PRESENTATION

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P.E.C.
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LA COMPETITION
LE PANORAMA
LES "TRIBUTES"
PRIX MICHEL D'ORNANO
GALERIE DE PHOTOS
23e FESTIVAL DU CINEMA AMERICAIN
DE DEAUVILLE

Deauville 97

RENSEIGNEMENTS PUBLIC ET PRESSE


DESCRIPTION DE DEAUVILLE, selon Tony.


RENSEIGNEMENTS PUBLIC :

Office du Tourisme :
Place de la Mairie
BP 79
14800 DEAUVILLE
Tél : 02 31 14 40 00 - Fax : 02 31 88 78 88

C.I.D. (Centre International de Deauville)
avenue Lucien Barrière
BP 171
14800 DEAUVILLE
Tél : 02 31 14 14 14 - Fax : 02 31 14 15 16
Email : deauville@mailcpod.fr


RELATIONS PRESSE FRANCAISE ET INTERNATIONALE

LE PUBLIC SYSTEME CINEMA
36 rue Pierret - 92200 Neuilly sur Seine
France

Corinne de BURY / Stéphanie AZERAD
Claire DUBUIT / Béatrice DUMEAUX

Tél : 01 46 40 55 06 ou 01 46 40 55 86
Fax : 01 46 40 55 39


MODALITES D'ACCES

Ce festival est ouvert aux professionnels du cinéma mais aussi au public.
Des forfaits journaliers ou permanents sont en vente dès la seconde quinzaine du mois d'août.

Tarif public :

  • FF 850 (US$ 149) - Forfait permanent (10 jours)
  • FF 300 (US$ 53) par jour (samedi/dimanche)
  • FF 200 (US$ 44) par jour du lundi au vendredi
La photo est obligatoire pour les forfaits permanents.

LIEUX

Centre International de Deauville, Cinéma du Casino, Cinéma Morny pour la presse.

Pour des raisons de sécurité, l'entrée est strictement limitée aux places disponibles. Les salles sont évacuées à la fin de chaque séance. L'entrée des salles est interdit aux moins de 16 ans (sauf séances spécifiquement indiquées).

Les Photo-Calls se tiennent au Village (Esplanade du C.I.D.), sauf lorque indiqué.
Les Conférences de presse se tiennent au Village (Esplanade du C.I.D.), sauf lorsque indiqué.
Seuls les badges presse y sont admis.


NOTE PERSONNELLE :

Certes, on ne peut féliciter l'efficacité de l'organisation du festival, malgré le zèle de certains vigiles. Néanmoins, vous avez beau faire partie de la presse, vous n'avez aucun privilège. Ainsi, si vous n'êtes accrédité en tant que "presse-photo", vous êtes gentiment mais fermement rejeté des photo-calls. Il faut donc savoir qu'il y a deux catégories de presse : les photographes qui peuvent assister aux photo-calls et au reste, et la presse écrite qui doit se contenter du reste.

On regrette également cette année que rien ne soit fait pour mettre à la disposition de ceux (de la presse notamment) qui le désirent pour se connecter au réseau Internet.

En bref, Deauville a tendance à devenir un Cannes bis. Il s'agit maintenant d'un lieu ouvert essentiellement aux producteurs et distributeurs. La presse n'ayant qu'une place relative. Faut-il rappeler aux organisateurs que sans la presse, le festival de Deauville ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui ?

Une autre remarque non négligeable : l'accès aux projections. Après vous être acquitté d'une certaine somme vous permettant d'avoir le privilège d'accèder aux projections, vous décidez de prendre la file d'attente... Et là, une surprise vous attend parfois. Après une heure (ou plus !) d'attente plus ou moins agréable, un vigile vous informe (sans le sourire) qu'il n'y a plus de places... O rage ! O désespoir ! Comment cela est-il possible ? Comprenez bien que les V.I.P., les sponsors, les gens de l'organisation sont bien plus importants que vous. Certes, vous, vous avez payé, mais cela ne vous donne aucun privilège. Ne soyez donc pas naïf. Si vous souhaitez aller voir les deux ou trois super-productions du festival - en fait, celles qui attirent les sponsors et autres - votre badge ne vous sera d'aucune utilité pour tenter de faire valoir vos droits de "consommateurs". D'ailleurs, c'est très malin : dans le catalogue des projections, il est clairement indiqué que l'accès aux salles se fait "dans la limite des places disponibles". Vous n'avez donc aucun recours... Quoique. Si tous les mécontents du festival envoyaient une simple lettre pour exprimer leurs doléances, peut-être que les organisateurs songeraient un peu plus à améliorer les capacités d'accès.


© 1998 Ecran Noir / Christophe Train.