Matthew McConaughey (Mud, Magic Mike), Anne Hathaway (The Dark Knight rises, Les Misérables), Jessica Chastain (The Tree of Life, Zero Dark Thirty), Bill Irwin ("Les Expert", Rachel se marie), John Lithgow ("3rd Rock from the Sun", "Dexter"), Casey Affleck (Ocean's 11, L'assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford), David Gyasi (The Dark Knight Rises, Cloud Atlas), Wes Bentley (Hunger Games), Mackenzie Foy (Twilight 4 et 5, Conjuring, Topher Grace ("That's 70's Show", Spider-Man 3), David Oyelowo (Lincoln, Jack Reacher), Ellen Burstyn (Requiem for a Dream, The Yards) et Michael Caine (Inception et la trilogie Dark Knight) : voilà pour le casting définitif d'Interstellar. Des habitués de l'univers de Christopher Nolan, et quelques nouvelles têtes connues comme Grace, Burstyn, Lightow, Irwin...
Le cinéaste a commencé le tournage de son film en Alberta, au Canada, programmé en novembre 2014 dans les salles.
Le script est basé sur la théorie des "trous de ver", soit les propriétés de connexions des différents points de l'espace qui permettent de faire des raccourcis à travers l'espace et de voyager entre différentes dimensions. On suivra ainsi les aventures d'un groupe d'explorateur qui découvrira un "trou de ver" (wormhole en anglais) et dépassera ainsi les limites humaines du voyage spatial, conquérant ainsi les vastes distances d'un trajet interstellaire.
A l'origine, le projet avait été développé en 2006, avec Steven Spielberg aux commandes, à partir des théories de Kip S. Thorne, par ailleurs consultant du film de Nolan.
C’est l’histoire de Alex, environ 25 ans vivant à Los Angeles, qui chaque matin se réveille avec une apparence physique différente…
Ce pitch intriguant qui vante la beauté intérieure d’une personne qui chaque jour apparaît avec un nouveau corps (gros, vieux…) est celui du film The Beauty Inside qui est diffusé par segments sur internet. Une situation délicate quand dans le lit dort la conquête de la veille et qu’on ressemble alors à quelqu’un d’autre, difficile donc de construire une relation amoureuse…
The Beauty Inside est en réalité un film conçu avec (et pour) les réseaux sociaux. Comme le personnage d'Alex a chaque matin un nouveau physique, il peut être interprété par n’importe qui, qui aura participé au casting lancé sur internet. Vous pourriez ainsi avoir la chance de jouer Alex face à sa future petite amie qui n’est autre que Mary Elizabeth Winstead (en ce moment à l’affiche dans Abraham Lincoln: Chasseur de Vampires), avec aussi Topher Grace. Le film est réalisé par Drake Doremus, qui n’est autre que le réalisateur d’une des plus belles comédies romantiques de l’année dernière qui n’a malheureusement pas connu de sortie en salles en France malgré deux prix au Festival de Sundance (Grand prix du Jury et Prix spécial du jury pour Felicity Jone) : Like Crazy (où d’ailleurs le héros construisait des meubles, celui de Beauty Inside en fait la restauration).
The Beauty Inside devrait ressembler à un vrai film de cinéma hollywoodien, cependant il s’agit bien en premier lieu d’une opération marketing sponsorisée par des firmes de matériel informatique (Intel et Toshiba, avec les agences de communication Pereira O’Dell et B-Reel qui pilotent ce projet) qui fabriquent là un film participatif après le succès d’un premier essai du même genre (The Inside Experience, en 2011). Les spectateurs d’une quinzaine de pays, dont la France, peuvent essayer de postuler pour le rôle principal, pour lequel il y aura au moins une multitude d’acteurs différents. Pendant plusieurs semaines le film évoluera avec les différentes apparences du personnage, en intégrant aussi des interactions avec les internautes.
The Beauty Inside est à regarder sur internet avec un nouveau segment mis en ligne chaque jeudis, voici le début du film :
- Bonjour, je m'appelle Alex (la découverte de la particularité physique du héros) :
-Léah (la rencontre avec Mary Elizabeth Winstead) :
La nouvelle comédie de Garry Marshall, Valentine's Day, débarquera sur les écrans français mercredi 17 février. Mais, à l'occasion de la saint-Valentin, Warner organisera une avant-première nationale sur presque tout le territoire "le jour des amoureux", dimanche 14 février. Le distributeur noius a fourni toutes les séances que vous pouvez consulter sur document en format PDF.
Les producteurs ont confirmé par aillers que le film aurait le droit à un "spin-off", intitulé New Year's Eve, qui devrait sortir fin 2011 et reprendra une partie du casting prestigieux. On croise en effet Jessica Alba, Bradley Cooper, Anne Hathaway, Patrick Dempsey, Hector Elizondo, Jamie Foxx, Jennifer Garner, Topher Grace, Ashton Kutcher, Taylor Lautner, George Lopez, Queen Latifah, Julia Roberts, Emma Roberts, Taylor Swift mais aussi deux absentes sur l'affiche, deux "seniors", Shirley MacLaine et Kathy Bates.
Les super-héros coutant très chers (imaginez les contrats des têtes d'affiches des X-Men, de Spider-Man, de Batman ou encore d'Iron Man), et les personnages de Marvel et autres DC Comics étant inombrables, l'équation est assez simple pour Hollywood : il faut créer des spin-off.
Après Wolverine (373 millions de $ au B.O. mondial cette année), extrait des X-Men, voici Venom, issu des Spider-Man. Alors que le quatrième épisode est en cours de réécriture, Columbia a négocié avec Gary Ross pour réécrire Venom, et possiblement le réaliser. L'idée pour Ross serait de faire de Venom un anti-héros qui se transformerait en défenseur des âmes innocentes.
Dans Spider-Man 3, Venom était interprété par Topher Grace, photographe rival de Peter Parker. Son destin était d'ailleurs assez fatal. Il ne semble pas que Grace reprenne son rôle.
La précipitation à produire Venom vient surtout du fait que Marvel, détenteur des droits de tous les héros et vilains de ses bande dessinées, vient d'être acquis par le concurrent Walt Disney. Le même problème se pose pour la Fox (X-Men et ses dérivés, Daredevil et Elektra, Les 4 Fantastiques et ses clones...).
Du coup, la Columbia a décidé de mettre les bouchées doubles en lançant l'écriture de Spider-Man 5 et 6. La guerre des super-héros est d'ores et déjà prévue... en salles.