Le pitch:En phase terminale, Lily, une mère de famille, rassemble tous ses proches pour un dernier week-end avant son suicide...
Le cast: Réalisé par Roger Michell, avec Kate Winslet, Susan Sarandon, Mia Wasikowska et Sam Neill.
L'atout: Remake du film danois Silent Heart, multi-récompensé, ce nouveau film du réalisateur de Coup de foudre à Notting Hill est promis à faire pleurer (et sourire). Evidemment, on sera surtout intrigué par la rencontre au sommet de Sarandon et Winslet dans ce mélo confiné...
C'est cette semaine que la suite d'Alice au pays des merveilles entre en tournage. Alice in Wonderland : Through the Looking Glass ne sera pas réalisé par Tim Burton (qui reste producteur) mais par James Bobin (Les Muppets, Ali G).
Côté voix, la production a recruté Stephen Fry (le chat du Cheshire), Toby Jones (Wilkins), Alan Rickman (Absolem la chenille), Michael Sheen (le lapin blanc), Paul Whitehouse (le lièvre de mars) et le récent prix d'interprétation à Cannes Timothy Spall (le chien Bayard).
Le film sera en salles aux Etats-Unis le 27 mai 2016 et en France le 1er juin 2016.
Sorti en 2010, Alice au pays des merveilles avait rapporté 1,03 milliard de dollars dans le monde. En France, cinquième plus gros succès de l'année, il avait séduit 4,54 millions de spectateurs.
Cumberbatch, alias Sherlock Holmes version années 2010, avait abandonné le projet en août dernier : emploi du temps trop chargé. Le comédien anglais, 37 ans, vient de terminer The Imitation Game, et va commencer les tournage de Everest, de Doug Liman et The Lost City of Z de James Gray.
A 33 ans, Tom Hiddleston, alias Loki dans la franchise Thor, vient de terminer le tournage de Muppets Most Wanted et s'est engagé sur un film de SF, High Rise, d'après le roman de J.G. Ballard.
Hiddleston rejoint sur Crimson Peak un casting plus que sexy : Charlie Hunnam, Jessica Chastain et Mia Wasikowska partagent l'affiche du premier film de Del Toro depuis Pacific Rim. Hunnam était déjà l'acteur principal du blockbuster futuriste.
Le tournage a débuté fin février à Toronto (Canada) et le film doit sortir en octobre 2015.
Trois ans après son dernier film, The Limits of Control, Jim Jarmusch revient derrière la caméra avec une histoire d'amour et de vampires, Only Lovers Left Alive, qualifié de drame horrifique et romantique.
The Hollywood Reporter vient de confirmer le projet, qui sera tourné cette année dans la région de Rhénanie-du-Nord - Westphalie en Allemagne.
Modeste production, ce film, co-financé par les Allemands, aura comme têtes d'affiche Tilda Swinton (We need to talk about Kevin), snobée par les Oscars, John Hurt (qu'on va bientôt revoir dans La taupe), Mia Wasikowska (Alice au pays des merveilles, et prochainement dans Albert Nobbs) et Tom Hiddleston (Thor, Cheval de guerre), qui remplace Michael Fassbender, initialement prévu. Tilda Swinton a déjà tourné avec le cinéaste (The Limits of Control).
Jarmusch avait annoncé son projet au dernier festival de Cannes, en mai 2011.
22 ans et demi, australienne, et bizutée ès le premier jour de la compétition cannoise. Emily Browning, visage un peu rond doté de lèvres pulpeuses et sensuelles, va être mitraillée par les photographes du monde entier. Cela en paniquerait plus d'un(e) mais avec treize ans de carrière derrière elle, la comédienne n'est pas une première venue.
Primée dès l'age de 14 ans pour une série TV, Halifax, elle est rapidement devenue une de ces enfants-stars qui ont survécu à la puberté. Hollywood l'emploie pour des blockbusters médiocres, flirtant avec le suspens, l'horreur et la science fiction : Le vaisseau de l'angoisse, Nuits de terreur, ou plus tard, Les intrus.
Le cinéma australien est plus généreux en la faisant participer à l'une des importantes productions de 2003, entre action, drame et aventures. Elle y est la fille de Heath Ledger, alias Ned Kelly. On y croise Orlando Bloom, Naomi Watts et Geoffrey Rush.
Mais c'est en décrochant le rôle de Violet Baudelaire dans Les désastreuses aventures des Orphelins Baudelaire, avec Jim Carrey et Meryl Streep, qu'elle se fait un nom. Enorme succès mondial pour un public familial acquis, elle épate en soeur aînée ingénieuse, avec son aspect mystérieux, légèrement gothique. Elle gagne l'Oscar australien pour une performance dans un film étranger. On lui propose logiquement le personnage de Bella Swan dans Twilight, qu'elle refuse.
Cette année, après avoir un peu grandi, s'être féminisée, elle est la vedette de deux films radicalement différents. Pour remplacer Amanday Seyfried, occupée ailleurs, Zack Snyder en fait sa Baby Doll dans le fiasco à gros budget Sucker Punch. Elle y chante, elle y rêve, manie le poignard et manipule ses agresseurs avec grâce. Fausse coupable, véritable victime, elle excelle dans un personnage emprisonnée dans un asile psychiatrique préparant sa grande évasion.
A Cannes, elle vient défendre Sleeping Beauty de Julia Leigh. Elle émoustillera les festivaliers avec ses désirs et l'érotisme qui en naît. Le rôle devait être interprété par Mia "Alice au pays des merveilles" Wasikowska, qui a préféré tourner Jane Eyre. En refusant Twilight, en acceptant des projets plus audacieux, très féministes, Browning dévoile une personnalité qui n'a rien d'attendu de la part d'une fille de sa génération... et qui pourrait nous séduire longtemps si ses choix réussissent à séduire le public et la critique.
La liste est très subjective : ce sont finalement les personnalités - issues des milieux politiques, économiques, culturels, ... - qui font le plus de "buzz", soit un mélange de bruit médiatique et d'impact idéologique. Mais comment expliquer la sur-réprésentation du monde arabe et la sous-évaluation de la Chine et de l'Extrême Orient, comment justifier la quasi absence de grands patrons ou de sportifs, comment comprendre ce tableau, qui finalement, se révèle plus que subjectif : partisan.
Le cinéma n'est finalement pas très représenté dans ce Top 100 des personnalités les plus influentes listées par Time Magazine pour l'année 2011. Et encore plus paradoxal, la télévision y est quasiment absente.
On croise pourtant l'une de ses héroïnes, Amy Poehler, comique du Saturday Night Live, qu'on a pu entendre dans des dessins animés comme Megamind ou Alvin et Chipmunks, en haut du classement. Elle dépasse d'une tête Mark Zuckerber, créateur de Facebook et personnage central de The Social Network, le film de David Fincher.
Dans le haut du panier, on retrouve Colin Firth, auréolé de son Oscar pour Le discours d'un Roi.Très beau texte d'Helen Mirren, elle-même oscarisée pour The Queen, pour le décrire. Interpréter une tête couronnée peut vous faire gagner une statuette.
Firth doit être ravi d'être dans la même liste que Tom Ford, haut-couturier et réalisateur d'A single Man, où l'acteur faisait déjà une performance subtile et oscarisable. C'est Rita Wilson, la femme de Tom Hanks, lui rend hommage.
Blake Lively (photo), influente? il faut le croire : la blondeur a ses effets. Vue dans The Town et bientôt dans Green Lantern et Gatsby le Magnifique, chouchou du jeune public avec la série Gossip Girl, le choix est étonnant, puisqu'elle est devant Hillary Clinton.
Dans le bas du tableau, on aperçoit l'acteur-chanteur sud coréen Rain, l'espoir du pays des Merveilles, Mia Wasikowska (avec un texte de Glenn Close), le génie de l'animation John Lasseter (à notre avis l'un des rares dont la présence est cohérente), la star Matt Damon pour son rôle dans l'association Water.org,le producteur et acteur Mark Wahlberg (honorée par un texte d'Amy Adams) ou encore le producteur Scott Rudin (The Social Network, True Grit).
Tout le monde connait l’attirance du cinéaste américain pour la musique avec quelques belles collaborations en prime : Tom Waits, les White Stripes, Neil Young ou Iggy Pop. Amis de longue date, Jim Jarmush raconte, lors d’une interview accordée au site Pitchwork, son désir de tourner un documentaire sur le leader des Stooges : « C'est Iggy qui m'a demandé de le faire. Il y a une règle chez moi. Si Iggy fait un concert dans les 90 miles (150 km), on y va. (Le film) va prendre quelques années quand même. Nous n'avons pas de rush pour l'instant."
Si le projet aboutit, Jarmush retrouvera celui qu’il avait dirigé au coté de Tom Waits dans l’excellent sketch Somewhere in California, du film Coffee and Cigarettes.
L’idée de partir à la rencontre de l’ « Iguane » et de ses frasques musicales mérite notre curiosité ; la satisfaction de découvrir, dans quelques années donc, un documentaire itinérant loin de tout académisme, aussi. De toute façon, ce travail n’empêchera pas Jim Jarmush de tourner pour autant. Il prépare actuellement un film au scénario top secret qui pourrait réunir Tilda Swinton, Michael Fassbender et Mia Wasikowska (Alice au Pays des Merveilles) et envisage de développer un opéra « non traditionnel » co-écrit avec le compositeur Phil Klein. Encore et toujours de la musique…
Mia Wasikowska a le nom et l'allure d'une joueuse de tennis d'Europe de l'Est ou de Russie. Pourtant cette jeune femme de presque 21 ans, fille d'artistes, est Australienne, et débuta par la danse classique. Préférant les imperfections de la comédie à la perfection du ballet, à 15 ans, elle fait ses débuts timides sur le petit écran. En 2006, elle se fait remarquée avec un second-rôle dans Le feu sous la peau (Suburban Mayhem), présenté à Un certain regard, Cannes. Elle est alors nommée dans la catégorie Jeune acteur aux "Oscars" australiens. Elle aligne quelques courts métrages. En 2008, elle croise Sam Worthington (avant son aventure d'Avatar), Michael Vartan et Radha Mitchell dans Solitaire (Rogue), navet d'action qui flop misérablement au box office.
Elle s'en sort mieux avec le rôle principal de la série "En analyse (In Treatment)", diffusée aux USA sur HBO. Son personnage est récurrent durant neuf épisodes, où elle partage la vedette avec Gabriel Byrne et Dianne Wiest. La série s'attire les louanges de la critique et reçoit des prix prestigieux. De quoi enrichir un CV de débutante.
Wasikowska participe à Les insurgés (Defiance), film maladroit d'Edward Zwick. Dans That Evening Sun, elle impressionne davantage. Le film indépendant reçoit de multiple honneurs, notamment pour son scénario. Mia est nommée aux Independant Spirit Awards, en meilleur second rôle féminin. La sortie confidentielle aux Etats-Unis est compensée par une véritable tournée des festivals durant un an. Amelia, de Mira Nair, bénéficie de plus de moyens, mais ne remporte pas non plus l'adhésion du public américain malgré la présence de Hilary Swank, Richard Gere, et Ewan McGregor. La jeune femme incarne la pilote Elinor Smith, capable de voler sous les ponts de New York et détentrice de nombreux records.
L'actrice enchaîne avec The Kids are All Right, comédie de moeurs sur l'homoparentalité, récemment primée à Berlin par le Teddy Award. Elle y est la fille d'un couple de lesbienne (Julianne Moore et Annette Bening) qui cherche à connaître son géniteur (Mark Ruffalo). La belle année se prolonge avec le rôle-titre d'Alice au pays des merveilles. Elue par Tim Burton après un casting épique, Mia Wasikowska interprète l'héroïne mythique en passant d'une insoumise romantique à la Jane Austen ou une combattante éclatante à la Jeanne d'Arc.
Le film est un triomphe international. De quoi éventuellement la faire décoller ou, au contraire, broyer par le système.Travailleuse, elle va continuer les grands écarts, de Gus Van Sant à Une énième version de Jane Eyre.
Anne Hathaway confirme son ascension à Hollywood. Brokeback Mountain, Le diable s'habille en Prada, Max la Menace. La comédie policière est son plus gros hit à date et une suite vient d'être enclanchée par le studio de production. En moyenne, elle rapporte désormais 60 millions de $ par films. A Venise, sa prestatation dans le nouveau film de Jonathan Demme, Rachel getting married a reçu les éloges.
Et maintenant c'est Tim Burton qui vient de la choisir pour incarner la bienveillante Reine blanche dans Alice au pays des merveilles. Elle sera donc opposée à la Reine rouge, sa méchante soeur, incarnée par Helena Bonham Carter. Elle y croisera Johnny Depp (en chapelier fou) et Mia Wasikowska (Alice). Entre temps, elle sera la meilleure amie de Kate Hudson dans Bride Wars et la vedette d'un thriller horrifique, Passengers.
Il n'y a rien d'étonnant à voir Tim Burton s'attaquer à l'un des premiers romans "fantasy" de l'histoire littéraire, Alice au pays des merveilles.
La seule adaptation marquante fut évidemment signée des studios d'animation de Walt Disney. Et le projet de Tim Burton est logiquement produit par... Walt Disney.
Prévu pour une sortie au premier semestre 2010 et scénarisé par Linda Woolverton (La belle et la bête, Le roi Lion), le film devrait être tourné dès novembre. Tim Burton a trouvé l'heureuse élue. Mia Wasikowska, jeune comédienne australienne, sera l'Alice des années 2000. Elle devrait croiser dans le rôle du chapelier fou, Johnny Depp.
Alice au pays des merveilles sera le premier des deux projets qui lient Burton à Disney. Le "deal", dévoilé en novembre dernier, porte sur la réalisation de deux films en 3D. Alice mélangera des prises de vues réelles et des séquences d'animation numérique. Le second sera Frankenweenie, soit la transformation en long métrage de son court métrage de 1984.