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						Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.  					 | 
				 
			  
			 
   
			 
		 
   
			 
			 
   
			 
			 
 
  
 
  (c) Ecran Noir 96 - 25 		 | 
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						  Acacias  
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									Production : CPD, Arte France Cinema, Onyx 									Distribution : Les acacias 									Réalisation : Pavel Lounguine 									Scénario : Guennadi Ostrovskii, Pavel Lounguine 									Montage : Sophie Brunet 									Photo : Mikhail Kritchman 																		Décors : Sergei Brjestovski 																		Musique : Michel Arbatz, Roch Havet, Youval Micenmarcher
 																																																						Durée : 106 mn 									  
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                                           Konstantin Khabensky : Edik 
                                           Natalia Koliakanova : Regina 
                                           Leonid Kanievsky : Baruch 
                                           Esther Gorintin : Esther 
                                           Otto Tausig : Samuel 
                    								 
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					  Familles à vendre
   
					Russie / 2005
   
					25.01.06  
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  La carrière de Pavel Lounguine a commencé sur les chapeaux de roue : en 1990 son premier film Taxi Blues est présenté au Festival de Cannes, emportant à défaut d’un prix le succès de la critique. Un succès bien rapide, confirmé deux ans plus tard par Luna Park, lui aussi présenté sur la Croisette. L’enjeu de son dernier long métrage Familles à vendre est de savoir si le regard du cinéaste est toujours aussi acéré, prompt à critiquer les vicissitudes d’une société russe qu’il nous à habitué à observer avec une cruauté caustique. Il faut bien avouer que le regard a perdu de son mordant. Même si l’authenticité est toujours de mise, la noirceur et le cynisme se sont évaporées depuis Lignes de vie (1996), critique de la mafia et Un nouveau russe (2002) où il prenait pour cible la nouvelle société russe victime du libéralisme. Une touche d’optimisme et de poésie parcourt ce film. A l’heure où les Russes sont en conflit avec leurs voisins ukrainiens et georgiens pour faire transiter le gaz vers les pays d’Europe occidentale, leur reprochant de faire main basse sur leur or bleu, on se demande où le cinéaste est allé chercher cet optimisme.   victor
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