Posté par vincy, le 26 août 2018
La 11e édition du festival du film francophone d'Angoulême s'est achevée ce soir avec le palmarès des jurys, dont celui de Karin Viard pour la compétition.,
Le grand vainqueur de la soirée est incontestablement Shéhérazade de Jean-Bernard Marlin: Prix Valois de diamant, Valois Magelis des étudiants francophones, Valois Sacem de la musique de film (Mouss et Hakim). Le film, qui sort le 5 septembre, raconte l'histoire de Zachary, 17 ans, tout juste sorti de prison et rejeté par sa mère, qui traîne dans les quartiers populaires de Marseille. C'est là qu'il rencontre Shéhérazade... Ce premier-film avait été présenté en séances spéciales à la Semaine de la Critique à Cannes.
Autre grand gagnant, L’amour flou de Romane Bohringer et Philippe Rebbot, récompensé par le convoité Valois Canal+ du public. Cette auto-fiction sera en salles le 10 octobre.
Le Valois du jury a été décerné à Tout ce qu’il me reste de la révolution de Judith Davis, film où l'on retrouve la réalisatrice, Malik Zidi et Mireille Perrier. Sur les écrans le 2 janvier 2019.
Pour le reste le palmarès a distingué Milya Corbeil-Gauvreau dans Les rois mongols de Luc Picard (meilleure actrice), Félix Maritaud dans Sauvage de Camille Vidal-Naquet (meilleur acteur), Sofia de Meryem Benm’Barek (meilleur scénario), Hybrids de Florian Brauch, Kim Tailhades, Matthieu Pujol, Yohan Thireau, Romain Thirion et Travelogue Tel Aviv de Patthey Samuel (meilleur court d'animation ex-aequo) et Stéphanie Bermann et Alexis Dulguerian (Domino Films, producteur de Petit paysan, Valois de Diamant l'an dernier).
Tags liés à cet article: angouleme, animation, cannes 2018, court metrage, domino films, felix maritaud, festival, festival du film francophone, l'amour flou, milya corbeil-gauvreau, palmarès, Prix, semaine de la critique, Shéhérazade, tout ce qu'il me reste de la revolution.
Publié dans Festivals, Films, Prix |
Posté par wyzman, le 26 août 2018
Si l'on en croit les informations recueillies par nos confrères de Radio Canada, le réalisateur de Wild et Demolition a été contacté par Barbara Broccoli, la productrice des derniers James Bond.
Bon réalisateur, mauvais timing
C'est Alex Vallée, le fils du réalisateur et responsable marketing de la société REAL by FAKE, qui a confirmé l'information. Si Jean-Marc Vallée reste ouvert à l'idée de diriger un James Bond dans le futur, cela ne se fera pas tout de suite. En plus de réaliser les épisodes des séries Big Little Lies et Sharp Objects pour HBO, l'homme à qui l'on doit Dallas Buyers Club planche actuellement sur un film autour de l’histoire d’amour entre Yoko Ono et John Lennon. Le projet, sur lequel peu d'informations ont circulé jusque-là, sera produit par Michael De Luca (The Social Network, Capitaine Phillips).
Ce qui ne résout toujours pas le problème d'EON et MGM, les producteur et distributeur de James Bond 25. Car si en début de semaine nous apprenions que Danny Boyle avait préféré jeter l'éponge à cause de désaccords artistiques, la sortie du film en question semble de plus en plus compromise. Le film devait en effet sortir le 8 novembre 2019 aux Etats-Unis et le 25 octobre au Royaume-Uni. Malheureusement, d'après The Hollywood Reporter, le film qui n'a toujours pas de réalisateur à l'heure actuelle ne sera jamais prêt à temps ! On parle désormais d'une sortie début 2020 - si tout va bien.
Bien qu'il soit d'ores et déjà possible de dire que le script de John Hodge, le collaborateur de longue date de Danny Boyle, ne sera pas retenu, rien ne garantit que l'histoire (déjà prête) de Neal Purvis et Robert Wade plaira au prochain réalisateur de cet épineux volet. Trouver un compromis entre chaque partie pourrait prendre des semaines et le tournage est toujours censé débuter le 3 décembre. Affaire à suivre...
Tags liés à cet article: danny boyle, eon, james bond 25, jan-marc vallée, jean marc vallee, MGM.
Publié dans Personnalités, célébrités, stars, Projet, tournage |