-Rémy et Paris, Moi, Van Gogh retrace le parcours artistique du peintre depuis ses premières toiles à l’âge de 27 ans jusqu’à sa mort à 37 ans, le 29 juillet 1890.
A travers trois personnages, une conservatrice, un réalisateur et surtout Vincent Van Gogh lui-même, le film évoque cette courte
période, seulement dix ans, durant laquelle il a peint plus de 700 tableaux.
Le public, grâce au plus grand et au plus fin format du cinéma, conçu pour les écrans géants, vit une véritable immersion dans
l’univers de Van Gogh.