|
Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes. |
(c) Ecran Noir 96 - 24 |
|
|
Bac films
|
|
Production : Arcapix Réalisation : Jean-François Stévenin
Scénario : Jean-François Stévenin Montage : Emmanuelle Castro
Photo : Pierre Aïm Décors : Mathieu Menut
Son : Daniel Ollivier Musique : Philippe Miller Durée : 116 mn
|
|
Jean-Paul Roussillon : Mischka
Jean-François Stévenin : Gégéne
Rona Hartner : Joli Coeur
Salomé Stévenin : Jane
Yves Afonso : Robert
Jean-Paul Bonnaire : Muller
Elisabeth Depardieu : la tante
Johnny Hallyday : le mec sur la route
|
|
|
|
|
|
Mischka
France / 2002
20.02.02
|
|
|
|
|
|
Jean-François Stévenin s'était essayé à la réalisation à deux reprises : Passe Montagne en 1978 et Double Messieurs en 1986 (deux films de " montagne "). La première version du scénario de Mischka ne lui plaisait qu'à demi en raison de " noirceurs gratuites " et de " trépidations inutiles ". Raison pour laquelle il l'a laissé mûrir pendant dix ans. Entre temps, il a manifesté l'envie de se réchauffer sur les plateaux des autres, en enrichissant sa filmographie de rôles multiples et marquants.
Une aventure extraordinaire à chaque embarquée sur les plateaux de tournages. Une fois l'écriture de Mischka retravaillée, le scénario a pris corps dans une structure finement chorégraphiée en y intégrant cette forte proportion de hasard et d'imprévu, motif récurrent dans son approche cinématographique. Et, le film est devenu comme un " bouquet de vie " avec des décors respirant la France profonde, entre la Bourgogne et la Gironde.
Stévenin a voulu filmer la France par petites touches : une cathédrale romane, des ouvriers algériens sur des échafaudages en train de restaurer le patrimoine etc. A noter, l'apparition à l'écran complètement surréaliste de Johnny Hallyday, son grand pote... agnès
|
|
|