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Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes. |
(c) Ecran Noir 96 - 24 |
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(c) Metropolitan Films
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Production : New Line Cinema
Distribution : Metropolitan Filmexport
Réalisation : James Wong
Scénario : Glen Morgan, James Wong, Jeffrey Reddick
Montage : Chris G. Willingham, A.C.E.
Photo : Robert McLachlan
Décors : Mark S. Freeborn, Mark Lane
Son : Rob Young
Musique : Shirley Walker
Effets spéciaux : International SPFX, Soho VFX
Maquillage : Toby Lindala, Harlow MacFarlane, J.P. Mass
Directeur artistique : Tony Wohlgemuth
Durée : 95 mn
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Mary Elizabeth Winstead : Wendy Christensen
Ryan Merriman : Kevin Fischer
Kris Lemche : Ian
Sam Easton : Frankie Cheeks
Alexz Johnson : Erin
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Destination finale 3 (Final destination 3)
USA / 2006
22.03.06
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Tandem inséparable (leur collaboration datant de leurs activités télévisuelles sur 21 Jump Street, X-Files…), James Wong et Glen Morgan alternent les projets en commun en échangeant ou cumulant les casquettes de producteur, scénariste et réalisateur. Ainsi lorsque Glen Morgan fit ses début derrière la caméra pour le remake de Willard, James Wong s’activait à la production.
Pas de grande nouveauté en vue pour cette troisième destination, si ce n’est que le duo récupère son bébé, délégué lors du second à David R. Ellis pour la partie mise en scène et au scénariste Jeffrey Reddick (qui est resté à bord sur l’ensemble de la trilogie). Chacun son tour, Black Christmas, le prochain film de Wong et Morgan sera réalisé par le premier (qui semble vouer une affection particulière pour les remakes des films d’épouvante des années 70) et produit par le second.
Gros morceau du tournage, les prises de vue de la fête foraine ouvrant le film ont été tournées dans un parc d’attraction de Van Couver, imposant au casting un nombre conséquent de tours de manège. Certains plans plus délicats nécessitèrent de reconstituer un tronçon de l’attraction atteignant 50m de long en studio tandis que les moments les plus spectaculaires demandèrent l’utilisation exclusive du digital.
Les interprètes de ce troisième volet peuvent difficilement prétendre déjà figurer au panthéon des légendes d’Hollywood. Dans les rôles principaux, Mary Elizabeth Winstead inaugure sa deuxième tête d’affiche après sa performance de bad girl dans le calamiteux Sky High de Disney. Quant au juvénile et télévisuel Ryan Merriman, il n’avait qu’essentiellement inscrit son nom au générique de la suite de The Ring, auquel figurait également celui – le monde est petit - de sa partenaire de Destination Finale 3.
C’est une tradition dorénavant, tous les trois ans la franchise Destination Finale permet à ses producteurs de doubler leur investissement mesuré par un succès modeste mais constant en salle. Le troisième épisode ne dérogera pas à la règle. Jamais 3 sans 4 ?...
PETSSSsss-
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