Posté par MpM, le 28 avril 2009
Depuis 2004, la section Cannes Classics propose une sélection de classiques restaurés ou retrouvés, dans le cadre de leur ressortie en salle ou en DVD. Cette année, on croisera notamment Godard, Tati et Visconti ainsi que plusieurs films restaurés par la World Cinema Foundation qui, sous la présidence de Martin Scorsese, aide les pays en voie de développement à sauvegarder leur patrimoine cinématographique.
Classiques en copies neuves et restaurées
Les Chaussons rouges de Michael Powell et Emeric Pressburger
L’Enfer retrouvé, souvenirs d’Henri-Georges Clouzot
L'Avventura de Michelangelo Antonioni
An uns glaubt Gott nicht mehr d’Axel Corti
Loin du Vietnam de Joris Ivens, William Klein, Claude Lelouch, Agnés Varda, Jean-Luc Godard, Chris Marker, Alain Resnais
Pierrot le fou de Jean-Luc Godard
Prince Yeonsan de Shin Sang-ok
Senso de Luchino Visconti
Les vacances de M. Hulot de Jacques Tati
Victime de Basil Dearden
Réveil dans la terreur de Ted Kotcheff
Les yeux sans visage de Georges Franju
Dans le cadre de la World Cinema Foundation 2009
A brighter summer day d’Edward Yang
La Momie de Shadi Abdel Salam
Redes d’Emilio Gomez Muriel et Fred Zinnemann
Documentaires sur le cinéma
Les deux de la vague d'Antoine de Baecque et Emmanuel Laurent.
Pietro germi, il bravo, il bello, il cattivo de Mario Bondí
Dans le cadre du centenaire Joseph Losey
Accident de Joseph Losey (photo)
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Posté par MpM, le 28 avril 2009
Parmi les neuf films qui concourront pour la Palme d'Or du court métrage cette année, un seul n'a pas été produit en Europe ! Pour autant, on aura malgré tout la possibilité de découvrir des cinématographies peu diffusées comme celle de Lettonie, de Croatie et du Portugal.
Le jury chargé de décerner la Palme, ainsi que le prix de la Cinéfondation, réunit les réalisateurs Bertrand Bonello (France) et Ferid Boughedir (Tunisie) ainsi que les actrices Leonor Silveira (Portugal) et Zhang Ziyi (Chine) sous la présidence du grand cinéaste britannique John Boorman.
The six dollar fifty man de Mark Albiston et Louis Sutherland (Nouvelle Zélande)
Larsog Peter de Daniel Borgman (Danemark)
Rumbo a peor d'Alex Brendemühl (Espagne)
Missen de Jochem de Vries (Pays Bas)
L'homme à la Gordini de Jean-Christophe Lie (France)
Ciao Mama de Goran Odvorcic (Croatie)
Klusums de Laila Pakalnina (Lettonie)
Arena de Joao Salaviza (Portugal)
After tomorrow d'Emma Sullivan (Grande Bretagne)
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Posté par vincy, le 28 avril 2009
Trop fort, le porc. Cette bête a la grippe, menace la planète entière avec son virus et même le superhéros mutant, Wolverine, a préféré ne pas l'affronter... Si la pandémie est réellement dramatique, on reste toujours surpris de voir des nouvelles insolites se glisser entre les décès, les mesures et la panique entretenue par pur goût du sensationnalisme. La sortie de Wolverine au Mexique, là où la grippe a démarré et compte le plus grand nombre de victimes, a été retardée. Le film devait sortir jeudi et la Fox a préféré la décaler sans précision. Les cinémas de Mexico City étant fermés actuellement, il ne servait à rien de sortir le film dans le pays, sans le diffuser dans la capitale.
L'avant-première qui devait avoir lieu mercredi a aussi été annulée. Le communiqué de la Fox est un modèle de douceur pour un super-héros censé être assez sauvage : "Nous ne sommes pas seulement inquiets du bien-être de Hugh (Jackman), et nous n'enverrions jamais quelqu'un dans une zone de danger (...) cela n'avait pas de sens d'organiser (la première) dans ces conditions."
De quoi gâcher le début de la saison des blockbusters. Car rien ne dit que cette grippe ne touchera pas les états frontaliers du Mexique comme la Californie ou le Texas. Pour l'instant, les autres studios concernés n'ont rien annoncé concernant Star Trek (prévu le 8 mai) ou Anges & Démons (le 15 mai). Si la grippe se propage dans le pays, le Festival international de cinéma d'Acapulco (3-9 mai) pourrait aussi être menacé.
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Posté par vincy, le 27 avril 2009
Vu en Espagne avec trois semaines d'avance sur le programme cannois. Les étreintes brisées, nouveau mélo plus tragique que comique de Pedro Almodovar, y est sorti le 20 mars, avec un succès relatif, (pour l'instant il a ramassé moins de 5 millions d'euros de recettes).
La signature du cinéaste est présente dès les premiers plans. Un regard singulier sur un tête à tête banal. L'histoire s'avérera pourtant complexe en trahisons, passions, meurtre et tromperies. Mais, ici, Almodovar en profite pour revisiter son oeuvre, se créant un double (Mateo Blanco / Harry Caine, interprété par Lluis Homar). Il s'autocite, en se concentrant essentiellement sur une partie de sa filmographie qui s'étend de 1988 à 1997 avec Angelina Molina (qui voit en Penelope Cruz, sa fille, ce qu'elle était dans En chair et en os), la présence d'un éditeur (La fleur de mon secret), de talons aiguilles (ici très vermillons) ou d'un caméraman obsessionnel (Kika), dérivé homo et pervers de ce qu'aurait pu être Pedro A. Le réalisateur reste ainsi dans le carcan de son scénario, qui fait des allers-retours dans le temps: l'histoire se déroule entre la première moitié des années 90 et aujourd'hui. En puisant dans ses souvenirs, il restitue une époque qui semble bien lointaine : une Espagne arriviste, peuplée de nouveaux riches. Il s'agit surtout, et la scène finale est anthologique pour cela, d'un film miroir à Femmes au bord de la crise de nerfs, son film emblématique (qu'il pense d'ailleurs adapter pour la télévision américaine). Penelope Cruz en double de Carmen Maura nous refait le coup du lit brulé, du gaspaccio qu'il ne faut pas boire, ou de la valise prête à partir. On y croise avec jubilation les protagonistes féminines de cette comédie, et le doublage joue là aussi un rôle primordial dans l'énigme.
Mais le film n'est pas qu'une remise en question, une interrogation de son travail. Toujours sur sa voie exploratrice des nuances de la rédemption, Almodovar fouille un peu plus les chemins de la résurrection. On peut survivre, et renaître différent. On peut aussi mourir, et rester éternel grâce au cinéma. Ces étreintes brisées sont ces impossibilités d'aimer, de laisser l'autre libre, de respecter cet élan qui nous échappe, de se casser en deux parce que l'autre nous sert trop fort. Le maître de la movida espagnole signe ainsi une oeuvre noire, romantique (dans son sens littéraire), pas forcément chaleureuse, mais n'oubliant pas d'être drôle.
Peut-être inégal, sans aucun doute précis, artistiquement fidèle, le film, tacheté du rouge sang, expose les croix (cruz) comme autant de signes intangibles mais bien visibles de ce qu'il veut révéler : l'existence d'un fantôme, comme dans Volver (où il a repris de nombreuses comédiennes), mais qui hante plutôt les souvenirs et les images. Cette croix que tout le monde porte est évidemment le destin de cette secrétaire et actrice jouée par Pénélope Cruz (croix). Il s'amuse avec elle comme on joue à la poupée (perruquée, déshabillée, maquillée). Une star piégée dans un bal (trappe), dont la beauté étourdit d'amour le réalisateur (le faux et le vrai) les rendant ainsi aveugles, aveuglés.
Le spectateur lui est resté bien clairvoyant, aspiré par cette embrassade passionnelle. Depuis La mauvaise éducation, Almodovar n'en a pas finit avec son passé.
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Posté par Claire Fayau, le 27 avril 2009
L'histoire : "Dominique, nique, nique..." Ce refrain entêtant connut un immense succès international dans les années soixante. Rares sont les Dominique à qui on ne l'a pas chantonné. Mais qui connait la vie de la créatrice, Sœur Sourire (la mal nommée), alias Jeannine Deckers?Le film raconte le destin hors du commun de cette jeune belge, de son ascension dans les charts à sa descente suicidaire aux enfers.
Notre avis: Après Piaf, Mesrine, Sagan, Chanel, voici donc la biographie filmée de Soeur Sourire, qui avait déjà eu droit à un film sur sa vie et son oeuvre en 1965. Le film s'appelait Singing Nun (La nonne chantante) avec Debbie Singin' in the Rain Reynolds.
A l'époque, Jeanine Deckers était en état de grâce, et ce film hollywoodien ne devait montrer que le côté plaisant de Soeur Sourire. En 2009, le point de vue est plus réaliste et la reconstitution plus simpliste. Le film 100% belge de Stijin Coninx aborde son homosexualité, ses problèmes de drogue et d 'argent, et sa fin, misérable. On est loin du rêve Hollywoodien.
S'il y a au moins une qualité dans ce film, c'est en effet de ne pas avoir canonisé Jeannine Deckers. En se concentrant sur sa personnalité fragile et ses crises identitaires, il accroche le spectateur avec des facettes cachées, qui compensent l'étirement de cette vie étrange. La "Star Sourire", Cécile de France, qui prend le voile et la guitare avec ferveur, se sent possédée par son personnage, aux côtés de Sandrine Blancke, formidable amoureuse - ange gardien, de Marie Kremer, jolie confidente... et la pas si sénile Tsilla Chelton , en doyenne des dominicaines.
Malheureusement, le film est un fourre-tout. Cette valise en carton ne tient pas ses promesses et s'essouffle sur la longueur. On ne vibre (pas) ô ma soeur. Cette réalisation aussi plate que le pays d'orgine ne met pas en relief kes motivations de Jeannine, tellement impulsive qu'on a du mal à la suivre. Certains passages ont recours aux grosses ficelles, effets appuyés pour arracher un sourire ou soutirer une larme. Sans parler des erreurs historiques. Film imparfait, personnage méconnu et attachant, on vous recommande d'appeler un exorciste à la fin pour vous enlever de la tête ce satané refrain Dominique , nique, nique...
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Posté par vincy, le 26 avril 2009
Le Centre Wallonie-Bruxelles (Paris, 4e) organise un cycle cinéma et architecture ("Lieux communs") du 27 au 30 avril. Les deux arts sont plus que reliés. Que serait Playtime sans la ville imaginée par Tati ou encore Lost in Translation sans l'hôtel design de Tokyo choisi par Coppola? Le cycle présentera des films comme L'arche russe de Alexander Sokourov ou Le Centre Georges Pompidou vu par Roberto Rossellini. Une conversation avec différents documentaristes spécialisés aura lieu le lundi 27 avril. de quoi comprendre comment un cadreur, un chef opérateur, un réalisateur abordent des lieux, des décors vivants, différents. Une manière de voir le cinéma.
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site internet du CWB
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Posté par petsss, le 25 avril 2009
Quel avenir pour la 3D au cinéma, en considérant les résultats un peu décevants de l’exploitation de Monstres contre Aliens, la dernière production animée de Dreamworks ? Le manque d’équipement des salles françaises en matière de projection 3D + le surcout du billet occasionné par l’offre des lunettes peuvent expliquer un frein à l’engouement du public.
Reste que la technique est au point et nombreux son ceux qui s’engagent désormais dans la production de ce nouveau format audiovisuel. Les professionnels se donneront d’ailleurs rendez-vous au cœur de la Seine St Denis où se tiendra du 2 au 4 juin, le premier festival européen dédié aux images en relief : Le Festival Dimension 3. Entre forums et ateliers consacrés aux dernières innovations, allant du documentaire au jeu vidéo, l’événement permettra de découvrir en avant-première le nouveau long métrage de Henry Selick (L’étrange Noël de Mr Jack) projeté (naturellement en relief) le samedi 3 juin au Ciné 104 de Pantin.
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Plus de renseignements sur dimension3-expo.com
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Posté par MpM, le 25 avril 2009
Créé en 2005, l’Atelier de la Cinéfondation a pour but d’accompagner des cinéastes (ayant déjà fait leurs preuves par le passé) dans la genèse de leur nouveau film. La sélection se fait parmi des projets aboutis bénéficiant au minimum de l’appui d’un producteur et d’une partie du financement nécessaire. Chaque année, ce sont ainsi 15 réalisateurs qui profitent du Festival de Cannes pour rencontrer des partenaires potentiels venus du monde entier et, très souvent, mettre la dernière main à leur projet de long métrage. En effet, après avoir fait partie de l’Atelier, les lauréats mettent en moyenne moins d’un an pour débuter le tournage de leur film.
Nombre d’entre eux ont d’ailleurs été présentés à Cannes par la suite comme Elève libre de Joachim Lafosse, Home de Ursula Meier ou Salamandra de Pablo Aguero. Des réalisateurs confirmés tels que Bertrand Bonello, Lou Ye ou Tsai Ming-Liang sont également passés par ce programme qui réaffirme la volonté du Festival de Cannes de ne pas seulement être une vitrine de la production cinématographique mondiale, mais bien un acteur à part entière de cette production. En plus de l’Atelier, la Cinéfondation propose également une résidence permettant d’accompagner des cinéastes dans l’écriture d’un long métrage et une sélection de courts métrages projetés dans le cadre du Festival qui met en lumière chaque année une vingtaine de cinéastes à suivre.
Parmi les heureux élus de l’Atelier 2009, on retrouve la Libanaise Danielle Arbid (Dans les champs de bataille, Un homme perdu), le Marocain Faouzi Bensaidi (Mille mois) et l’Argentin Diego Lerman (Tan de repente) mais aussi plusieurs auteurs de courts métrages travaillant sur leur premier long, à l’image du Français Bertrand Mandico. Les budgets prévisionnels, dont certains sont déjà complétés pour le tiers, voire la moitié, vont de 310 000 à 3,2 millions d’euros.
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Découvrir les projets de l'Atelier 2009.
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Posté par MpM, le 24 avril 2009
Avec Francis Ford Coppola en ouverture et deux réalisateurs habitués de la sélection officielle en compétition (Pedro Costa et Hong Sang-so), la Quinzaine des réalisateurs a magistralement ménagé ses effets pour concocter un programme alternatif particulièrement alléchant. Et comme en pied de nez à son illustre aînée, la section parallèle a mis l'accent sur l'Amérique du Nord (cinq longs métrages américains et trois canadiens) curieusement sous-représentée dans la course à la Palme d'or !
Ouverture
Tetro de Francis Ford Coppola (Argentine-Espagne-Italie)
Clôture
Ajami de Scandar Copti et Yaron Shani (Israël-Allemagne)
Compétition
La Pivellina de Tizza Covi et Rainer Frimmel (Autriche)
The Alasness of Things de Felix van Groeningen (Belgique-Pays-Bas)
Eastern Plays de Kamen Kalev (Bulgarie-Suède)
Carcasses de Denis Cote (Canada)
J'ai tué ma mère de Xavier Dolan (Canada)
Polytechnique de Denis Villeneuve (Canada)
Navidad de Sebastian Lelio (Chili)
Oxide 2 de Liu Jia Yin (China)
La famille Wolberg d'Axelle Ropert (France-Belgique)
Land of Madness de Luc Moullet (France)
Le roi de l'évasion d'Alain Guiraudie (France)
Les beaux gosses de Riad Sattouf (France)
Yuki & Nina de Nobuhiro Suwa et Hippolyte Girardot (France-Japon)
Daniel & Ana de Michel Franco (Mexico-Spain)
Karaoke de Chan Fui (Chris) Chong (Malaysie)
Ne change rien de Pedro Costa (Portugal-France)
Here de Ho Tzu-Nyen (Singapour-Canada)
Like You Know It All de Hong Sang-soo (Corée du Sud)
Amreeka de Cherien Dabis (USA)
Go Get Some Rosemary de Benny Safdie et Josh Safdie (USA-France)
Humpday de Lynn Shelton (USA)
I Love You Phillip Morris de Glenn Ficarra et John Requa (USA-France)
Séance spéciale
Montparnasse de Mikhael Hers (France)
Courts métrages
Cicada d'Amiel Courtin-Wilson (Australie)
Jagdfieber d'Alessandro Comodin (Belgique)
Superbarroco de Renata Pinheiro (Brésil)
Anna de Runar Runarsson (Danemark)
Nice de Maud Alpi (France )
Les fugitifs de Guillaume Leiter (France)
Thermidor de Virgil Vernier (France)
The History of Aviation de Balint Kenyeres (Hongrie)
Song of Love and Health de Joao Nicolau (Portugal-France)
Dust Kid de Jung Yu-mi (Corée du Sud)
The Attack of the Robots from Nebuma-5 de Chema Garcia Ibarra (Espagne)
Drommar Fran Skogen de Johannes Nyholm (Suède)
American Minor de Charlie White (USA)
John Wayne Hated Horses de Andrew Betzer (USA)
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Posté par vincy, le 23 avril 2009
Les films en compétition :
Huacho de Alejandro Fernández Almendras (Chili)
Ordinary People de Vladimir Perisic (Serbie)
Lost Persons Area de Caroline Strubbe (Belgique)
Adieu Gary de Nassim Amaouche (France)
Mal día para pescar (Bad Day to Go Fishing) de Alvaro Brechner (Uruguay)
Sirta la gal ba (Whisper with the Wind) de Shahram Alidi (Irak)
Altiplano de Peter Brosens et Jessica Woodworth (Belgique)
Les Court-métrages en compétition:
Together de Eicke Bettinga (Allemagne)
Noche adentro de Pablo Lamar (Paraguay)
Runaway de Cordell Barker (Canada)
C’est gratuit pour les filles de Marie Amachoukeli & Claire Burger (France)
Tulum (La virée) de Dalibor Matanic (Croatie)
Logorama de H5 (France)
Slitage (Seeds of the Fall) de Patrick Eklund (Suède)
Séances spéciales :
Rien de personnel de Mathias Gokalp (France) - ouverture
Hierro de Gabe Ibañez (Espagne)
Séances spéciales courts et moyens métrages :
La baie du renard de Grégoire Colin (France)
1989 de Camilo Matiz (Colombie)
Faiblesses de Nicolas Giraud (France)
6 Hours de Moon Seong-hyeok (Corée du Sud)
Les Miettes de Pierre Pinaud (France)
Elo de Vera Egito (Brésil)
Espalhadas pelo ar (Dispercées dans l’air) de Vera Egito (Brésil)
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