Tsai Ming Liang, Nanni Moretti, Hirokasu Kore-Eda Claude Miller ou encore François Ozon et
Manuel de Oliveira nous ont tous donné leur version d'un deuil douloureux, chacun l'adaptant à sa
manière de vivre, sa foi ou ses espoirs. On se souviendra des mains de Rampling s'enfonçant dans
le sable froid, compact, avec un regard lointain sur l'océan. La mort doit se résoudre à ne plus
avoir de réponse rationnelle et religieuse. Les vivants sont finalement la seule voie.