|
|
Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes. |
(c) Ecran Noir 96 - 25 |
|
 |
|
|
Production : Ciné B, Cinéma parisien, Pathé Image, TF1 Films, Zoulou films, Media Suits
Distribution : Pathé
Réalisation : Patrice Leconte
Scénario : Patrice Leconte, Serge Frydman
Montage : Joëlle Hache
Photo : Eduardo Serra
Son : Paul Lainé
Costumes : Christian Gasc, Edwige Morel d'Arleux
Durée : 91 mn
|
|
Patrick Timsit : Petit Louis
Laetitia Casta : Marion
Vincent Elbaz : Dimitri Josco
Catherine Mouchet : Lena
Isabelle Spade : Camille
Bérangère Allaux : Violette
Dolores Chaplin : Dolores
Samuel Labarthe : l'homme silencieux
|
|
|
|
|
|
Rue des plaisirs
France / 2002
13.02.02
|
|
 |
|
|
|
Le scénario de la Rue des Plaisirs a été écrit par Serge Frydman, qui collabore pour la quatrième fois avec Patrice Leconte. Il a déjà été l'auteur des scénarios des Grands Ducs, Une Chance sur Deux, La Fille sur le Pont. Pour son dernier long-métrage, Patrice Leconte a entièrement fait confiance à son scénariste en lui promettant de tourner le film avant même d'en avoir rien lu.
Le réalisateur reconnaît ne pas se documenter outre mesure sur la période qu'il traite. Ainsi, pour Ridicule n'a-t-il pas spécialement étudié le XVIIIème siècle, pas plus que le XIXème pour La Veuve de Saint Pierre. De la même façon, pour Rue des Plaisirs, il a préféré faire appel à ses souvenirs (Patrice Leconte est né peu de temps après la guerre) et à son imagination pour créer un univers doux, coloré et chaleureux quelque peu éloigné de la réalité des maisons closes.
Côté lupanars justement, l'action se déroule au moment de la loi Marthe Richard visant à fermer toutes les maisons de prostitution.
laurence
|
|
|
