Steven Spielberg et Harrison Ford rejouent aux aventuriers avec Indiana Jones 5

Posté par vincy, le 15 mars 2016

Malgré un quatrième épisode décevant (mais très profitable avec près de 800 millions de $ de recettes dans le monde), Steven Spielberg et Harrison Ford remettent le couvert pour un cinquième Indiana Jones, a annoncé Disney aujourd'hui. Le film sortira le 19 juillet 2019.

Certes Ford est peut-être un peu vieux pour le rôle. Il aura 76 ans le jour de la sortie. Rappelons que Sean Connery qui interprétait le père du héros dans le troisième film n'avait que 69 ans... Et retrouvera-t-on Shia LaBeouf dans le rôle du fils (ne parlons pas de malheur)?

Le film continuera d'être produit par les Kathleen Kennedy et Frank Marshall. La réunion du quatuor, qui aura été de tous les épisodes, se fait donc 35 ans après la sortie des Aventuriers de l'Arche perdue, énorme succès et film culte. Suivaient ensuite Indiana Jones et le temple maudit (1984), Indiana Jones et la Dernière croisade (1989) et Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (2008, hors compétition à Cannes). Au total, les quatre films ont rapporté plus de 900 millions de $ en Amérique du nord (2 milliards en ajustant le prix du billet de cinéma à l'inflation).

Harrison Ford a été à la tête de cette franchise sur son nom propre mais aussi l'une des vedettes de la saga Star Wars, dont le dernier épisode, où il a un rôle central, est devenu la plus grosse recette historiques aux Etats Unis. Ainsi cinq films où il est à l'affiche font partis des 25 films les plus vus sur le territoire nord-américains. Il prépare actuellement la suite de Blade Runner, prévue pour 2018, et s'apprête à tourner Official Secrets de Justin Chadwick, avec Natalie Dormer et Gillian Anderson.

Steven Spielberg, dont Le pont des espions est sorti en décembre, sortira son prochain film cet été, Le bon gros géant. Il enchaînera ensuite avec Reader Player One, avec Olivia Cooke, Tye Sheridan et Ben Mendelsohn. Dans son planning, il a prévu de réaliser It's What I Do, avec Jennifer Lawrence, même si aucune date de tournage n'est confirmée.

Québec 2015 : un léger rebond de la fréquentation qui profite au cinéma américain

Posté par vincy, le 21 février 2016

En 2015, le cinéma au Québec s'est plutôt bien porté. Les recettes sont en hausse de 7% (161M de dollars canadiens), après une sévère chute en 2014, mais ne rattrapent pas le niveau du début de décennie. En nombre d'entrées, la fréquentation repasse au dessus des 20 millions de spectateurs (20 091 182 pour être exact), soit une progression de 7% également, mais là encore loin du niveau de 2011 (22,25 millions d'entrées).

Si ce rebond est salutaire, il n'empêche pas de constater que l'assistance dans les salles n'a pas retrouvé son niveau de la période 1997-2012, quand chaque année, plus de 22 millions de québécois allaient au cinéma. Cependant, c'est la deuxième fois que la fréquentation remonte depuis 2002, année record après laquelle a été amorcé un déclin continuel du nombre d'entrées.

Avec un ticket moyen d'entrée stable au niveau du tarif (8 CAN$), et un nombre de salles, d'écrans et de fauteuils quasiment identique depuis 2012 (103 complexes, 742 écrans, 140 000 fauteuils) et un nombre de projections qui continue de progresser, l'exploitation consolide plutôt ses positions.

4 entrées sur 5 pour un film américain

Côté box office, en revanche, la part de marché du cinéma québécois est très en dessous des 10%, seuil symbolique dépassé en 2011 pour la dernière fois. 1,562 million de spectateurs a été voir un film local. C'est une belle hausse de 23% par rapport à 2014, mais cela reste désespérément bas. Aucun film québécois ne se situe dans le Top 10 des films les plus populaires de l'année.

Ce Top 10 est 100% américain (avec 8 suites, et une moitié proposée également en 3D). Les Minions domine le classement avec 846 210 entrées. Mais Star Wars Episode VII est en fait le véritable vainqueur. Sorti en fin d'année, avec deux fois moins de projections que Les Minions, Star Wars a séduit 837 725 spectateurs et rapporté davantage de recettes grâce aux séances 3D. Derrière ces deux champions on retrouve Jurassic World (Monde jurassique), Fast & Furious 7 (Dangereux 7) et 007 Spectre. Les films américains, au total, ont capté 80,6% des entrées (et 81,6% des recettes).

Seulement 5 films québécois ont attiré 100 000 spectateurs

Derrière, on retrouve le cinéma québécois, le cinéma britannique (851 820 entrées, 4,3%), le cinéma français (849 157 entrées, 4,2%, contre 1,17 million l'an dernier) et loin derrière le cinéma canadien (67 059 entrées, 0,3%).

Le cinéma québécois a quand même connu une belle année avec 5 hits ayant dépassé les 100 000 spectateurs (les quatre premiers ont même obtenu plus d'un million de $ canadiens de recettes): La Guerre des tuques 3D, Le mirage, La passion d'Augustine (10 fois nommé aux prix du cinéma québécois), Paul à Québec et Ego Trip. En 2014, avec 363 000 entrées, Mommy de Xavier Dolan avait réussi à se classer dans le Top 10 et séduit plus de spectateurs que le champion de cette année, un film d'animation, La guerre des tuques 3D (347 000 entrées). En 2013, Louis Cyr, 5e film le plus toutes nationalités confondues avait séduit 473 000 spectateurs.

Le cinéma québécois connait ainsi un problème récurrent. Seuls quelques films s'accaparent les faveurs de son public. Les trois leaders de 2015 ont ainsi récolté 57% des recettes du cinéma québécois.

Bilan 2015: un box office français toujours leader en Europe, sauvé par les films américains

Posté par vincy, le 23 janvier 2016

-1,4% d'entrées en salles en 2015. La fréquentation des cinémas reste toujours à un niveau très haut en France avec 206,06 millions de billets vendus, selon les chiffres publiés par le Centre national du cinéma (CNC). C'est même assez exceptionnel après une année 2014 qui était la deuxième meilleure année depuis 1967. La France reste donc, de loin, le plus gros marché européen.

Les salles de cinéma peuvent dire merci à Star Wars qui a littéralement boosté l'année.

Gros bémol cependant, la part de marché des films français a nettement baissé en 2015 avec 35,2% des entrées, contre 44,4% en 2014 (certes année exceptionnelle grâce à Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu?, Supercondriaque et Lucy, tous au dessus des 5 millions de spectateurs).

Par conséquent, les films américains se taillent la part du lion avec 112,24 millions d'entrées, leur plus haut niveau depuis 1958 (112,90 millions) et une part de marché de 54,5%, (contre 45,4% en 2014).

8 films du Top 10 made in USA

Côté box office, les Américains règnent en maître également avec 8 films dans le Top 10 dont trois au dessus des 5 millions d'entrées (Star Wars épisode VII, Les Minions et Jurassic World. Sur les 23 films au dessus des 2 millions de spectateurs, 17 sont américains. Kev Adams est le seul à résister à l'envahisseur avec ses deux films dans le Top 10: Les aventures d'Aladin (4,42 millions d'entrées) et Les Profs 2 (3,49 millions d'entrées).

La comédie française reste le genre préféré

La comédie française reste le genre le plus populaire puisque, outre les Kev Adams, les plus gros succès français (hors Taken 3) sont Papa ou maman, Pourquoi j'ai pas mangé mon père et Babysitting 2. Cela n'a pas empêché certains films d'auteurs d'attirer beaucoup de spectateurs, au point d'être très rentables tels Les souvenirs, Marguerite, La loi du marché, L'hermine, Lolo, Mon roi, La tête haute ou même Mustang.

A l'inverse, le cinéma français a connu de gros fiascos comme Chic!, Les Gorilles, En mai fais ce qu'il te plaît, Nos femmes, Premiers crus et Entre amis (qui ont en commun d'avoir tous coûté plus de 8 millions d'euros).

Une animation au top

Notons la belle performance de l'animation aussi avec 10 films au dessus du million de spectateurs (et soyons indulgent 11 avec Shaun le mouton qui a arrêté son compteur à 997000 spectateurs).

Les suites, reboots et autre spin-off ont également cartonné avec 22 films parmi les 44 millionnaires (Vice-Versa est le plus gros succès avec un scénario original).

5 succès ni américains ni français

Du côté des "films d'ailleurs" (hors coproductions anglo-américaines), peu de surprises. On pourrait compter Le dernier loup, surtout chinois, mais avec le label Annaud et ses 1,28 million d'entrées. Mais il y a eu quelques belles réussites comme l'allemand Maya l'abeille (1 million d'entrées), le britannique Shaun le mouton, le belge Le Tout nouveau testament (816 000 spectateurs) et l'iranien Taxi Téhéran (575 000 spectateurs).

Universal, Disney et la Fox sur le podium

Enfin, du côté des distributeurs, comme aux Etats-Unis, Universal Pictures domine le marché avec 14,8% des entrées (23 films dont 4 dans le Top 10, 28 millions d'entrées), devant Walt Disney avec 13% des entrées (13 films dont 3 dans le Top 10, 24,5 millions d'entrées) et la 20th Century Fox avec 9,5% des entrées (21 films dont 2 dans le Top 20, 17,9 millions d'entrées). Warner Bros est 4e (2 films dans le Top 20).

Côté français, Mars Distribution est leader, et 5e distributeur de l'année, avec 6,9% des entrées (24 films dont La famille Bélier sorti fin 2014). Pathé, 6e, a pu compter sur les succès d'Aladin, de Papa ou maman et de Pourquoi j'ai pas mangé mon père. SND (Divergente 2) et UGC (Les Profs 2) sont les deux autres distributeurs nationaux à se classer dans le Top 10, aux côtés des studios américains (Paramount, 7e, Sony, 8e, sauvé grâce à 007 Spectre qui a fait quasiment la moitié de ses entrées annuelles). Notons que Métropolitan (Hunger Games 4), Europacorp (Taken 3, Bis), Gaumont (Belle et Sébastien 2, Connasse princesse des coeurs), Studiocanal (Imitation Game), Wild Bunch (Une heure de tranquillité), Memento (Marguerite) et La Belle Company (Maya l'abeille) ont tous eu un film millionnaire cette année.

Mon film de l’année 2015 : Star Wars, épisode VII: Le réveil de la force de J.J. Abrams

Posté par wyzman, le 27 décembre 2015

star wars le réveil de la force épisode 7 han solo harrison ford

Dix ans après La Revanche des Sith, La Force a à nouveau frappé dans les salles de cinéma. Et il faut reconnaître que cet acte marquera l'histoire du cinéma pendant au moins une décennie. En effet, s'il ne faut retenir qu'un seul film de toute cette année 2015, c'est sur Le Réveil de la Force que mon choix se porte. Premier volet d'une nouvelle trilogie, le film réalisé, scénarisé et produit pas J. J. Abrams est une véritable pépite de space opera, un genre que George Lucas himself a popularisé et auquel il a donné ses lettres de noblesse. C'était en 1977 avec le premier Star Wars, désormais intitulé épisode IV: Un Nouvel espoir.

Trente-huit ans plus tard, c'est avec un certain aplomb que J. J. Abrams s'est engouffré dans l'univers qui l'a bercé pour livrer un film intense, attendu et épique. Intense car, que l'on soit fan ou pas de la saga, l'évocation de Star Wars suscite de vives réactions, bonnes ou mauvaises. Attendu car Star Wars figure aujourd'hui encore parmi les 3 sagas les plus rentables de l'histoire et que son influence dans la pop culture n'est plus à démontrer. Épique car pendant 135 minutes, le réalisateur de Super 8 nous envoie bien au-delà du septième ciel : aux confins de l'espace grâce à des scènes d'action franchement brillantes.

Les détracteurs du film (et de la saga) évoquent un marketing abject, du fan service à peine masqué et une pâle copie de l'épisode 4. Certes, il y a un peu de vrai dans tout cela. Mais c'est également là que l'on retrouve le génie du jeune Abrams. Plus que conscient de la valeur de la saga pour l'industrie du spectacle, celui-ci a repris les étapes clés de la première trilogie pour les déconstruire, les arranger à sa sauce et faire un film qui parle aux plus anciens, aux novices et aux fans de demain. Avec son casting multigénérationnel et où la diversité se voit, Le Réveil de la Force n'est pas un simple blockbuster made in Disney mais bien un événement auquel personne n'a pu échapper.

Entre cette héroïne qui émerge, cet acolyte noir et en vie, ce boy-scout pas si présent que ça et ces parents qui se remettent en question, Star Wars 7 fait preuve d'une modernité déconcertante voire attendrissante. Doté d'une philosophie bien à lui, où la limite entre bien et mal est moins christique que par le passé, Le Réveil de la Force est un énorme divertissement et un gigantesque spectacle dans lequel la magie opère. Les dialogues semblent d'un autre temps mais le tout est visuellement futuriste. Et c'est une chose que l'on ne peut pas enlever au bébé de J. J. Abrams ! C'est d'ailleurs parce qu'il ne réalisera pas les deux prochains volets que l'on peut décemment dire que cet épisode VII est le film de sa vie, l'œuvre dont le public se souviendra à jamais. Plus encore, c'est un bijou visuel qui renferme tout l'univers créé par George Lucas, le père spirituel de J. J. Abrams, et la pâte de ce dernier.

Que l'on ait aimé ou simplement eu envie de voir ce Star Wars 7, il n'en demeure pas moins le film de l'année, celui qui a dynamité comme jamais le box office et remis au goût du jour une saga que l'on trouvait jusqu'à il y a peu vieille et ringarde. Drôle, fantastique et empli d'une nostalgie et d'une volonté de faire plaisir assumées et revendiquées, Le Réveil de la Force clôt avec brio une année 2015 inoubliable.

Edito: « La vie c’est comme un cornet de crème glacée »

Posté par redaction, le 24 décembre 2015

Noël arrive à temps. Pas qu’on soit forcément enthousiastes de subir les polémiques et "enguirlandages" de famille, de se réjouir des kilos supplémentaires pris dans les hanches, de s’affoler à l’idée d’avoir dépensé trois semaines de vacances en une soirée de cadeaux (dont certains seront revenus le lendemain au profit du bénéficiaire). Sans parler de tous ces films souvient mièvres où le sapin fait office de médiateur ou d’entremetteur. Mais, comme dirait Capra, La vie est «belle ».

Bah oui, franchement, nous sommes en vie. Comme le disait Charles Schulz, le créateur de Snoopy et des Peanuts, "La vie c’est comme un cornet de crème glacée que vous devez le lécher un jour à la fois." Oui, Forrest Gump n’a rien inventé. Et après cette année terrible – des dessinateurs assassinés, l’ascension de Donald Trump, le tremblement de terre au Népal, les buzz débiles sur le web, genre la bite de Justin Bieber, les attentats du 13 novembre à Paris, les sales conditions de vie des réfugiés d’orient et du sud, la palme d’or à Dheepan, les terrasses au mois de décembre hashtag Cop 21, la destruction de Palmyre, les spoilers de Star Wars, la pauvreté qui progresse, et on en passe – et bien après cette année terrible, on a tous besoin d’élixirs et d’ivresse, de résurrection du bonheur, d’heures de fantaisie, de cyber-pause, de poésie, de silence, d’élans du cœur…

On peut aussi aller au cinéma. Se laisser étreindre par les images, séduire par les stars, s’évader par l’illusion. Mais oui, Noël arrive à temps pour rembobiner une année pourrie et, plutôt qu’un remake, écrire une année originale, flamboyante, positive, enrichissante, bref, le film de notre vie. Ou au moins une belle séquence.

Et pour citer de nouveau Maître Schulz, "Tout ce dont vous avez besoin c’est d’amour. Mais un peu de chocolat de temps en temps ne fait pas mal."

Star Wars : Le réveil de la Force bat (presque) tous les records

Posté par vincy, le 21 décembre 2015

Le 7e épisode de la saga Star Wars, Le réveil de la Force, était programmé pour battre tous les records. Qu'en est-il vraiment? En violet, ce sont les records déjà battus par Star Wars. En Italique, les records qui ne sont pas ou ne seront pas battus. [Mise à jour le 30/12/2015]

France: 8 millions d'entrées sinon rien

Nombre de copies en France: 1093, soit 15 de plus que le précédent record (Astérix aux jeux olympiques). C'est la cinquième fois qu'un film sort sur plus de 1000 copies en France.
Pré-ventes France: 500 000 tickets. Record historique détenu par Cinquante nuances de Grey (250 000)
Paris 9h Les Halles: 898 entrées. Record historique détenu par 007 Spectre (800).
Paris 14h: 16 415 entrées. Spider-Man 3 est donc toujours le plus fort (27 995 entrées) et 007 Spectre détient toujours le record 2015 avec 22 510 tickets vendus. Et La Menace fantôme (épisode 6) avait fait mieux avec 16 457 tickets.
France 1er jour: 619 200 entrées. Très loin derrière le recordman, 007 Spectre (qui sortait un jour férié-, avec 850 297 entrées. 2e meilleur premier jour de l'année, mais seulement 12e meilleur premier jour historique loin derrière Spider-Man 3, Taxi 2, L'âge de glace 3, quatre opus d'Harry Potter, et même La revanche des Sith (641 799 spectateurs). Le Réveil de la Force bénéficiait pourtant de la plus forte combinaison de salles.
Paris/Périphérie 1er week-end: 605 502 entrées (666 001 avec les salles NC), dépassant d'un cheveu le précédent record de Bienvenue chez les Ch'tis.
France 1er week-end: 2 705 096 entrées. C'est donc le meilleur démarrage de l'année. Et en fait le meilleur démarrage depuis 2008 (Bienvenue chez les Ch'tis avait séduit 3 586 497 spectateurs, Astérix aux Jeux Olympiques 2 711 869 spectateurs). Pour cette année, 007 Spectre avait attiré 1 977 848 spectateurs en 5 jours, avec un week-end impacté par les attentats du 13 novembre. Pour Star Wars, c'est donc le 8e meilleur démarrage historique. Mais seulement le 2e de la saga, derrière La revanche des Sith (2 878 764 fans). Et en moyenne par copie, il n'est que 435e!
France 1ere semaine: 3 801 235 entrées. Record pour un film américain. Au passage il dépasse le précédent record détenu par La revanche des Sith (3,3 millions d'entrées). C'est la troisième meilleure première semaine de l'histoire. Bienvenue chez les Ch'tis est toujours le champion historique avec 4 458 837 spectateurs, devant Les Bronzés 3 (3 906 694 entrées). Pour cette année, 007 Spectre avait réussi à attirer 2 203 539 spectateurs.
Box office 2015 France: Star Wars a dépassé le leader de l'année, Les Minion, le 28 décembre, 12 jours après sa sortie. Avec 6,8 millions d'entrées en deux semaines, le film devient le champion annuel du box office en un temps record.
Box office total France: La Menace fantôme a atteint 7 303 131 entrées (sans la ressortie 3D), qui finit 3e en 1999, et 62e du box office historique français. Le champion de l'année reste Les Minions avec 6 401 791 entrées.

Amérique du nord: 700 millions de $ comme objectif?

Nombre de salles de cinéma en Amérique du nord: 4134 (seulement la 39e sortie la plus importante). L'épisode 7 réalise donc la plus forte recette par cinéma pour un premier week-end en sortie nationale, devant Jurassic World.
Premier jour USA: 119,1 millions de $, battant ainsi le record de Harry Potter et Les reliques de la mort 2e partie.
Box office sur une journée: 119,1 millions de $, battant ainsi le record de Harry Potter et Les reliques de la mort 2e partie.
Box office vendredi: 119,1 millions de $, battant ainsi le record de Harry Potter et Les reliques de la mort 2e partie.
Box office samedi: 68,7 millions de $, soit le 3e score pour un samedi, derrière Jurassic World et le premier Avengers.
Box office dimanche: 60,5 millions de $, devant Jurassic World et les deux films d'Avengers.
Box office Lundi. 40,1 millions de $. C'est très loin du précédent record de Spider-Man 2 (27,6M$).
Premier week-end Amérique du nord: 247,9 millions de $, soit 39 millions de plus que le record historique de Jurassic World. Si on tient compte de l'inflation, le film bat également le record des Avengers.
Premier week-end en décembre: 247,9 millions de $, soit 163 millions de $ de plus que le record précédent du premier Hobbit.
Box office total Amérique du nord: Pour l'instant, le film, en un week-end, s'est classé 96e du box office historique et 7e du box office annuel. L'objectif est de dépasser le leader annuel, Jurassic World, et ses 652,27M$. Et pourquoi pas Titanic (658M$) ou Avatar (760M$). En recettes, le record de la saga est détenu par l'Episode I, La menace fantôme, avec 431,1 millions de $. Il a été le film le plus rapide à atteindre les 100M$; les 200M$, les 300M$, les 400M$ et les 500M$.
Box office total Amérique du nord (avec inflation): Avec 247,0 millions de $, le film a déjà fait la moitié du chemin jusqu'à l'épisode II (433,8M$). Record à battre: La Guerre des étoiles aurait récolté aujourd'hui 1,190 milliard de $ de recettes. Actuellement, 4 des 6 épisodes sont dans les 20 plus grosses recettes nord-américaines, en tenant compte de l'inflation. Pour entrer dans ce club, la barre est à 740M$.

Monde: Le milliard obligatoire

Premier week-end mondial: 529 millions de $ (soit 52% à l'international). C'est la plus forte recette mondiale en trois jours, juste devant Jurassic World. En trois jours, il se classe 141e dans le classement des plus fortes recettes mondiales.
Premier week-end international: 279 millions de $. Du coup il ne bat pas ni Jurassic World (316M$) ni le dernier Harry Potter (314M$).
Box office mondial: Avec 517M$, l'épisode 7 est en une semaine la 13e plus grosse recette de l'année. En 2e semaine, avec 1,2 milliards de $, il se clase dans le Top 10 des recettes mondiales historiques, derrière Iron Man 3.  Avatar et Titanic restent les seuls films à avoir dépassé le cap des 2 milliards de $ au box office mondial (Amérique du nord+international). Cette année, le record est détenu par Jurassic World (1,67 milliard de $). Mais La Force se réveille bat déjà le record (hors inflation) de la saga est détenu par La menace fantôme (984M$). En 10 jours d'exploitation, Star Wars 7 a été le film le plus rapide à franchir la barre du milliard de $ de recettes dans le monde.

Edito: La guerre n’aura pas lieu

Posté par redaction, le 17 décembre 2015

Il n'y a eu aucun combat. Toutes les nouveautés ont capitulé devant l'Empire. Le 7e épisode de Star Wars a déversé sa propagande (énorme) et plus de 4 spectateurs sur 5 ont rempli les salles hier. C'était attendu. Comment les autres films auraient-ils pu résister tant l'espace médiatique était saturé à longueur de journée?

Le blockbuster des fêtes va donc cartonner. D'autant qu'il n'est pas raté. Mais comment ne pas se désoler face à l'hécatombe de bons et très bons films qui sortaient en face? Nul besoin de trouver des responsables. On peut juste se demander comment un pays aussi cinéphile, qui vante sa diversité culturelle, qui nargue le monde avec son exception culturelle, peut se soumettre aussi facilement à la Force, sans même combattre. Désarmés?

Il faut le craindre: le marché se concentre de plus en plus. Et désormais, un film d'auteur qui dépasse les 500 000 entrées est un triomphe. La part de marché du cinéma français n'est d'ailleurs pas brillante. 5 productions françaises sont dans le Top 20 de l'année, aucune ne sera dans le Top 5. Et finalement, seul Kev Adams est bankable. Voilà le bilan.

Autant dire, qu'on se consolera avec les palmarès qui, eux, continuent à promouvoir des oeuvres plus audacieuses et qui trouvent, parfois, grâce à ces prix, leur public, à l'instar de Fatima, Mustang, Le Grand jeu ou Much Loved. Ils sont toujours en salles.

Star Wars 7: au box office, l’épisode sera-t-il celui de tous les records?

Posté par geoffroy, le 16 décembre 2015

Star Wars – Le réveil de la force peut-il accrocher le milliard de dollars sur le sol américain ?

Une telle perspective, affolante sur le papier, est loin d’être assurée. Mais, en observant la façon dont la campagne marketing a instrumentalisé l’imaginaire d’un retour aux sources afin de muer une envie d’aller voir le film en un désir inconscient de participer à la prolongation de ce mythe moderne, le nouveau long-métrage de J.J. Abrams pourrait bien faire du succès annoncé un triomphe absolu fédérant quatre générations de spectateurs. Mais jusqu'où? La franchise n'a jamais dépassé les 8 millions de spectateurs en France par exemple...

Rachat, développement et marketing…

En rachetant Lucasfilm à George Lucas pour 4 milliards de dollars, la compagnie Disney s’est rapidement mis à la tâche annonçant dans la foulée de cette acquisition une suite aux aventures légendaires de la première trilogie (La guerre des étoiles 1977, L’Empire contre-attaque 1980 et Le retour du Jedi 1983). Le père a ainsi coupé pour de bon les liens avec sa progéniture qui, libérée de l’emprise d’un patriarche devenu multimilliardaire, peut enfin aller conquérir de nouveaux horizons gage de profits mirifiques. Le marketing mis en place dès 2012 ne consistait pas à vendre le film aux futurs spectateurs mais à présenter la « marque » Star Wars comme l’évènement de l’année si ce n’est de la décennie. La communauté de fans a fait le reste en assurant le service après-vente de cette folie cinématographique planétaire.

Néanmoins, la transition ne pouvait se faire sans quelques précautions. En effet, il n’aurait servi à rien de braquer la horde de fans en proposant une suite originale trop éloignée du dénouement en forme d’happy-end du Retour du Jedi. Non, Star Wars 7 se devait de cultiver la continuité entre cohérence artistique et choix scénaristique. Si, de toute évidence, de nouveaux personnages vont évoluer dans des univers inconnus jusqu’alors, la réintroduction des anciens protagonistes devenus de véritables icônes du space-opera comme de la culture geek, n’est évidemment pas anodin.

Nostalgie quand tu nous tiens…

Revoir Luke Skywalker (Mark Hamill), la Princesse Leia (Carrie Fisher) ou Han Solo (Harrison Ford) constitue un tour de force capable de fédérer sur cette seule accroche de nombreux spectateurs aussi curieux qu’impatients de retrouver ce trio unique dans l’histoire moderne du cinéma de masse. De fait, la « prélogie » de George Lucas (La menace fantôme 1999, L’attaque des clones 2002 et La revanche des Sith 2005) ne constitue en aucun cas la référence du Réveil de la force dont l’encrage visuel nous fait penser à La guerre des étoiles et non à La menace fantôme. Question de filiation, de logique chronologique, de nostalgie savamment alimentée et de bon sens entrepreneurial. En un mot, il fallait reproduire l’esprit des films originaux quitte à renier une partie du travail de Lucas sur sa prélogie tant décriée.

Pour réussir une telle entreprise quoi de plus naturel que de s’appuyer sur la force d’une industrie bâtisseuse de rêve. La démarche semble authentique – pourquoi en douter, d’ailleurs – mais doit se conjuguer avec l’impératif d’exploitation d’un nouveau filon de films hyper rentables. Si la sincérité est de mise, elle vise également à ne choquer personne et surtout pas le fan hardcore des plus susceptibles. Il est évident qu’un tel traitement artistique orchestré au millimètre par un marketing distillant moult bande-annonce et autres spots publicitaires, cherche à faire de chacun – journaliste compris – non pas un spectateur en puissance mais un acteur à part entière responsable de la réussite du film. L’engouement, réel, se transforme en aiguillon du succès. Si le bouche à oreille vient conforter un démarrage que beaucoup qualifie d’historique, Star Wars 7 pourrait bien se rapprocher du milliard de dollars aux États-Unis.

L’exemple de Jurassic World…

D’un point de vue purement comptable, le parallèle avec Jurassic World peut nous éclairer sur la trajectoire possible du 7ème opus de la saga Star Wars. Si les films ne sont pas similaires dans leur approche ou bien dans l’univers qu’il convoque, ils semblent bien reprendre les mêmes recettes que leurs films originaux respectifs (Jurassic World s’inscrit effectivement dans cette logique en prônant le retour à un imaginaire enfantin et qui fonctionne, peu ou prou, sur les mêmes bases scénaristiques que Jurassic Park (idée du dérèglement)).

L’ADN fut donc respecté et le succès par effet d’association, d’adhésion populaire comme de découverte par les plus jeunes, au rendez-vous. SW7 se place indiscutablement sur la même trajectoire que Jurassic World mais se trouve muni d’un référent historique bien plus puissant. Ce qui veut dire que son potentiel en salles est supérieur que l’on prenne en compte sa base de fans ou le public dans sa définition la plus large possible.

Quelques chiffres…

Jurassic World réalise 652M$ en 2015. Soit le meilleur score de l’année lui permettant de se placer directement au 3ème rang des plus gros succès US de tous les temps (hors inflation) juste derrière les 760M$ d’Avatar et les 658M$ de Titanic. Il n’est donc pas illogique de penser que Star Wars 7 fera mieux. Mais jusqu’où peut-il aller ? Si l’ampleur du succès est difficile à jauger, différents facteurs conjoncturels jouent en faveur du film de J.J. Abrams.

1/ L’absence de concurrence face à un film hors norme qui risque bien de tout vampiriser sur son passage.

2/ Des films en fin de carrière qui ont globalement moins bien marchés comme le dernier épisode de la série des Hunger Games.

3/ La période des fêtes de fin d’année idéale pour des sorties en famille et entre copains.

4/ La multiplication des salles IMAX et équipées en projection 3D qui vont gonfler les recettes

Pronostics Ecran Noir de Star Wars Le réveil de la force aux USA : 800 à 850M$

5 raisons de croire en Star Wars 7

Posté par wyzman, le 16 décembre 2015

Jour J pour la sortie nationale de Star Wars, épisode 7 : Le Réveil de la Force ! Et dire que nous sommes impatients serait un énorme euphémisme. Après des mois de teasing, le messie de notre année ciné va enfin faire son entrée (fracassante a priori) dans nos salles obscures, deux jours avant d'envahir les autres pays. Bien que les fans de la première trilogie semblaient sceptiques, les accros de la seconde sont plus que ravis que le film soit l'œuvre de J. J. Abrams, alias le réalisateur qui a brillamment ramené Star Trek à la vie. Pour patienter dans la file d'attente, voici 5 bonnes de raisons de croire à ce nouveau volet, d'espérer que Disney ne s'est pas planté et d'avoir confiance en la Force.

Le titre envoie du lourd. Alors oui, en entendant "Le Réveil de la Force" nous avons tous eu le même mouvement de recul. Le Réveil de la Force ? Sérieusement, les gars ? Mais oui ! Et à mieux y penser, ce n'est peut-être pas plus mal. Ce septième volet sonne comme un retour aux sources, un retour aux fondamentaux. Parce qu'au cas où vous l'auriez oublié, ce qui différencie les gentils et les méchants de Star Wars, c'est leur appréciation de la Force. Si le titre ne fait pas plus rêver que cela, il annonce tout de même de belles choses : des personnages qui se croisent et apprennent à se connaître, des méchants qui émergent de l'ombre et tout un tas de combats magnifiques ! Et finalement, c'est tout ce que l'on aime dans la troisième saga la plus lucrative de toute l'histoire.

Le mystère est total. Qui dit gros blockbuster dit gros budget, grosse attente et gros embargo. Bien que certains aient encore du mal à s'y faire, ce n'est pas notre cas. Plus encore, face à un film dont le budget dépasse les 200M$, Disney préfère que rien ne compromette son excellent plan marketing. Signer un formulaire d'accord de confidentialité n'est pas un drame. Ne pas critiquer le film avant mercredi 16 décembre 9h01 ne va pas nous tuer. Ne pas dévoiler l'intrigue et les liens entre les personnages n'est pas trop demander. Car à tous ceux qui ne verront pas Le Réveil de la Force le jour de sa sortie, il convient de penser. Et c'est pour ça que le film nous rend tous un peu fous. Car entre nous, on le sait tous ! Un gros embargo ne peut signifier que deux choses : le film est ultra attendu et doit attirer les masses dès les premiers jours d'exploitation (salut Jurassic World) ou c'est une catastrophe que l'on est bien obligé de distribuer (coucou Cinquante nuance de Grey) ! Mais dans le cas de ce Star Wars, on penche pour la première option.

L'opération marketing a parfaitement fonctionné. Alors oui, cela fait plusieurs semaines que l'on nous matraque d'images de Star Wars et que chaque annonceur veut sa part du gâteau - quitte à coller le logo de la saga sur des produits qui n'ont aucun rapport. Mais ce n'est pas grave. Nous qui avons tendance à regretter la promotion de films à l'américaine, nous avons été servis. La question étant maintenant de savoir combien de fois nous irons voir le film, en VO ou en VF, en 2D ou en 3D, IMAX ou pas IMAX. Les grands médias ont tous parlé du film, les réseaux sociaux s'en sont donnés à cœur joie et après tout le buzz, il serait bien dommage de ne pas aller voir par soi-même ce que donne le blockbuster d'auteur de l'année.

Le casting fait rêver. C'était l'une des variables qui nous faisait peur. Qui pour remplacer Mark Hamill, Carrie Fisher, Harrison Ford, Hayden Christensen, Natalie Portman et Ewan McGregor ? Avec John Boyega dans l'un des rôles phares, la production a visé juste. Accompagné de la britannique Daisy Ridley (Mr Selfridge),  Oscar Isaac (A Most Violent Year) et Adam Driver (Inside Llewyn Davis), tout ce beau monde devrait faire des étincelles dès les premières minutes. Et comme si cela ne suffisait, la production s'est offert les services de Domhnall Gleeson (Ex Machina) et Gwendoline Christie (Game of Thrones), deux autres valeurs sûres. Parfaits inconnus ou visages familiers, cette petite troupe va vous mettre des étoiles dans les yeux. Mais pour ne pas trop prendre de risques et aiguiser nos désirs, c'est avant tout le retour de Hamill, Fisher et Ford qui a été mis en avant pour attirer les nostalgiques de la première trilogie.

La nostalgie est tendance. Alice au Pays des merveilles en 2010. Le Monde fantastique d'Oz en 2013. Into the Woods en 2014. Cendrillon cette année. Disney l'a bien compris, pour rencontrer le succès, autant taper dans ce qui a déjà marché. Et Star Wars entre dans cette logique - pour notre plus grand bonheur. Si le film se déroule dans un univers qui nous est familier, il n'a rien à envier à ses prédécesseurs. J. J. Abrams, fan de la première heure, était d'ailleurs le mieux placé à Hollywood pour s'adresser à tous les passionnés de la saga. L'année où l'on ressort les dinosaures de Jurassic Park, où James Bond continue d'être hype et où Mad Max a ressuscité, il paraît évident et certain que Star Wars sera un carton public. C'est dans les vieux pots qu'on trouve les plus grosses recettes, n'est-ce pas ?

Star Wars 7 : trois bandes annonces de fans étonnantes

Posté par kristofy, le 15 décembre 2015

Encore quelques heures à attendre avant de se précipiter aux premières projections du matin, de la journée, du soir et de la nuit... Ce mercredi 16 décembre est donc le jour tant "espéré" de la sortie du film le plus attendu de l'année dans cette galaxie, La force se réveille, septième épisode de la saga Star Wars. On se retrouve tous nostalgique du célèbre générique nous racontant que "il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine..." A cette époque des années 1970, pas grand-monde était vraiment passionné par ce space-opera que préparait George Lucas : une princesse qui a volé les plans de l'Etoile de la Mort, l'arme de destruction assez puissante pour détruire une planète tout entière pour le maléfique Empire Galactique ; elle va être aidée par des rebelles dont un futur chevalier Jedi, un contrebandier, deux robots et un wookiee pour contrer Dark Vador, dont le masque dissimule celui qui...

Le studio producteur n'y croit pas beaucoup et sort frileusement le film dans une trentaine de salles en 1977, et très vite La guerre des étoiles se retrouve dans tous les cinémas des Etats-Unis puis dans le monde avec un succès incroyable. Ce qui deviendra Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir sera donc suivi de deux autres épisodes en 1980 et 1983. En 1999 (et 2002, puis 2005), voila que nous arrive une nouvelle trilogie débutant une trentaine d'années avant la génération des parents de Luke et Leia. 'Every generation has a story'... L'histoire était terminée jusqu'à ce 16 décembre jour de sortie de Star Wars: Épisode VII - Le réveil de la Force avec cette fois la génération de leurs enfants, des nouvelles aventures qui sont le prélude à un nouveau film qui arrivera presque chaque année (une nouvelle trilogie alternée avec des épisodes spin-off centrés sur quelques personnages à différents périodes). Que la Force soit avec vous durant l'attente de découvrir ce tout nouveau film...

Quelques bandes-annonces se sont suivies (teaser, 2e teaser avec plus de 70 millions de vues, trailer, trailer japonais...) avec à chaque fois quelques nouvelles images. Une telle excitation a évidement inspiré plusieurs parodies de fans plus ou moins créatifs (une version "swedée" façon Gondry, une version avec les mots chantés par Adèle, une spéciale rajouts numériques George Lucas, une avec des jouets Légo...).

Nous en avons retenu trois.

- une bande-annonce 'retro-cut' : les images de 2015 recadrées avec une bande-son vieillie d'une trentaine d'années

- une bande-annonce 'un nouvel espoir' : la musique de 2015 avec les images de la première trilogie

- un trailer avec des réactions de fans en direct : on retient son souffle les larmes aux yeux, Star Wars Le Réveil de la Force le 16 décembre !!