Et si on binge-watchait… Stranger Things sur Netflix

Posté par wyzman, le 18 avril 2020

Pendant le confinement, Ecran Noir s’occupe de votre listes de séries à rattraper. Aujourd’hui, coup de projecteur sur la série phénomène de Netflix, j’ai nommé Stranger Things.

C’est une série pour les nostalgiques — et tous les autres ! En novembre 1983, le jeune Will disparaît à Hawkins (Indiana) sans laisser de traces. Très vite, sa mère Joyce, sa bande d’amis et le chef de la police Jim Hopper partent à sa recherche. Leur rencontre avec Onze, une jeune fille dotée de facultés psychiques, va les mener jusqu’au Laboratoire national de Hawkins, contrôlé par le Département de l’Energie… Voilà pour le pitch !

Intrigue majeure de la première saison de la série, la disparition de Will est ici l’occasion pour les créateurs Matt et Ross Duffer de mettre en scène des personnages qui n’auraient eu de cesse de simplement se croiser sans cela. Désormais adulée par des millions d’internautes à travers le monde, Stranger Things est le résultat d’une recette sans faille. Lancez une intrigue digne d’un thriller, ajoutez-y une énorme dose de science-fiction, doublez celle d’humour habituelle, saupoudrez de grands moments de bravoure et laissez reposer le tout dans un univers 80s. Et le tour est joué ! Stranger Things se savoure comme un drame familial à la touche Spielberg et sans modération.

C’est de la comfort TV comme on l'aime. On le sait, de nombreux projets de Netflix sont le fruit de l’étude pointue d’algorithmes. Et pour le casting de Stranger Things, la production a eu la bonne idée de mêler jeunes inconnus (Millie Bobby Brown, Finn Wolfhard) et anciennes gloires sur le retour (Winona Ryder, David Harbour). Grâce à des dialogues parfaitement écrits, la complicité de tout ce beau monde devient rapidement crédible et ile ne faut généralement pas plus de trois épisodes pour devenir complètement accro aux préadolescents de Hawkins.

Avec leurs histoires d’amitié et d’amour naissant qui parlent à tous, la petite bande n’a pas tardé à devenir de véritables mascottes pour le géant du streaming. Et pour s’assurer que la série fasse du bruit dans la conversation numérique, Netflix met en ligne chaque nouvelle saison à des moments stratégiques de l’année (le lendemain de la fête nationale française, juste avant Halloween et le jour de la fête nationale américaine). De quoi nous laisser le temps de binge-watcher ce programme aussi passionnant qu’hilarant.

C’est le Game Of Thrones de Netflix que personne n’avait vu venir. En seulement trois saisons, Stranger Things est passée de série de niche dispo en streaming à phénomène planétaire. 64 millions de foyers devant la troisième saison le mois de sa sortie, près de 8 millions de fans sur Facebook, des dizaines de millions d’abonnés aux comptes Instagram des acteurs… Stranger Things est le meilleur filon de Netflix, la série incontournable de son calendrier et la plus appréciée par le public et la critique.

Emmy Awards, Golden Globes, Grammy Awards, Critics Choice, Saturn Awards, PGA Awards, SAG Awards… La série produite par Shawn Levy et Dan Cohen est de toutes les cérémonies qui comptent ! Il faut dire qu’avec ses effets spéciaux plus que réussis et sa bande originale d’époque (The Police, Duran, Duran, Joy Division, Bon Jovi, Peter Gabriel, The Who, Madonna, Wham!), ce programme a tout pour vous donner envie de voir la suite.

Stranger Things, l’intégrale disponible sur Netflix ici.

Sherlock Holmes : deux films en préparation

Posté par vincy, le 13 juillet 2019

Sherlock Holmes continue d'être l'un des héros littéraires qui passionnent le plus les studios hollywoodiens. Sherlock Holmes 3, avec Robert Downey Jr qui va reprendre le costume du détective, est sur les rails. On sait désormais que Dexter Fletcher (Rocketman) réalisera le troisième opus de la franchise initiée par Guy Ritchie (Sherlock Holmes en 2009 ; Sherlock Holmes: Jeu d'ombres en 2011). Le premier avait récolté 524M$ dans le monde, et sa suite avait empoché 545M$ dans le monde.

Jude Law devrait être de nouveau le Professeur Watson. Le scénario est écrit par Chris Brancato (la série "Narcos").

Warner Bros prévoit de sortir le film en décembre 2021, dix ans après le précédent. Il faut dire que le projet a longtemps été repoussé pour cause de planning surchargé de l'acteur qui incarnait jusqu'à récemment Iron Man.

Un autre Sherlock Holmes est en préparation, mais cette fois-ci ce ne sont pas les romans d'Arthur Conan Doyle qui en sont l'inspiration. Enola Holmes est l'adaptation de la série de livres jeunesse de Nancy Springer autour de la jeune sœur de Sherlock.

Celui-ci sera incarné par Henry Cavill. Millie Bobby Brown (Stranger Things) interprètera Enola, investigatrice intrépide, et Henela Bonham-Carter la mère de la tribu.

Le film sera réalisé par Harry Bradbeer (la série "Fleabag") et écrit par Jack Thorne (la série "Skins"). Le tournage doit débuter cet été pour une sortie en 2020.

Enola Holmes : Henry Cavill incarnera Sherlock aux côtés de Millie Bobby Brown et Helena Bonham Carter

Posté par wyzman, le 27 juin 2019

Après avoir marqué les esprits en incarnant Superman dans Man Of Steel, Batman v Superman et Justice League, Henry Cavill s’est trouvé un nouveau rôle à la mesure de son talent (et de sa carrure) !

Projet ambitieux

Selon les informations de Deadline, Henry Cavill incarnera Sherlock Holmes dans l’adaptation des Enquêtes d’Enola Holmes de Nancy Springer. C’est la star de Stranger Things, Millie Bobby Brown qui devrait tenir le rôle principal, avec Helena Bonham Carter dans le rôle de sa mère.

Harry Bradbeer a été engagé pour réaliser le film tandis que le scénario est écrit par Jack Thorne, déjà à l’oeuvre sur Wonder. Les Enquêtes d’Enola Holmes, saga littéraire lancée en 2006, est centrée sur Enola, la soeur cadette de Sherlock et Mycroft Holmes. Comme ces derniers, Enola s’avère être une détective particulièrement compétente.

Pour rappel, on retrouvera prochainement Henry Cavill en chasseur de monstres dans The Witcher, la série de Netflix directement adaptée de la saga littéraire polonaise Sorceleur écrite par Andrzej Sapkowski.