Coeurs transis ou coeurs brisés, en un clic fixez sa cote.
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SALADES CASAR
Mannequin atypique ("car je suis petite") ce mélange de sang orientaux et peu orthodoxes, au prénom évoquant une noblesse racée que l'on sent innée, l'apparente fière Amira Casar semble fragile et volontaire.
Indéniablement, elle joue de sa séduction. La chaleur dégagée par cette brune mystérieuse, la voix de ces femmes qui savent dominer comme succomber, le regard, de velours et d'acier, qui vous transperce et vous marque à jamais... on ne peut être qu'admiratifs devant Amira.
Nomade, la jeune fille sa balade d'un univers à l'autre, de la mode au cinéma, d'Espagne en Angleterre, de France aux Etats Unis. La plupart des spectateurs ne connaissent Amira qu'à travers son personnage de La Vérité si je mens, en fille de Bohringer, en épouse d'Anconina. Passionnée et digne.
Pourtant cette originaire du Caucase, ce croisement de cultures a vite enchaîné avec des premiers rôles dans des films plus intimes. Amoureuse romanesque, lesbienne romantique, amante plaquée, elle aime jouer au chat et à la souris avec les sentiments, mettant le feu à l'histoire et allumant les spectateurs. Elle accepte aussi bien les films de jeunes cinéastes au ton très particulier, légèrement surréaliste (Lemercier, Giusti) que les sagas télévisées internationales ou même les pièces de théâtre ambitieuses. Amira refuse la lissitude pour battre à froid la lassitude. Tel un volcan, elle ne se sent à l'aise que dans l'effusion et la détermination.
Elle mélange ainsi Ibsen, Agatha Christie et la comédie du Sentier. A chaque fois, elle ennivre nos mémoires et nous laisse le parfum d'une dame en noir à travers la toile blanche...
vincy
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