Locarno complète ses jurys avec Roger Avery, Im Sang-soo, Noémie Lvovsky…

Posté par vincy, le 28 juin 2012

Pour le prochain Festival de Locarno (1er-11 août), on connaissait les Présidents des jurys (voir article du 10 mai), mais pas ceux qui l'entouraient.

Pour la Compétition internationale, Apichatpong Weerasethakul, le président aura comme membres le scénariste, producteur et réalisateur américain Roger Avery (Pulp Fiction, Les lois de l’attraction), le réalisateur sud-coréen Sang-soo Im (Une femme coréenne, The Housemaid, The Taste of Money qui était en compétition à Cannes cette année), la réalisatrice, scénariste et actrice française Noémie Lvovsky (La vie ne me fait pas peur, Leopard d’Argent « Jeune cinéma » à Locarno en 1999, Camille redouble, sensation de la dernière Quinzaine des réalisateurs, Les adieux à la reine) et le curateur et écrivain suisse basé à Londres Hans Ulrich Obrist (codirecteur de la Serpentine Gallery de Londres depuis 2006).

Pour la Compétition Cinéastes du présent présidée par Mahamat Saleh Haroun, on retrouvera l’actrice portugaise Ana Moreira (Transe , Tabu ), le réalisateur américain Alex Ross Perry (Impolex, The Color Wheel, présenté dans cette même sélection en 2011), le producteur suisse d’ARTE Luciano Rigolini (Love And Diane, Léopard d’Or de la Compétition vidéo en 2002, Tarachime , présenté dans cette sélection en 2006, Mekong Hotel d’Apichatpong Weerasethakul, projeté à Cannes hors-compétition cette année) et le réalisateur malaisien Yuhang Ho (At the End of Daybreak, en compétition à Locarno en 2009, Open Verdict).

La section Léopards de demain, consacrée aux courts métrages de réalisateurs n’ayant pas encore tourné de longs métrages, sera présidée par le scénariste et réalisateur anglais Mark Peploe (Profession : reporter, Le dernier empereur ), qui sera aux côtés du réalisateur français Laurent Achard (Le dernier des fous, Léopard de la meilleure mise en scène en 2006, Dernière séance, en compétition à Locarno en 2011), de l’acteur et réalisateur suisse Robin Harsch (Un autre homme de Lionel Baier, en compétition à Locarno en 2008), de la réalisatrice et programmatrice suisse Isabelle Mayor (La Ménagerie de Betty, 100% Yssam) et du réalisateur brésilien Kleber Mendonça Filho (Green Vinyl, Eletrodoméstica, Neighbouring Sounds).

Enfin, pour le prix du meilleur premier film (choisit parmi les oeuvres de la Compétition internationale, la Compétition Cinéastes du présent et les films projetés sur la Piazza Grande), la responsaibilité incombera aux deux critiques de cinéma Dennis Lim (The New York Times, Moving Image Source, Artforum, États-Unis) et Boris Nelepo (Séance, Russie) et à la programmatrice cinéma Abi Sakamoto (Japon).

Cannes 2010 – La scène hot du jour : The Housemaid

Posté par vincy, le 14 mai 2010

the housemaid im sangsooDécidément les frustrés sexuels savent prendre leur orgasme en main. Après Mimi Le Meaux dans Tournée (voir article d'hier), c'est au tour du très bien foutu Lee Jung-Jae d'être insatisfait et de se laisser aller à ses fantasmes. Sa femme, enceinte, tente pourtant une position intéressante (à cheval, mais dos tourné) . Hélas, il ne peut pas aller jusqu'au fond, et donc jusqu'au bout. Elle le finit par la bouche (au passage on admire son corps magnifique), mais cela ne lui suffit pas.

Il a alors l'idée d'aller rendre visite à sa femme de chambre (la très jolie Jeon Do-Youn) qui remet sa brassière en catastrophe. Contre un verre de bon vin, elle accepte de retirer le drap qui la couvre. Il entreprendre alors une caresse tactile sur sa nuque, sous sa brassière, découvrant un sein, le touchant, puis descend vers la culotte, qui laisse deviner les lèvres.

Sa main s'enfouit dans ses cuisses, effleure le coton blanc du slip, fait cambrer légèrement la soubrette. Avec un regard de soumission, elle baisse son pantalon de pyjama. Se jette sur sa queue. "J'adore cette odeur" lance-t-elle avec fougue. Et il lui balance un ordre qui n'admet pas le refus : "Suce!".

Elle s'exécute avec délectation. Lui debout, écartant ses bras musclés, bombant ses tablettes de chocolat. On imagine que ça lui a plu, puisque, quelques jours plus tard, il viendra la pénétrer par derrière.