Avec Dark Waters, Todd Haynes s'invite dans le film engagé (côté écolo), le thriller légaliste et l'enquête d'un David contre Goliath. Le film est glaçant et dévoile une fois de plus les méfaits d'une industrialisation sans régulation et sans normes.



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IMAX L5 : First City in Space (L5 : Cité de l'Espace - L5 : First City in Space)


USA / 1996


 



IL ÉTAIT UNE FOIS... L'ESPACE

Le livre Bye Bye Bahia



L'histoire n'est pas très originale, et révèle une grande naïveté dans le propos. On croirait le synopsis d'un épisode de la série animée de Albert Barillé, "Il Était Une Fois.. L'Espace".
Cependant là n'est pas l'important.
De par son coût "astronomique", le format est réduit à 40 minutes, et nous frustre presque après tant d'émerveillements.
Ce film c'est l'anti Independance Day. On imaginerait presque E.T. se mariant avec notre gamine-héroïne...
Nous sommes en 2096, toutes les nations ont collaboré à la construction d'une cité spatiale de dix mille âmes. Pas de guerre ayant détruit la terre. Seulement une lente évolution nous amenant vers les autres planètes.
On suit cette historique futuriste comme s'il s'agissait de notre propre passé. Le film est à ce titre très vraisemblable.
Et tout aussi utopiste, ce qui ravira les enfants, et fera espérer les parents.
On visite la cité - cosmopolite. On voyage dans le système solaire. Et puis on prend part à l'aventure impossible du père.
Les limites de l'IMAX parviennent à se faire sentir en deux points : lorsque la narration documentaire devient fiction. La fiction a besoin de mouvements, de temps, d'images.
Il est difficile d'établir un réel suspens en 10 minutes.
Et puis aussi avec la difficulté pour l'ensemble de l'équipe de reconstituer un vrai film en IMAX.
Comme nous l'expliquent Annaud ou Langlois, les conditions de filmage sont exceptionnelles à tous les niveaux : il est quasiment infaisable de reproduire un tournage classique avec 3 monstres qui vous scrutent bruyamment et de manière assez statique.
La qualité cinématographique des films en IMAX restent donc encore autant primaire que hautement technique.
Cela ne gâche en rien notre plaisir. Comme pour un Walt Disney, nous nous prenons à rêver à cet imaginaire qu'on nous invente si bien....
 
Vincy

 
 
 
 

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