James Bond Girls Divisons les en catégories.
Car elles ne sont pas forcément à égalité. Parfois elles sont même de sacrées garces.
Il y a 5 styles de James Bond Girls...
Les (dé)ratées
Et puis parfois il y a des choix malheureux. 7 en 20 films. C'est peu, mais ça peut conduire un épisode à devenir moins bon, caricatural, ridicule. La " cata " débute en 77. A croire que les sens du papy producteur s'émoussaient. Voici donc les (dé)ratées.
Caroline Munro (L'espion qui m'aimait) joue les pilotes d'hélico. Pas assez sexy, peu marquante, l'actrice ne fait pas le poids face à Barbara Bach.
De film en film on va vers le pire. Lynn Holly Johnson (Rien que pour vos yeux), sorte de poupée blonde californienne, a fait des spots pour MacDo, Coca Cola et Kellogg's. Ca explique tout. Carole Bouquet n'en fait qu'une bouchée.
Dans un même film, la blonde et la black sont désastreuses, ce qui fait de Dangereusement vôtre le plus mauvais film de la saga. La future vedette de films érotiques Tanya Roberts est aussi peu adéquate que la gracieuse et animale Grace Jones, sous utilisée en vilaine.
Myriam D'Abo (Tuer n'est pas jouer) aurait pu devenir une JB Girl intéressante. Son jeu limité et son allure frigide entraînera le film vers le bas, face à un Dalton très bon (mais très chaste). Scorupco, par exemple, sera dix fois plus intéressante dans le même type de personnages.
Le must du ratage reste incontestablement Denise Richards (Le monde ne suffit pas). Certes sa poitrine fait loucher la moitié des mâles de la planète. Mais elle n'est absolument pas crédible en ingénieur de recherche nucléaire. En opposition à Marceau, elle ne semble jamais joué et ne fait que suivre Brosnan qui la traîne comme un boulet.
- Vincy
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