Hayden Christensen
(Life as a house)
Le futur Anakin Skywalker a réussit une entrée brillante avec ce film art et essai où il joue un ado
sexuellement un peu obsédé. Son physique devrait faire craquer les filles.
Viggo Mortenssen
(Lord of the Rings)
Il sera Aragorn pour l'éternité. On ne peut plus parler de jeune premier, mais il a rarement été si
bien employé. Artiste peintre, photographe, poète, et polyglotte, il a su rester indépendant.
Daniel Radcliffe
(Harry Potter)
Le cadet de l'année porte sur ses frêles épaules la lourde responsabilité d'être le sorcier le plus
populaire de la planète. On espère que le succès d'Harry Potter ne deviendra pas un maléfice.
Robinson Stévenin
(Mauvais genres)
Dans la smala Stévenin, on a choisi Robinson. Le beau gosse a réussi le tour de passe de faire
croire à son rôle de travelo dans un polar sordide. Pas si mauvaises fréquentations finalement...
Teddy Bear
(A.I.)
Discret mais essentiel, ce Jimmy Cricket des temps modernes suit son maître, un robot-enfant. Il
est la voix de la sagesse et un irrésistible moment de légèreté au milieu des mécaniques
Cyril Troley
(Paria)
Il s'agit du premier rôle au cinéma pour cet ancien paysagiste ; il s'est retrouvé plongé dans le
monde des sans abris. Avec Gérald Thomassin, il navigue à vue dans un cauchemar. Formidable.
Owen Wilson
(Zoolander, The Royal Tenenbaums, Behind enemy lines)
Ce grand blond aux allures de cowboy a cumulé les jobs : lieutenant de l'armée, top model crétin et
zen, et scénariste du bizarroïde film d'Anderson. Wilson voit son fan club s'agrandir.