Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



Ailleurs
Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary
Effacer l'historique
Ema
Enorme
La daronne
Lux Æterna
Peninsula
Petit pays
Rocks
Tenet
Un pays qui se tient sage



J'ai perdu mon corps
Les misérables
The Irishman
Marriage Story
Les filles du Docteur March
L'extraordinaire voyage de Marona
1917
Jojo Rabbit
L'odyssée de Choum
La dernière vie de Simon
Notre-Dame du Nil
Uncut Gems
Un divan à Tunis
Le cas Richard Jewell
Dark Waters
La communion



Les deux papes
Les siffleurs
Les enfants du temps
Je ne rêve que de vous
La Llorana
Scandale
Bad Boys For Life
Cuban Network
La Voie de la justice
Les traducteurs
Revenir
Un jour si blanc
Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn
La fille au bracelet
Jinpa, un conte tibétain
L'appel de la forêt
Lettre à Franco
Wet Season
Judy
Lara Jenkins
En avant
De Gaulle






 (c) Ecran Noir 96 - 24


  

Production : MACT, K2, France 2, Sintra
Réalisation : Nae Caranfil
Scénario : Nae Caranfil, d'après le roman de Frédéric Vitoux
Montage : Maryline Monthieux
Photo : Christian Comeaga
Musique : Nicolas Piovani
Durée : 105 mn
 

François Cluzet : Henri Beyle, Stendhal
Isabella Ferrari : Joséphina
Giancarlo Giannini : le Comte Nencini
Pierfrancesco Favino : Rossini
 

 
 
Dolce Farniente


Italie / 1999

31.03.99
 

Frédéric Vitoux est d'abord journaliste au Nouvel Obs. Il a écrit "Dolce Farniente" en 94 et a reçu le Grand Prix du Roman de l'Académie Française.




Un contexte historique complexe et incompréhensible, un cinéaste roumain qui ne connaissait pas l'Italie, et donc une ntreprise a priori impossible rendaient difficiles la pré prod du film.
Evidemment toute l'histoire n'est qu'invention...
Dommage que le film ne bénéficie pas d'une promo plus importante. Encore une oeuvre qui manquera de toucher le grand public en salles. En espérant qu'il fera le bonheur des téléspectateurs. Shakespeare est de toute façon plus à la mode.

Stendahl:
"J'étais bien plus fou, mais bien plus heureux quand, sans en rien dire à personne, je songeais toujours aux passions que je me croyais à la veille d'éprouver, et peut être d'inspirer."

Rossini:
"On dit que je n'ai pas été sans succès auprès des femmes, et je vous prie de croire que ce ne sont pas les sottes que j'ai choisies."

Stendahl:
"J'ai toujours tout écrit comme Rossini écrit sa musique."
 
vincy
 
 
 
 

haut