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Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes. |
(c) Ecran Noir 96 - 24 |
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Production : Les Films Pelléas, Les Films du Fleuve, Glem Film, RTBF
Distribution : Rezo films
Réalisation : Dominique Cabrera
Scénario : Dominique Cabrera, Cécile Vargaftig, Gilles Marchand
Montage : Francine Sandberg
Photo : Hélène Louvart
Son : Frédéric Demolder
Musique : Béatrice Thiriet
Durée : 95 mn
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Le lait de la tendresse humaine
France / 2001
19.09.2001
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Dominique Cabrera a commencé par réaliser des documentaires politiques : Rester là-bas sur les pieds-noirs qui sont restés en Algérie après l'indépendance (1991), Chronique d'une banlieue ordinaire (1992) et Un poste à la Courneuve (1994). En 1996, elle passe à la fiction tout en restant sur le plan politique (L'autre côté de la mer avec Claude Brasseur et Roshdy Zem). Après Demain et encore demain (1998), Elle réalise Nadia et les hippopotames (1999), avec Ariane Ascaride et déjà Marilyne Canto.
Cette fois, avec Le lait de la tendresse humaine, Dominique Cabrera se démarque du sujet politique pour aborder une dimension davantage psychologique.
Le film a été tourné dans le Jura en cinémascope.
Le film a reçu un prix pour l'ensemble des performances d'acteur au Festival de Locarno.
laurence
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