Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.
Production : TS productions, F comme film, Arte France Cinéma Distribution : Rezo films Réalisation : Stéphane Brizé Scénario : Stéphane Brizé, Florence Vignon, d'après le roman de Eric Holder Montage : Anne Klotz Photo : Antoine Héberlé Décors : Valérie Saradjian Musique : Ange Ghinozzi Costumes : Ann Dunsford Durée : 101 mn
Jean est un homme marié comblé. Il aime sa femme, leur fils, son boulot manuel. Il est aussi un fils attentionné, rendant visite à son père, déclinant. Il s'autorise juste un moment à lui, de liberté, ou de contemplation, là où le vent souffle, où la vue est imprenable.
Un jour, il croise l'institutrice de son gamin. Véronique Chambon. Hasards et coïncidences, ils se revoient. Elle a besoin d'un avis expert sur ses fenêtres, qui font passer les courants d'air. Alors que Jean lui refait son cadre de fenêtre, ils font connaissance. Véronique jouait du violon. Il lui demande d'en jouer. Il tombe amoureux.
