James Bond Girls Divisons les en catégories.
Car elles ne sont pas forcément à égalité. Parfois elles sont même de sacrées garces.
Il y a 5 styles de James Bond Girls...
Les oubliées
Les oubliées, peut être parce qu'elles se faisaient dévorées par les femmes plus fatales ou parce que leur présence n'a pas suffit à les inscrire dans la légende. Leur personnage est souvent trop uniforme. Et la comédienne a disparu de la circulation. Des Bond Girls en objet de désir ou en figurantes. 7 d'entre elles ont été broyées par l'histoire.
Eunice Gayson (Dr No) ne pouvait pas résister à la beauté d'Andress. Même en téant dans l'épisode suivant (Bons baisers de Russie), elle ne parvient pas à se faire connaître, au point d'abandonner le cinéma juste après. Ses scènes sont trop mineures pour être marquantes. Luciana Paluzzi a eu plus de chance. Elle devait avoir le rôle de Domino, mais hérita de celui de la méchante (Opération Tonnerre). Une vilaine très sadique mais trop chic. Carrera la fera vite oublié. Elle poursuivra sa filmo dans son pays natal.
Seule japonaise en 40 ans, Mie Hama cru aussi à une carrière internationale après On ne vit que deux fois. Elle tourna pourtant moins qu'auparavant et ses films sont essentiellement nippons.
L'Allemande Karin Dor (On ne vit que deux fois) subit la même déconvenue, tournant moins après qu'avant le 007 (dont Caroline Chérie).
Ex serveuse dans un club Playboy, Gloria Hendry (Vivre et Laissez mourir), bien qu'elle fut la première métisse à jouer les vestales jamesbondiennes, ne laissa aucune trace derrière elle.
Idem pour le mannequin Lois Chiles (Moonraker) qui traînera dans des gros films (Twister, Speed 2), mais en seconds rôles anonymes.
Pour la polonaise Izabella Scorupco (GoldenEye), le destin fut plus complexe. Vampirisée par Jansen, la mannequin polonaise n'a été vue que dans Vertical Limit. Pour ces 7 actrices, 007 ne fut pas un véritable porte bonheur.
- Vincy
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