«?- Je regrette de te dire ça mais je dois te coffrer.?»
L’histoire?: Chasseur de primes, Milo Boyd se voit confier la mission de ses rêves : traquer son ex-femme, la journaliste Nicole Hurley, qui s’est soustraite à la justice. Pour lui, c’est un job facile qui va en plus lui donner l’occasion d’en faire baver à son ex - juste retour des choses après ce qu’elle lui a fait au moment de leur séparation… Il n’avait pas prévu que Nicole allait l’entraîner dans la redoutable affaire de meurtre sur laquelle elle enquête. Rien n’a jamais été simple entre Milo et Nicole, et ça va empirer. Ils s’étaient aimés pour le meilleur et vont se retrouver pour le pire. Cette fois, ce n’est plus leur couple qui est en jeu mais leur vie, et comme pour leur mariage, chacun essaie d’imposer ses méthodes pour tenter de s’en sortir...
Notre avis?: À la vue de l’affiche du film, on pouvait s’attendre au pire... Finalement, on est plutôt positivement surpris par cette petite comédie américaine qui réussit à nous faire passer un moment plaisant car elle a oublié de se prendre au sérieux.
En effet, le scenario n’a rien d’exceptionnel et ne capte pas vraiment notre attention. On retrouve les rouages traditionnels (les je t’aime moi non plus habituels) de la comédie drôle et romantique. Mais on se laisse tout de même entraîner dans cette folle poursuite qui voit partir Gerard Butler à la chasse à l’ex, Jennifer Aniston. Mais ces deux-là se retrouveront vite à bord du même bateau face à une histoire de flics véreux.
Le film traîne parfois en longueur et son dénouement n’est pas une grande surprise. Mais dans un sens, on s’en doutait mais le rythme des situations cocasses, l'énergie des acteurs réussissent à nous faire sourire devant ce couple aux situations peu banales. C’est plutôt marrant de voir la belle Rachel de Friends enfermée dans le coffre de son ex qui n’a qu’un but : l’envoyer en taule. Même face à un tueur quelque peu furieux, les scènes de ménage ont toujours leur place. Un bon petit moment de détente sans autre ambition...Andy Tennant nous avait quand même habitué à un peu mieux.