Posté par cynthia, le 20 août 2014
Tout juste remis de la dernière bombe Marvel Les gardiens de la galaxie (déjà 420M$ dans le monde) et toujours impatient de revoir les Avengers en action l'année prochaine, le studio a annoncé hier que le tournage d'Ant-Man venait (enfin) de débuter.
Hier à San Francisco (avant de migrer à Atlanta), les Studios Marvel ont donné le coup d’envoi de leur nouvelle production mettant en scène un super-héros mi-homme mi-fourmi. Ant-Man raconte l'histoire d’un petit escroc du nom de Scott Lang (Paul Rudd), doté d’une capacité étonnante celle de rétrécir à volonté tout en démultipliant sa force. Ce dernier doit embrasser la part de héros qui est en lui afin d’aider son mentor, le docteur Hank Pym (Michael Douglas), à protéger d’une nouvelle génération de redoutables menaces le secret du spectaculaire costume d’Ant-Man. Pym et Lang doivent mettre au point – et réussir – un audacieux cambriolage qui pourrait sauver le monde d’une issue fatale...
Adapté d’une série de bandes dessinées Marvel parues pour la première fois en 1962, Ant-Man s’inscrit dans la lignée des productions Marvel (Iron Man, Hulk, Thor ou encore Captain America) dont le deuxième film, Le soldat de l'hiver sort aujourd'hui en vidéo et vidéo à la demande en France.
Prévu dans les salles obscures pour le 17 juillet 2015 aux USA (et le 5 août 2015 en France), Ant-Man est mis en scène par Peyton Reed (Yes Man, La Rupture). Outre Paul Rudd (40 Aans mode d'emploi, Le monde de Charlie) et Michael Douglas(Wall Street, Ma vie avec Liberace), on trouvera Evangeline Lilly (Lost: Les disparus, Le Hobbit) dans le rôle de Hope Van Dyne, la fille de Hank Pym, Corey Stoll, Bobby Canavale, Michael Pena, Juy Greer, John Slattery...
Rappelons tout de même que les studios Marvel ont produit ces dernières années succès sur succès, offrant même à Avengers et Iron Man 3 la 3ème et la 6ème place du podium dans le club très fermé des films ayant réalisé plus d’1,2 milliard de recettes dans le monde. Ant-Man aura-t-il le même succès? Réponse l'été prochain... Et d'ici 2019, une dizaine d'autres films adaptés de comics de la marque sont prévus (lire notre actualité).
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Posté par vincy, le 19 décembre 2013
Alors que son premier long métrage, Don Jon, sort en France le 25 décembre prochain, Joseph Gordon-Levitt, alias Robin dans The Dark Knight Rises, devrait endosser le costume d'un autres- super-héros de DC Comics, The Sandman.
Warner Bros a confié le scénario à David S. Goyer, déjà auteur de Batman Begins et de Man of Steel. Gordon-Levitt ne s'interdit pas de réaliser le film lui-même.
The Sandman est une série de romans graphiques en 75 volumes, édités entre 1989 et 1996. Elle met en vedette les Eternels, et notamment Dream (Le maître des Rêves), prisonnier en 1916 et libéré 72 ans plus tard.
De son côté Paul Rudd devrait incarner Ant-Man (L'homme-fourmi), le prochain super-héros issu de l'écurie Marvel. Ironiquement Rudd était en concurrence jusqu'à présent avec ... Joseph Gordon-Levitt. Le film sera réalisé par Edgar Wright (Shaun of the Dead), qui co-écrit le scénario avec son fidèle partenaire Joe Cornish. Ils avaient déjà co-écrits ensemble les Aventures de Tintin.
Ant-Man est l'histoire d'un brillant savant, Henry Pym, qui invente une formule lui permettant de changer sa taille (du plus petit au plus grand) et de communiquer avec les insectes. A noter que le personnage est lié aux Avengers.
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Posté par vincy, le 5 juin 2012
Le réalisateur de Super Size Me (2004), Morgan Spurlock, est boulimique depuis quelques temps. Il a réalisé pas moins de six documentaires ces deux dernières années pour la télévision et le cinéma. Freakonomics, le film est sorti en France au début de l'année. Comic-Con Episode IV: A Fan's Hope a été présenté au Festival de Toronto l'an dernier et pourrait être distribué en Amérique du nord cet été, à l'occasion du Comic Con de San Diego. En attendant, Spurlock a présenté Mansome au dernier festival de Tribeca. Le film vient de sortir sur les écrans américains. Sorti dans 20 salles, il n'en disposait déjà plus que de 5 la semaine suivante. Un flop. Super Size Me avait récolté 11 millions de $. Mansome fera à peine plus de 50 000$ de recettes.
Pourtant Yahoo a décidé d'en faire une série quotidienne en ligne, à raison de cinq épisodes par semaine, dès juillet. Le format sera diffusé sur Yahoo Screen, la plateforme vidéo du portail web, mais accessible également à partir de toutes les sections ciblant les hommes, comme le sport et la finance.
Spurlock avait déjà réalisé une série pour Yahoo, plus tôt dans l'année, The Failure Club, destinée aux femmes.
Mansome est un documentaire sarcastique et subversif qui s'intéresse à l'identité masculine de nos jours à l'époque des métrosexuels, produits cosmétiques, manucure et autres tendances à l'épilation, accessoirisation à outrance, soin du système pileux sur le visage (barbe, moustache, bouc...) ou encore sous-vêtements aussi stylés que coûteux qu'une lingerie féminine...
Coproduit et interprété par l'acteur Jason Bateman (In the Air, Comment tuer son boss?), on y croise aussi Zach Galifianakis, Judd Apatow, Paul Rudd et John Waters.
Pour l'instant, le documentaire n'est pas programmé en France.
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Posté par Morgane, le 29 juillet 2009
«- Et je fais comment moi pour me faire des amis ? »
L’Histoire : Peter Klaven se fiance avec Zooey et réalise alors qu’il n’a aucun ami assez proche pour être son témoin. Toujours entouré de filles, Peter se lance donc à la recherche d’un ami…jusqu’au jour où il croise le chemin de Sydney Fife…
Ce qu’on en pense : Le duo Paul Rudd/Jason Segel, qui s’était déjà croisé dans le film Sans Sarah, rien ne va, se reforme ici et se transforme en véritable couple d’amis. Après avoir écumé plusieurs rendez-vous masculins infructueux donnant lieu à certaines scènes censées être drôles, le film se met véritablement en marche lorsque Peter, agent immobilier sérieux, rencontre Sydney, adulescent extraverti.
Les comédies de ce type nous ont jusqu’alors habitué à parler de sexe, de couple, de mariage et d’amitié entre filles… Ici, I love you man nous entraine sur les traces délicates de l’amitié masculine. Les clichés sont toujours présents mais John Hamburg a su mêler et bien doser l’aspect parfois grivois et drôle avec le côté touchant de cette amitié virile. On est alors loin des geeks célibataires d’En cloque mode d’emploi. I love you man, à l’inverse, se propose de dépeindre l’amitié entre deux hommes que l’on pourrait qualifier de « sensibles », qui s’autorisent à communiquer leurs sentiments et à parler d’autre chose que de cul.
Néanmoins, la pente savonneuse rattrape certaines scènes qui passent alors du drôle au lourd et l’on regrette le manque d’épaisseur des personnages. L’idée d’origine aurait mérité plus d’approfondissement. Mais I love you man reste un bon moment, au sujet quelque peu original et se finissant par une très belle déclaration…d’amitié (ça change !).
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Posté par vincy, le 20 février 2009
James L. Brooks, 69 ans, fait une cure de jouvence pour sa comédie romantique. Pour faire face à Reese Witherspoon dans son prochain film provisoirement intitulé How Do You Know?, il a enrôlé deux comédiens au style comique très différent : le bel Owen Wilson (Marley et moi, A bord du Darjeeling Limited) et le trash Paul Rudd (Les grands frères, En cloque mode d'emploi).
Cette histoire d'amour à trois mettra en scène un cadre supérieur (Paul), un joueur de baseball (Owen) et une indécise (Reese). Le film est censé être prêt pour Noël 2009.
Le scénariste et producteur des Simpsons n'a rien réalisé depuis cinq ans et son Spanglish assez raté. On retiendra plutôt Tendres passions (Oscars du meilleur film, réalisateur et scénariste), Broadcast News et Pour le pire et pour le meilleur, gros succès avec Jack Nicholson. Comme producteur on lui doit Jerry Maguire et La Guerre des Rose.
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Posté par MpM, le 3 février 2009
" - Tu sais ce que j'ai l'habitude de prendre au petit déjeuner? De la cocaïne!"
L’histoire : Wheeler et Danny vont de collège en collège pour faire la promotion d’une boisson énergisante. Mais un particulièrement mauvais jour, ils détruisent le camion de leur employeur et ont affaire à la police. L’alternative est simple : 30 jours de prison ou 150h de travaux d’intérêt général dans une association à but pédagogique auprès d’enfants en difficulté. Voilà les deux éternels adolescents immatures forcés de devenir des adultes modèles…
Ce qu’on en pense : Depuis quelques temps, les "comédies pour adultes" ont le vent en poupe. Le principe est simple : humour irrévérencieux et en-dessous de la ceinture, références explicites au sexe, vocabulaire cru et personnages border line. Paul Rudd, ici auteur, acteur et réalisateur, en est l'une des valeurs sures, comme Judd Apatow. Rien que les titres sont déjà tout un programme : En cloque, mode d’emploi, 40 ans toujours puceau ou encore Supergrave. Le résultat, lui, est plutôt surprenant, entre farce potache, satire sociale et portrait cinglant d’une Amérique bien pensante bourrée d’hypocrisie et de clichés.
Dans ce nouvel opus (qui mêle une partie des acteurs abonnés comme Seann William Scott, ainsi que le réalisateur de Wet hot americain summer et The ten, David Wain), les cibles sont multiples : des associations caritatives pleines de bonnes intentions aux campagnes anti-drogues sponsorisées par une boisson énergisante, en passant par le mythe de l’enfant défavorisé qui a besoin d’aide. Même si la traduction française a tendance à affadir les propos fleuris des différents personnages, on rigole franchement devant ces adultes immatures confrontés à ces enfants qui, au final, leur renvoient comme une caricature d’eux-mêmes et de l’aspect exaspérant qu’ils peuvent avoir auprès de leur entourage. La métaphore du jeu de rôle est ainsi plutôt bien choisie (et exceptionnellement pas trop caricaturale) et les échanges entre Wheeler, l’obsédé sexuel, et son protégé de dix ans sur la manière de regarder les poitrines féminines sans se faire prendre est plutôt savoureux…
Mais bien sûr, l’irrévérence a ses limites, et le film ne parvient pas à s’extraire totalement du cadre convenu de la comédie américaine traditionnelle. La trame narrative est ainsi tristement banale (tout va mal, puis ça commence à aller mieux, avant le dernier obstacle qui mène au happy end) et impossible d’échapper à la traditionnelle morale finale bourrée… de bons sentiments. L’impression que laisse le film (au-delà de son aspect indéniablement ludique), c’est que s’il est relativement aisé de s’extraire d’une forme conventionnelle, il n’est toutefois pas donné à tout le monde de savoir jouer sur le fond.
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