Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



Ailleurs
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary
Effacer l'historique
Ema
Enorme
La daronne
Lux Æterna
Peninsula
Petit pays
Rocks
Tenet
Un pays qui se tient sage



J'ai perdu mon corps
Les misérables
The Irishman
Marriage Story
Les filles du Docteur March
L'extraordinaire voyage de Marona
1917
Jojo Rabbit
L'odyssée de Choum
La dernière vie de Simon
Notre-Dame du Nil
Uncut Gems
Un divan à Tunis
Le cas Richard Jewell
Dark Waters
La communion



Les deux papes
Les siffleurs
Les enfants du temps
Je ne rêve que de vous
La Llorana
Scandale
Bad Boys For Life
Cuban Network
La Voie de la justice
Les traducteurs
Revenir
Un jour si blanc
Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn
La fille au bracelet
Jinpa, un conte tibétain
L'appel de la forêt
Lettre à Franco
Wet Season
Judy
Lara Jenkins
En avant
De Gaulle






 (c) Ecran Noir 96 - 24


  



Donnez votre avis...


Nombre de votes : 75

 
Benjamin Gates et le livre des secrets (National Treasure : Book of Secrets)


USA / 2007

13.02.2008
 



UN FILM DE JON TURTELDAUBE





"Personne n'a lu mon livre?"

Déjà le premier épisode nous avait laissé de marbre. Une sorte de héros entre Tintin et Indiana Jones, sans la personnalité de l'un ni l'humour de l'autre. Une énième chasse au trésor, avec complot et parano comme ennemis, où tout se termine bien, sans aucune cohérence.
Nous serons donc courts sur le second tant il n'y a rien à dire. Les producteurs en ont juste mis une dose de plus en paysages exotiques (Benjamin Gates World Tour 2008), en niveau sonore, en enjeu dramatique (Lincoln est appelé à la rescousse de cette Amérique qui a perdu toute confiance en l'Etat). Au casting initial, on rajoute un peu de prestige (Dame Helen Mirren, pardonnée), du sang jeune et frais, quelques gueules qui raviront les cinéphiles (Ed Harris). Une affiche 100% Wasp ceci dit,, qui, avec l'absence complète de sexe, prouve bien que l'on vise un public conservateur et pas très exigeant. Eventuellement, cela amusera les enfants.
Le script sans saveur, le film indigeste, les manipulations de l'Histoire au nom du divertissement font tourner la machine à vide avec beaucoup de fracas. Pas de suspens, pas de dérision, du formatage sans références, et surtout, un Cage inexistant dans ce personnage qui n'est jamais vraiment en péril. Même pas efficace. Juste abrutissant.
 
v.

 
 
 
 

haut