Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.
Production : Kizmar Films, Noodles productions Distribution : La Belle Company Réalisation : Olivier Jahan Scénario : Olivier Jahan, Diastème Montage : Jean-Baptiste Beaudoin Photo : Fabien Benzaquen Décors : Benoît Pfauwadel Musique : Patrick Watson Durée : 102 mn
Emma De Caunes : Eléonore
Yannick Renier : Samuel
Jeanne Rosa : Claire Andrieux
Christine Brucher : Maëlle Prigent
Alain Chamfort : le père
Gaëlle Bona : Laure
Paul Bandey : Bill
Nathan Rippy : Alistair
Éléonore, la trentaine, vient de perdre son père. Il lui a légué sa maison en Bretagne, dans les Côtes d’Armor. Elle est photographe, a connu un certain succès mais les affaires ne marchent plus comme avant. Il faut absolument qu’elle vende cette maison.
Elle s’y rend avec Samuel, son ancien compagnon dont elle s’est séparée il y a quelque temps, parce qu’elle ne se sent pas d’aller seule dans cette maison où elle n’est pas retournée depuis la mort de son père. Mais elle joue avec le feu - car elle sait bien que leur relation ne s’est pas franchement apaisée, même si elle a eu depuis quelques aventures et que Samuel vit à présent avec Laure.
Claire Andrieux, l’agent immobilier, s’est occupée d’organiser des visites durant les deux jours où Éléonore et Samuel vont rester dans la maison.
C’est un drôle de week-end que ces trois-là s’apprêtent à passer, dont Éléonore et Samuel sortiront forcément changés.