Mission : Impossible en format IMAX et en avant-première dans 5 cinémas

Posté par vincy, le 8 décembre 2011

Mission : Impossible - Protocole Fantôme sera disponible dans près de 500 salles IMAX dans le monde dont quelques unes en France. Le film de Brad Bird (Les Indestructibles) sortira le 14 décembre dans l'hexagone. Mais la version IMAX sera disponible durant trois jours en avant-première, les 11, 12 et 13 décembre.

Les cinémas qui diffuseront le film sont le Pathé Quai d'Ivry (Ivry-sur-Seine) où ont eu lieu les projections pour la presse cette semaine, le Gaumont Disney Village (Marne-la-Vallée), le Pathé Carré de Soie (Lyon), le Gaumont Labège (Toulouse) et le Gaumont Grand Quevilly (Rouen).

Dans cette vidéo, Brad Bird explique pourquoi ce format est le meilleur moyen pour faire l’expérience du film : Les explications du réalisateur.

L’avant-première d’Or noir troublée par un conflit avec le producteur

Posté par vincy, le 22 novembre 2011

L'avant-première d'Or noir, le nouveau film de Jean-Jacques Annaud, lundi 21 novembre au Gaumont Champs-Elysées, a été troublée, de manière très sage, par les employés de LTC, filiale à 100% de Quinta Industries. Le Syndicat national des techniciens et réalisateurs de la production cinématographique et de télévision (SNTR / SGTIF - CGT) a distribué un tract aux invités qui faisaient la queue. Quelques employés brandissaient des pancartes, accusant principalement l'actionnaire Tarak Ben Ammar, le long du tapis rouge.

Rappel des faits : LTC (32 millions d'€ de chiffre d'affaires en 2010, 24 millions prévus cette année), mais aussi Scanlab (6,3 millions d'euros) et Quinta Industries (6,6 millions d'euros) sont en redressement judiciaire depuis le 3 novembre. Les trois sociétés regroupent 182 employés. Le groupe Quinta industries, qui englobe les trois sociétés, détenu à 83% par Tarak Ben Ammar et à 17% par Technicolor, elle-même en procédure de sauvegarde, est en cessation de paiement depuis le 1er septembre et les salaires d'octobre n'ont pas pu être payés. Un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) devrait être présenté d'ici deux mois aux 182 salariés des trois sociétés. Les difficultés financières des trois sociétés sont liées notamment au déclin de l'activité photochimique, qui a accéléré sa chute à partir du 2e semestre 2010, notamment liée au processus de numérisation des salles de cinéma, en forte accélération ces derniers mois. Le Conseil de la concurrence a rejeté la fusion des laboratoires LTC avec ceux d'Eclair, dont Tarak Ben Ammar est aussi actionnaire à hauteur de 43%. Tarak Ben Ammar justifie qu'il a anticipé la mutation technologique en orientant les activités de ses laboratoires vers la numérisation des oeuvres mais qu'il n'a pas réussi à trouver les financements nécessaires pour répondre aux besoins de cette montée en charge. Il compte démarrer la numérisation de son catalogue (500  films environ) dès décembre.

Cependant, les syndicats reprochent à Tarak Ben Ammar de ne pas faire face à ses responsabilités. "L'administrateur judiciaire a annoncé aux élus du personnel qu'un plan massif de licenciement était nécessaire et que les mesures d'accompagnement seraient au minimum conventionnel à moins que l'actionnaire y participe financièrement". Un premier plan de licenciements de 34 personnes avait été enclenché l'été dernier. Le plan avait été annulé, et celui qui s'annonce semble bien plus "massif". Le tribunal a accordé une période d'observation de six mois. Le plan de continuation prévoit un plan de sauvegarde de l'emploi et la cession du site de Saint-Cloud, qui rapporterait 13,5 millions d'euros (soit un peu moins que la dette financière, qui s'élève à 15 millions d'euros).

Les salariés reprochent à l'actionnaire une certaine désinvolture. "Si vous allez pouvoir voir (...) le film Or noir (...), c'est parce que les salariés de LTC, Scanlab et Quinta Industries continuent à travailler alors qu'ils ne sont même pas certains que, comme le mois dernier, leur salaire sera versé. Les salariés réclament qu'en juste contrepartie de 10 ans au travail au seul bénéfice des sociétés du groupe Quinta Communications, Tarak Ben Ammar mette la main à la poche pour assurer dignement le départ et la reconversion des salariés." Ce dernier ne s'est toujours pas engagé à participer financièrement aux licenciements alors que les salaires n'ont effectivement pas été versés en octobre et qu'il affirme que son groupe Quinta Communications "va très bien".

Des amis nommés Ben Ali, Khadafi, Berlusconi

A cela s'ajoute une controverse liée aux conditions de tournage d'Or noir. Le syndicat exige, "compte tenu des conditions sociales iniques qui ont permis la réalisation de ce film", que soient revues très rapidement les conditions de l'agrément de ce film, agréé par le Président du CNC, en dépit d'un avis défavorable de la Commission des professionnels. Le 21 septembre dernier, le syndicat expliquait que "la société Quinta Communication avait imposé aux ouvriers et techniciens de travailler en qualité d'expatriés via une société tunisienne, ceux-ci ne bénéficiant alors d'aucune couverture sociale et conventionnelle, la commission d'agrément dont l'avis est consultatif, avait unanimement émis un avis défavorable à la délivrance de l'agrément pour ce film, à deux reprises. En délivrant l'agrément sans même en informer la commission, le Président du CNC fait preuve d’une véritable défiance vis-à-vis des professionnels du cinéma ; en conséquence, les organisations professionnelles de la CGT, artistes et techniciens, siégeant à la Commission ont décidé de quitter la séance qui a du être ajournée."

Sales temps pour Tarak Ben Ammar, qui avait déjà du affronter la révolution tunisienne en plein tournage d'Or noir (voir aussi actualité du 19 janvier) et qui est, en tant qu'actionnaire de la chaîne télévisée Nessma, au coeur d'un procès en Tunisie pour avoir diffusé Persépolis (voir actualité du 14 octobre). Ce dernier point serait plutôt à mettre à son actif. Hélas, ses amitiés qui lui ont permis de construire son empire s'effondrent autour de lui. Après son ami Ben Ali, l'ancien dictateur tunisien, c'est au tour de Silvio Berlusconi (co-actionnaire de Quinta Communications) de tomber ; et il est aussi fragilisé par la révolution libyenne : en 2009, il avait reçu du régime de Khadafi, via le fonds souverain Libyan Foreign Investment Co, 19 millions d'euros soit 10% du capital de sa société.

Les aventures de Tintin : Spielberg se trouve un nouveau héros

Posté par vincy, le 12 octobre 2011

Un générique qui rappelle Catch me if you can (et une musique aux accents jazzys qui pourraient lui faire écho). Des clins d'oeil à Hitchcock, aux Dents de la mer et même à 1941. Des séquences d'action qui cousinent avec les Indiana Jones. Steven Spielberg, amoureux de Tintin depuis sa plus tendre enfance, n'a pas eu besoin d'aller très loin pour puiser dans les BD d'Hergé tout ce qu'il aime dans le cinéma de divertissement, quitte à démontrer en creux, et cruellement, l'absence de second degré dans l'oeuvre de l'auteur belge.

Les aventures de Tintin - Le secret de la licorne est un divertissement de grande qualité : l'animation est maîtrisée, le motion picture est réussi, les personnages n'ont pas perdu leur personnalité dans la machine formatée d'Hollywood, et ça ne manque pas d'action. Si le premier tiers est porté sur une enquête, si on devine assez bien le scénario,  le film file à toute trombe vers un enchaînement d'action, de poursuites, de confrontations, à défaut de réel suspens.

Cette fantaisie frénétique trouve son summum dans la scène qui commence au Palais de Ben Salaad et qui finit au port. Une fuite en avant qu'il faudra réexaminer en détail : le découpage, typiquement "spielbergien", est une prouesse technologique et renvoie à la fois aux grads films d'actions et aux comédies de l'âge d'or hollywoodien, où on poussait le "gag" toujours plus loin.

Ne serait-ce que pour ces quelques moments, ce Tintin est assez épatant. Même s'il souffre peut-être de sa trop grande fidélité au ton d'Hergé, même si on aurait aimé une lecture plus moderne de ces aventures.

Harry Potter : Les reliques de la mort 2e partie dans 320 salles dès minuit

Posté par vincy, le 12 juillet 2011

Warner Bros veut battre tous les records avec cet ultime volet d'Harry Potter. Il y a d'abord l'avant-première à Bercy de ce soir, soit plus de 7 000 personnes attendues pour voir le film sur un écran 3D de 30 mètres sur 15 (qui pourrait faire son entrée dans le Livre des records). Sont attendus, Jason Isaacs (Lucius Malefoy), les jumeaux James et Oliver Phelps (Fred et George Weasley), Evanna Lynch (Luna Lovegood) et Clémence Poésy (Fleur Delacour).

Mais à minuit il y aura surtout 320 salles de cinéma dans toute la France qui organiseront une séance spéciale spéciale d'Harry Potter et les Reliques de la mort, 2e partie. La plupart de ces séances affiche complet. Une grande partie de ces cinémas débuteront la soirée avec la projection de la 1ere partie.

Harry Potter et les Reliques de la mort : affrontement final spectaculaire

Posté par vincy, le 8 juillet 2011

Si le premier épisode de ce dernier film de la saga Harry Potter nous semblait un peu bancal, pour ne pas dire un peu mou et inégal, la fin ultime de la série tient toutes les promesses d'un blockbuster. Harry Potter et les Reliques de la Mort, 2e partie, est tout autant nerveux que spectaculaire, fidèle au livre et conclut joliment l'épopée cinématographique. L'émotion n'est pas absente, principalement dans le long flash-back explicatif de l'ambivalence de Severus (Alan Rickman). Mais elle aurait pu être plus aigüe sur le final... Sans doute le soulagement (que tout se finisse bien, et même que tout se finisse enfin après une vingtaine d'heures de films) l'emporte sur les larmes d'adieux.

David Yates n'a pas démérité avec un découpage plus tendu et assez malin (un baiser cathartique surviendra en plein milieu du film), une mise en scène ciblant davantage les ados que les enfants, avec ses références à Tolkien, Star Wars, et récents péplums à effets spéciaux.

En réunissant les deux épisodes des Reliques de la mort, on s'apercevra quand même que l'ensemble est déséquilibré et long. Mais Warner Bros et J.K. Rawling ne s'en offusqueront pas : l'affrontement final multipliera les dollars, les ventes de coffrets DVD et Blu Ray et celles de livres, imprimés ou numériques. Pottermore.com ouvrira en octobre et proposera le premier tome en version téléchargeable.

Paris Cinéma 2011 : Derrière les murs, avec Laetitia Casta en 3D

Posté par kristofy, le 5 juillet 2011

Le film Derrière les murs s’annonce comme le premier film français réalisé en 3D (hors documentaire et animation) : un suspense où une romancière isolée à la campagne est sujette à des visions et à des cauchemars pendants que le village est troublé par de mystérieuses disparitions de petites filles…

Dans le cadre du Festival Paris Cinéma une avant-première a eu lieu avec la venue d’une partie de l’équipe du film : les deux réalisateurs Julien Lacombe et Pascal Sid, le comédien Jacques Bonaffé et l’actrice Laetitia Casta ont échangés quelques mots avec les spectateurs juste avant qu’ils découvrent leur film avec les lunettes 3D sur le nez.

Pour Jacques Bonaffé "il y a un monde inconnu derrière la 3D, c’est une chose un peu mystérieuse, et ce tournage a été une belle expérience cinématographique".

Laetitia Casta (à droite) est, elle, présente dans quasiment tout les plans du film : "j’ai été complètement immergée par le personnage, ça me touchait, ce qui m’a plu c’est la destruction de cette femme, sa douleur. C’est un personnage féminin complexe qui est très bien écrit. Quand les réalisateurs sont venus vers moi  environ trois semaines après le tournage commençait. Je n’ai pas eu vraiment le temps de me poser la question de la 3D, et tant mieux ce n’est pas si important quand on joue".

Les deux co-réalisateurs Julien Lacombe et Pascal Sid se sont expliqué sur leur choix pour cette technologie : "En fait on n’a pas écrit le scénario pour la 3D, le plus important était avant tout l’histoire racontée et le film fonctionne aussi en 2D traditionnelle. C’est au cours de la préparation que cette possibilité de narration nous a intéressé comme nouveau vecteur d’immersion et d’émotion. Techniquement sur le plateau il y a 2 caméras ensemble dans un seul bloc, c’est donc plus gros que d’habitude. C’est un appareil énorme qui peut être troublant pour les comédiens voir intrusif pour des gros plans, il y a beaucoup moins de place aussi pour l’équipe. Le procédé en lui-même ne révolutionne pas le cinéma mais c’est quelque chose qui est important. On apprécie que la 3D donne du volume aux visages, ça donne un relief qui apporte une sorte d’intimité plus grande avec les personnages".

Le film Derrière les murs veut raconter une histoire intimiste classique avec les codes du film à suspense, sortie en salles le  6 juillet.

Festival Paris Cinéma 2011 se déroule jusqu’au 13 juillet. Après Laetitia, on y verra sa sœur mannequin qui devient elle aussi actrice : Marie-Ange Casta est au générique du nouveau film de Tristan Aurouet Mineurs 27 avec Jean-Hugues Anglade.

L’avant-première de Bercy d’Harry Potter 7 (2e partie) fait déjà du bruit

Posté par vincy, le 15 juin 2011

Complet. C'est ce qu'annonçait en mai dernier Warner Bros à propos de la plus grande avant-première organisée en France : Harry Potter et les Reliques de la mort, 2e Partie au Palais Omnisports de Paris-Bercy le 12 juillet prochain (25 €). (voir actualité du 18 avril)

Mais dans un contexte où les salles de cinéma sont angoissées par un tassement de la fréquentation et où les organismes institutionnels s'alarment de la programmation d'événements extra-cinématographiques dans les salles de cinéma (sport, opéra...), rien n'est anodin pour défendre son pré-carré. Un film en avant-première à Bercy, à quand le Stade de France en salle IMAX?

Premiers à réagir, les membres de l'ARP. Cette séance "va priver d'un grand nombre d'entrées, en une seule fois, le marché de l'exploitation cinématographique parisien". L'argument est faible quand on sait que le premier épisode de HP 7 a attiré 8 141 entrées à la séance de 14h le 24 novembre dernier (sur 25 copies). C'est à peu près le même nombre de fans qui assistera à l'avant-première de Bercy (la jauge est prévue pour 8 000 spectateurs).

Le problème de la Taxe Spéciale Additionnelle est davantage problématique : cette séance ne serait pas soumise au paiement de cette taxe qui aliment le compte de soutien du CNC (10,72 % du prix du billet).

L'ARP alerte sur "la nécessité d'une réforme des textes si de nouvelles séances de cinéma, purement commerciales, venaient à échapper à un corpus articulé de règles, établies de longue date, sur la billetterie, les autorisations d'exercice et la taxe sur le prix des entrées de cinéma".

C'était le 8 juin. Depuis la SRF et l'Acid s'en sont mêlés. Pour les mêmes raisons (8 000 spectateurs en moins, soit environ 1% de la fréquentation moyenne parisienne des épisodes de la saga) et 21 000 € qui ne se réinvestiront pas dans la production. "Lieu non cinématographique", "mépris des règles", "recette de 200 000  €" diminuant d'autant les exploitants et défiant le système redistributif national. Or là, souci : certes ces spectateurs vont en effet rapporter 200 000 € à Warner (il faudra quand même retirer les frais de location de Bercy, et tout ce qui accompagne l'organisation d'un tel événement), mais dans une salle ils payent en moyenne leur billet 6 euros (un peu plus avec l'ajout 3D). Ce qui fait un manque à gagner de moins de 50 000 euros. Pas négligeable, mais moins dramatique.

Ceci dit, toutes ces questions sont justifiées : que ce soit pour du sport diffusé dans les salles ou du cinéma diffusé dans une salle omnisport, il est urgent d'établir des règles claires (quotas, obligations...) qui permettront à chacun d'y trouver son compte.

Le final d’Harry Potter en avant-première française à Bercy

Posté par vincy, le 18 avril 2011

Warner Bros. a décidé d’organiser l’avant-première française en 3D de la deuxième partie de l'ultime épisode de la saga Harry Potter au Palais Omnisports de Paris Bercy. Le 12 juillet, avec la participation de membres de l'équipe, Harry Potter et les Reliques de la mort - 2e partie deviendra la plus grande avant première publique jamais organisée en France. La salle pourra contenir 8 000 personnes (soit une jauge de 50% du total de Bercy).

Les billets, à 25 euros l'entrée, seront achetables fin avril dans toutes les FNAC et sur les sites de billetterie de la FNAC, du POPB et de Ticketnet.

Des lunettes 3D Collector (et griffées) Harry Potter seront offertes en cadeau.

Le film sortira le lendemain, le 13 juillet, dans toute la France.

Rendez-vous au Japon à La Pagode avec La ballade de l’impossible

Posté par vincy, le 7 avril 2011

Samedi 9 avril , de 10h30 à 13h30, le cinéma La Pagode (Paris 7e) vous donne rendez-vous avec le Japon.

Le cinéma projettera en avant-première La ballade de l'impossible (voir actualités autour du film), présenté l'an dernier à Venise. Le film de Tran Anh Hung est l'adaptation du célèbre roman de Haruki Murakami (publié en France chez Belfond).

Une rencontre avec le réalisateur et la traductrice française de l'écrivain suivra. Ce sera sans doute l'occasion d'évoquer les tourments que traversent le pays actuellement.

La ballade de l'impossible se déroule à Tokyo à la fin des années 60. Watanabe vient d'y emménager, après le suicide de Kizuki, son meilleur ami, pour commencer ses études universitaires. Il va croiser l'ancienne petite amie de Kizuku, Naoko. Ils vont tenter de se reconstruire ensemble pour évacuer la douleur qui pèse sur leurs épaules. Elle disparaîtra le lendemain de leur premier nuit partagée. Et ne réapparaîtra que plus tard, alors que Watanabe a rencontré une autre fille.

Le film sort le 4 mai prochain.

Réservation conseillée : 01 46 34 82 51 ou par courriel

Cannes 2011 : Orange mécanique en copie restaurée et Malcom MacDowell en Master Class

Posté par vincy, le 21 mars 2011

Alors que Stanley Kubrick est la star d'une exposition impressionnante à la Cinémathèque française à partir de mercredi prochain, le Festival de Cannes s'offre une projection exceptionnelle de la copie restaurée d'Orange mécanique.

Film culte. Succès populaire (7,6 millions de spectateurs en France en 1972, le plus gros hit de cette année là). Sujet toujours d'actualité.

Malcom MacDowell sera présent pour la projection, qui devrait avoir lieu en deuxième partie de festival, et donnera une Master Class.