La star de la franchise Fast and Furious, Paul Walker, est décédée samedi 30 novembre lors d'un accident de voiture à Santa Clarita en Californie selon les informations de TMZ reprises par Variety. Il devait participer à un gala de charité de son association humanitaire Reach Out Worldwide. Selon les médias américains, la voiture dans laquelle se trouvait le comédien s'est écrasée contre un arbre et a pris feu. Une autre personne a été tuée lors de ce crash. Un excès de vitesse fatal et furieux.
Paul Walker tournait depuis septembre le septième épisode de Fast and Furious, qui va sans doute subir une révision de son scénario. Chouchou du public jeune depuis le premier opus au début des années 2000, le comédien n'avait jamais réussi à percer dans d'autres films hormis Takers en 2010 et Mémoires de nos pères, de Clint Eastwood en 2006. Walker est souvent apparu dans des séries B ou des productions pour ados, notamment des thrillers, n'imposant rien d'autre que son physique de beau gosse.
Révélé dans Pleasantville et Varsity Blues à la fin des années 90, ce grand blond californien, fan de Cousteau, a connu de gros succès au box office comme Elle est trop bien en 1999 et Antartica, prisonniers du froid en 2006. On l'a aussi remarqué dans Bleu d'enfer, The Skulls et Timeline. Mais c'est en pilotant des bolides dans Fast and Furious qu'il a su conserver son statut de vedette hollywoodienne. Le dernier opus sorti en mai dernier a rapporté 789 millions de $ dans le monde. Au total, la série cumule plus de 2,1 milliards de $ au box office mondial.
Le 13 décembre aux Etats-Unis, Paul Walker sera à l'affiche de Hours, thriller ayant pour cadre Katarina, l'ouragan qui dévasta La Nouvelle Orléans. Et en février, le remake de Banlieue 13, Brick Mansions, doit sortir dans les salles. Le film est réalisé par Camille Delamarre, sur un scénario de Luc Besson, avec, à l'affiche, RZA.
Le 25 novembre, c’était la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, qui nous invite à porter quelque chose de couleur orange pour appeler à « l’élimination sans réserve, hésitation ni délai de la violence contre les femmes ». Il s’agit d’une campagne internationale soutenue par les Nations Unies.
Cette année, cette Journée en orange est prolongée par 16 jours d'action contre la violence liée au genre, jusqu’au 10 décembre qui sera la Journée des droits de l'Homme.
Quelques chiffres statistiques :
- Jusqu’à 70 pour cent des femmes sont victimes de la violence au cours de leur vie.
- Entre 500 000 et 2 millions de personnes font l’objet de traite tous les ans à des fins de prostitution, de travail forcé, d’esclavage ou de servitude, selon les estimations. Les femmes et les filles représentent près de 80 pour cent des victimes découvertes.
- On estime que plus de 130 millions de filles et de femmes actuellement en vie ont subi des mutilations génitales, principalement en Afrique et dans certains pays du Moyen-Orient.
- Le coût de la violence perpétrée par un partenaire intime, aux États-Unis seulement, dépasse 5,8 milliards de dollars par an : 4,1 milliards pour frais médicaux et soins directs et près de 1,8 milliard pour les pertes de productivité.
Nos voisins belges ont mené l'année dernière une campagne de prévention contre la violence conjugale qui a mis en scène une forme de violence conjugale à la fois répandue et difficile à définir, la violence psychologique sur l’autre. Un premier court-métrage montrait que "la violence psychologique, c'est de la violence tout court", et un second que "la violence conjugale, pour en sortir, il faut réagir".
Le Festival de Films Gays et Lesbiens de Paris, désormais connu sous le nom de "Festival Chéries-chéris", change de président ! Laurent Bocahut, producteur audiovisuel de télévision et de cinéma, succède à Pascale Ourbih, qui occupait la fonction depuis l'édition 2008. Le nouveau président avait participé à la création de la manifestation en 1994.
Sa première mission consistera donc à organiser la 20e édition de ce qui est désormais un événement international de premier plan dans le monde du cinéma comme dans la communauté LGBT. L'occasion d'une programmation spéciale et d'un hommage sans précédent à tous ceux qui ont marqué la production cinématographique LGBT de ces vingt dernières années.
Le 4 décembre sort sur nos écrans Le 5e pouvoir de Bill Condon qui revient sur la genèse du site Wikileaks. Le film réunit à l'écran Benedict Cumberbatch et Daniel Brühl.
Synopsis :En rendant publics des documents confidentiels, ils ont fait vaciller les plus grands pouvoirs de la planète. La révélation d’informations ultra-secrètes explosives a mis en lumière un monde jusque-là inconnu. WikiLeaks a changé la donne à jamais.
Comment Julian Assange (Benedict Cumberbatch), fondateur de WikiLeaks et Daniel Domscheit-Berg (Daniel Brühl) ont-ils pu obtenir ces documents ? Comment est né leur site qui, en quelques mois, a réussi à révéler bien plus de secrets que tous les plus grands médias officiels réunis ?
Cette histoire est un thriller effréné, une réflexion sur ce qu’est réellement la liberté d’expression et sur le prix de certains secrets. C’est une histoire incroyable, mais dans laquelle tout est vrai.
A l'occasion de cette sortie, Ecran Noir s'associe à Metropolitan FilmExport pour vous faire gagner 5 places pour deux personnes. Pour participer au tirage au sort, il suffit de répondre à la question suivante :
Benedict Cumberbatch a interprété un détective célèbre dans une adaptation télévisée de la BBC. De quel personnage s'agit-il ?
Votre réponse et vos coordonnées postales sont à envoyer par courriel avant le 6 décembre 2013. Aucune réponse postée dans les commentaires du site ne sera prise en compte.
Et en attendant de découvrir le film, nous vous proposons un extrait exclusif d'une interview de Daniel Brühl réalisée sur le tapis rouge du Festival International du Film de Toronto :
Le rêve américain est à portée de mains pour de nombreux artistes français, par exemple Guillaume Canet a réalisé son film Blood Ties avec la collaboration de James Gray au scénario et avec le légendaire James Caan devant la caméra. Si notre célèbre duo Daft Punk a conquis le monde entier cette année avec son tube Get Lucky, il en est de même pour d’autres Français moins connus qui sont à l'origine de créations qui font le tour du monde.
Caroline Benjo, Jimmy Desmarais et Carole Scotta :
Ces producteurs de cinéma (avec leur société Haut et Court) se sont mis à la production de série télé. Avec la chaîne Canal+ à ainsi été produite la série Les Revenants, dont l’idée originale vient du film éponyme réalisé en 2004 par Robin Campillo.
La série, dirigée par Fabrice Gobert (réalisateur deSimon Werner a disparu), a su installer une ambiance particulière de mystère avec une dizaine de personnages dont on découvre au fur et à mesure les secrets sur huit épisodes…
Ce véritable succès d’audience en France (il s'agit de la création originale de Canal+ la plus suivie) a conquis ensuite le Royaume-Uni (meilleure audience sur Chanel 4 d’une série en vo avec sous-titres). La série a été vendue dans une quarantaine de pays, dont les USA où elle a été diffusée en version originale française sous-titrée sous le titre The Returned.
Ce lundi 25 novembre, lors de la cérémonie des International Emmy Awards à New-York qui récompense le meilleur de la télévision (hors productions américaines), c’est Les Revenants qui a été élue meilleure série dramatique. Une seconde saison sera tournée dans quelque mois pour une diffusion fin 2014. Les Américains, eux, travaillent déjà sur un remake.
A noter qu’une autre série coproduite par Canal+ avait déjà été honorée aux Etats-Unis avec un Golden Globe du meilleur réalisateur (remis par la presse) décerné à Olivier Assayas pour la série Carlos.
Christine Camdessus et Serge Gordey
Mais ce n'est pas tout ! Le travail des producteurs Christine Camdessus et Serge Gordey a lui aussi été récompensé lundi soir par un Emmy Award décerné au documentaire franco-israélo-palestinien 5 caméras brisées qu'ils ont coproduit.
Sorti sur les écrans en février dernier, le film réalisé par Emad Burnat et Guy Davidi avait déjà été nommé à l'Oscar du meilleur film documentaire en 2013. Il a également été récompensé par le Prix du meilleur réalisateur international au Festival de Sundance 2012 ainsi que par le Prix du public et le Prix spécial du jury à l'International Documentary Film Festival d'Amsterdam en 2011.
Clement Ourou et Pierre Dupaquier :
Ces deux réalisateurs font des publicités (notamment pour Evian) et des clips de musique (pour Cassius par exemple) sous leur nom "We are from LA". Ce sont eux les artisans du clip le plus long du monde qui, en ce moment, fait un buzz mondial sur internet en ayant été vu en quelques jours par déjà plus de 3 millions de personnes.
Leur création est longue de 24 heures, c’est le clip Happy pour Pharell Williams (le chanteur star de l’année puisqu'il apparaît en même temps dans le tube Get Lucky des Daft Punk et dans Blurred Lines avec Robin Thicke), chanson qui est par ailleurs dans la bande-originale du film Moi, moche et méchant 2.
La chanson de 4 minutes se répète donc pendant 24 heures d’un montage constitué de 360 plans-séquences (dont le ciel correspond avec le déroulement d’une journée passant du jour à la nuit) avec 336 personnes différentes qui dansent, dont les acteurs Steve Carrell et Jamie Foxx. Une création à découvrir ici : 24 hours of happiness.
A noter enfin qu'un autre duo français, Jonas Euvremer et François Rousselet, avait auparavant fait sensation à l’international avec les clips D.A.N.C.E. de Justice et 4 Minutes de Madonna et Justin Timberlake
Traditionnellement, les Independent Spirit Awards (Oscars du cinéma indépendants auxquels ne sont éligibles que les films d'un budget égal ou inférieur à 20 millions de dollars) lancent la saison des prix aux Etats-Unis. Cette année, il semble y avoir eu une certaine unanimité parmi les votants puisque deux films totalisent à eux seuls 13 nominations.
C'est en effet le chouchou du public du Festival de Toronto, 12 years a slave de Steve McQueen, qui arrive en tête des nominations (sept, dont les plus prestigieuses : meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur...). Il est suivi de près par l'une des surprises du dernier festival de Cannes, Nebraska d'Alexander Payne, qui avait d'ailleurs valu un prix d'interprétation à Bruce Dern.
Les films remarqués en festivals sont d'ailleurs légion dans la liste des nominés, de All is lost de JC Chandor (hors compétition à Cannes) à Fruitvale Station (Grand prix à Sundance), de Before midnight de Richard Linklater (présenté à Berlin) à Inside Llewyn Davis des frères Coen (grand Prix à Cannes), sans oublier la palme d'or 2013, La vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche.
A noter que Matthew McConaughey est à nouveau sur la liste des nominés (pour Dallas Buyers Club), après sa double nomination en 2013 (il avait finalement reçu le Spirit Award du second rôle pour Magic Mike) tandis que James Gandolfini reçoit une nomination posthume pour le prix du meilleur acteur dans un second rôle dans Enough said.
En 2013, c'est Happiness Therapy de David O. Russell qui avait été le grand gagnant avec 4 récompenses. Mais il faut savoir que les Spirit Awards, dont la cérémonie se déroule la veille des Oscars, sont généralement considérés comme une remise de prix permettant à un film boudé par les Oscars mais chouchou de la critique de sauver son honneur. A vérifier le 1er mars 2014.
7 nominations
12 years a slave de Steve McQueen : Film, réalisateur, scénario (John Ridley), acteur (Chiwetel Ejiofor), second rôle féminin (Lupita Nyong’o), second rôle masculin (Michael Fassbender), image (Sean Bobbitt).
6 nominations
Nebraska d'Alexander Payne : film, réalisateur, acteur (Bruce Dern), second rôle féminin (June Squibb), second rôle masculin (Will Forte), premier scénario (Bob Nelson).
4 nominations
All is lostde JC Chandor : film, réalisateur, acteur (Robert Redford), image (Frank G. DeMarco).
3 nominations
Blue Jasmine de Woody Allen : scénario (Woody Allen), actrice (Kate Blanchett), second rôle féminin (Sally Hawkins). Fruitvale Station de Ryan Coogler : premier film, acteur (Michael B. Jordan), second rôle féminin (Melonie Diaz). Inside Llewyn Davisdes frères Coen : film, acteur (Oscar Isaac), image (Bruno Delbonnel). Short Term 12 de Destin Cretton : actrice (Brie Larson), second rôle masculin (Keith Stanfield), montage (Nat Sanders).
L'équipe de Gruffalo revient sur les écrans avec un moyen métrage, La sorcière dans les airs. Le film d'animation est soigné esthétiquement et l'histoire gentille et plaisante. Une jolie fable où la seule morale est celle d'un vivre ensemble idyllique. Voilà une famille composée sous le modèle du Magicien d'Oz, au gré des rencontres, où chacun a son utilité et où, ensemble, l'union fait la force, surtout face à un dragon.
Idéal pour les très jeunes spectateurs - le format assez court, la narration récitée par la voix chaleureuse de Pierre Richard, ... - La sorcière dans les airs est une belle approche pour les parents qui veulent faire découvrir un film sur grand écran à leurs jeunes progénitures. Ici les monstres ne sont pas trop monstrueux, les animaux sont attachants (le chat jaloux, la sorcière maternelle...) et l'univers naïf permet une épure atemporelle. Il y a même un plaisir évident à voir ces personnages graviter dans les airs, sans réelle destination, sans aucun but précis : comme si le vagabondage était enrichissant, comme si seul le voyage comptait.
Le film est précédé de deux courts métrages, Juste un petit peu, film suédois d'Alicja Björk Jaworski, où les animaux complexés se réunissent pour mieux surmonter leurs névroses, et Un jour merveilleux du letton Nils Spakans, avec une jolie rousse et son chat qui vont vivre une aventure fantastique.
A travers ces deux courts, on comprend le lien entre le film allemand de Max Lang et Jan Lachaueur : des animaux solidaires qui se coalisent d'un côté, une femme et son félin de l'autre. Dans La Sorcière dans les airs, on retrouve finalement des points communs entre ces personnages issus d'autres films. Programmation maligne qui souligne aussi la qualité cinématographique de cette Sorcière tant les deux autres courts semblent moins aboutis.
Rendez-vous avec la peur de Jacques Tourneur, sorti en 1957, figurait récemment dans la liste de Martin Scorsese des films les plus effrayants de tous les temps. "C'est ce que l'on ne voit pas qui est s'avère le plus puissant", précisait-il dans l'article.
Justement, le film est désormais disponible dans une version Blu-Ray collector de toute beauté qui comprend à la fois le film, sa version américaine et le livre de Michael Henry Wilson sur le tournage du film, illustré de photos et documents d'archive rares.
L'occasion de (re)découvrir ce chef d'oeuvre du suspense qui raconte comment l’éminent savant américain John Holden (Dana Andrews) enquête sur la disparition de son confrère et ami, le professeur Harrington, qui est mort dans de mystérieuses circonstances après avoir publiquement accusé le docteur Karswell, spécialiste en sciences occultes, de charlatanisme. Or lorsque Holden rencontre Karswell, celui-ci tente de l’effrayer en lui disant qu'il ne lui reste plus que 3 jours à vivre…
En partenariat avec Wild Side, Ecran Noir vous fait gagner l'un des ces coffrets. Pour participer au tirage au sort, il suffit de répondre à la question suivante :
En 1942, Jacques Tourneur réalisait un film fantastique devenu culte, qui comptait l'actrice française Simone Simon au générique. Quel est ce film ?
Votre réponse et vos coordonnées postales sont à envoyer par courriel avant le 19 décembre 2013. Aucune réponse postée dans les commentaires du site ne sera prise en compte.
Jusqu'au 18 décembre, l'éditeur Wild Side propose un jeu concours autour de la sortie DVD de Gun Crazy, chef d’œuvre de la série B signé par le maître du genre Joseph H. Lewis.
Réalisé en 1950, le film raconte l'histoire de Bart (John Dall), un jeune homme fasciné par les armes à feu. De retour dans sa ville natale après avoir passé des années éloigné de sa famille, il rencontre Laurie (Peggy Cummins), tireuse d’élite vedette d’un spectacle de fête foraine, et en tombe fou amoureux. Mais, bien décidée à vivre dans l’aisance, Laurie va entraîner Bart dans une série de braquages de plus en plus audacieux…
Pour gagner un coffret collector du film (comportant le film, le livre du film et plusieurs interviews des acteurs et du réalisateur), rendez-vous sur la page facebook de Wild Side.
La cérémonie de remise des prix de la 18e conférence annuelle d'Europa Cinémas (21-24 novembre), a vu la consécration d'un exploitant français pour ses initiatives auprès du jeune public.
C'est à Athènes que le Studio des Ursulines s'est vu décerné le prix Europa Cinemas de la meilleure action jeune public dans le cadre de sa 18e réunion annuelle. Portée par Florian Deleporte, directeur et programmateur, et Louis-Paul Desange, gérant, cette salle, située dans le quartier latin à Paris, se spécialise depuis 11 ans dans les programmations à destination d'un public jeune, ciblant un panel large allant des tous petits jusqu’aux lycéens. Un choix éditorial qui se repose sur de nombreux ateliers en rapport avec les séances, ainsi que l'emploi d'un médiatrice culturelle spécialisée à temps plein. Sur les 33 000 entrées enregistrées par le cinéma en 2012, près de 9 000 étaient issues de séances scolaires, sans compter les entrées familiales.
Depuis mars 2003, la programmation du Studio des Ursulines est majoritairement destinée en journée à l'Art & Essai jeune public, et en soirée au cinéma d'animation et/ou à des rencontres type ciné-club. Ce sont ces différentes actions, qui visent à attirer les jeunes dans les salles obscures, qui ont permis à se dernier de recevoir le prix Europa Cinemas.
En outre, la cérémonie de remise des prix a vu la consécration de Tiina Teras, la programmatrice estonienne de Kino Artis, à Talinn, qui reçoit, quant à elle, le prix de la meilleure programmation. Quant au prix du meilleur entrepreneur, il a été décerné à l'entreprise de distribution et d'exploitation espagnoles Golem Cinemas.
Par ailleurs, 16 films européens ont été projetés en avant-première au Cinemax Nana d'Athènes durant cette conférence. Deux d'entre eux ont été honorés d'un prix :
Ida de Pawel Pawlikowsky a reçu le Coup de cœur 2013 des exploitants et qui sera projeté à Sundance en janvier 2014
Circles de Srdan Golubovic s'est vu attribué une mention spéciale
La conférence à réunit près de 600 professionnels, majoritairement des exploitants mais aussi des distributeurs, producteurs et exportateurs, issus de 47 pays différents.
Les débats ont majoritairement porté sur l'avenir de la salle de cinéma, le renouvellement du public, les nouvelles offres et concepts novateurs destinés aux salles avec l'avènement du numérique et des nouveaux moyens de communication.
"Les exploitant ont rappelé que les salles de cinéma ne sont pas seulement la première fenêtre d'exposition des films, mais surtout des lieux sociaux et créatifs, qui donnent leur véritable dimension aux films grâce à de multiples initiatives afin d'attirer tous les publics, et les jeunes en priorité", précisent les organisateurs.