Coeurs transis ou coeurs brisés, en un clic fixez sa cote.
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ELBAZIQUE
Vincent Elbaz attrappe le virus artistique dès l'âge de 9 ans quand on lui offre un projecteur 8mm.
Après différents déboires, et quelques prestations en public, il s'inscrit au cours Florent. Motivé.
C'est là qu'il découvre une annonce de Cédric Klapisch, qui cherchait "un grand con". Le début de l'aventure cinématographique... Le Péril jeune propulse le jeune homme dans les étoiles ascendantes.
Et comme il le dit lui-même : "A part les films de cul et d'horreur, je suis prêt à tout jouer".
En 1997, Vincent Elbaz est Randonneur et pote du Sentier. Le triomphe de La vérité si je mens et le succès surprise du Philippe Harrel le rendent populaire, sans qu'il soit reconnu comme tête d'affiche. De petits films en grosses comédues françaises, de seconds rôles délirants en courts métrages, il s'installe dans le paysage. La Parenthèse enchantée lui permet d'étendre son image et son talent. Dans le désastreux Absolument fabuleux, il joue les jeunes séducteurs sages. Son allure lui donne souvent cet aspect chevaleresque et tombeur, mais bizarrement il est très à l'aise pour se prendre des rateaux. Y compris au box office (Rue des Plaisirs).
Pourtant, Elbaz commence à faire des choix intéressants : homme marié mais dragueur invétéré dans un Michel Blanc, beau juif chez Deville, loubard sensible chez Klapish, Mousquetaire pour la télé, Prince pour Podalydès...
L'acteur est pour l'instant dans l'ombre des grands, mais déploie une jolie envergure, loin des ambitions et du marketing. Pour l'instant.
vincy, chris
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