Jeu concours : 5 DVD de Thelma de Joachim Trier à gagner

Posté par MpM, le 9 avril 2018

Sorti en novembre dernier, Thelma est le 4e long métrage de Joachim Trier, révélé en 2006 avec Nouvelle donne, et sélectionné à Cannes en 2011 avec Oslo, 31 août (Un Certain regard) puis en 2015 avec Plus fort que les bombes (compétition). Le film raconte l'histoire de Thelma, une étudiante réservée et solitaire qui vient d'arriver à Oslo. Assez liée à ses parents, qui sont à la fois très protecteurs et très croyants, elle peine à faire sa place dans cette nouvelle vie de liberté et de lâcher-prise, jusqu'au jour où elle rencontre Anja, une autre étudiante par qui elle est secrètement attirée.

Joachim Trier change de registre, et propose un film qui commence comme un coming-of-age assez classique avant de bifurquer sur un cinéma plus fantastique, entre enquête intimiste et thriller inquiétant. Le cheminement de l'héroïne est celui d'une jeune femme qui se libère un à un des carcans dans lesquels elle était enfermée, et franchit coûte que coûte les obstacles mis sur sa route. Si le scénario recourt à des éléments surnaturels et anxiogènes, ainsi qu'à des flashs-back émotionnels, on peut aussi y voir l'allégorie du passage à l'âge d'adulte et de l'acceptation de qui l'on est.

Dans le film , il est en effet sans cesse question de contrôle : celui que ses parents exercent sur Thelma, celui qu'elle doit exercer sur elle-même, quitte à étouffer ses désirs, celui qui lui échappe lorsque ses crises lui font perdre connaissance... Thelma doit apprendre à ne pas tout contrôler, et notamment ceux qui l'entourent, mais malgré tout à contrôler ce qui est le plus primordial : sa propre existence. Joachim Trier livre ainsi un film très fin, toujours sur le fil, qui n'assène pas de vérité, mais ménage au contraire le doute et le suspense. On est à la fois dans un divertissement glaçant, et dans un récit initiatique plus feutré et intérieur, qui n'en est pas moins captivant.

A l'occasion de la sortie en DVD, Blu-Ray et VOD par Le Pacte, EcranNoir vous fait gagner cinq exemplaires du film !

Pour participer, il suffit de répondre par courriel à la question suivante (en mentionnant votre nom et vos coordonnées postales) avant le 20 avril :

Oslo, 31 août était inspiré d'un roman de Pierre Drieu la Rochelle.
Quel était son titre ?

Attention, aucune réponse postée dans les commentaires du site ne sera prise en compte.

Semaine de la critique: un jury chic et hype autour de Joachim Trier

Posté par vincy, le 28 mars 2018

Le réalisateur norvégien Joachim Trier sera le Président du jury de la 57e Semaine de la Critique, dont la sélection sera révélée le 16 avril. Il décernera avec son jury le Grand prix, le Prix découverte et le Prix de la révélation. Le Prix Fondation Louis Roederer de la Révélation est une nouveauté "qui a pour objectif de mettre en lumière un ou une interprète pour l’une de ses premières apparitions au cinéma ou pour un rôle marquant de sa carrière."

Joachim Trier a réalisé quatre longs métrages: Nouvelle donne (Reprise), Oslo 31 août (Prix Un Certain regard), Back Home (en compétition), Thelma (sorti l'automne dernier). Ils constituent déjà une œuvre où la jeunesse et la mélancolie sont au cœur de sujets dramatiques et troublants. Il vient de terminer un documentaire, The Other Munch.

Il sera entouré de l’actrice et jeune réalisatrice Chloë Sevigny, qu'on croisera bientôt dans La route sauvage, du comédien franco-argentin Nahuel Pérez Biscayart, César du meilleur espoir masculin pour son rôle dans 120 Battements par minute de Robin Campillo (Grand prix du jury à Cannes l'en dernier), de l’italienne Eva Sangiorgi, nouvelle directrice de la Viennale, le Festival international du film de Vienne, et du journaliste culturel français Augustin Trapenard (France Inter, Canal +).

L'affiche, révélée il y a quelques jours, éclaire la jeune comédienne française Noée Abita, révélée dans AvA de Léa Mysius, l'un des chocs de la Semaine l'an dernier,  photographiée par Aurélie Lamachère.

Joachim Trier revient en Norvège mais s’aventure dans le surnaturel

Posté par vincy, le 11 juin 2016

Un an après sa présentation en compétition à Cannes de Louder than Bomb, son premier film en langue anglaise, Joachim Trier revient dans son pays natal, la Norvège, pour tourner un thriller surnatruel, Thelma. Le film promet d'être innovant pour le cinéaste, et pas seulement parce qu'il promet d'être dans le genre fantastique. En effet, après trois histoires de jeunes hommes, Joachim trier va se concentrer sur une jeune femme.

L'histoire est celle d'une jeune femme, dans une Norvège contemporaine, qui tombe amoureuse et réalise qu'elle a des pouvoirs inexplicables et effrayants. Coproduit avec la société française Memento films (qui s'occupe également des ventes internationales), Thelma a aussi reçu une importante aide de l'Institut du cinéma norvégien (1,2 million d'euros), représentant près d'un quart de son budget. La sortie est déjà programmée au printemps 2017 (Cannes?).

Le cinéaste cherche actuellement son casting féminin, notamment des filles de 18 à 26 ans, sachant faire du roller. Les producteurs scandinaves promettent également de nombreux effets spéciaux. Selon Cineuropa, le tournage débutera en septembre.

Un troisième film décale sa sortie à 2016 et un film cannois change son titre

Posté par vincy, le 16 novembre 2015

Parfum de Printemps, qui signait le retour du cinéaste Férid Boughedir (Halfaouine, l'enfant des terrasses ; Un été à La Goulette) après 19 ans d'absence, devait sortir le 9 décembre prochain. Le film, distribué par Zelig Films Distribution, ne devrait pas sortir avant "fin février ou début mars" 2016.

C'est le troisième film en quelques jours qui voit sa sortie décalée suite aux attentats du 13 novembre 2015 à Paris.

Cette comédie dramatique se déroule au moment du printemps arabe tunisien. Aziz, surnommé "Zizou" jeune diplômé au chômage quitte son bled pour monter à la Capitale, Tunis. En quête d'un métier, il devient installateur de paraboles sur les toits. Il circule dans tous les milieux, des plus aisés aux plus démunis, chez les modernistes "branchés" comme chez les plus conservateurs. Un jour, il tombe fou amoureux d'une jeune fille de Sidi Bou Saïd qui n'a pas le droit de sortir de chez elle. Quand éclatent les prémisses de la Révolution de 2011, Zizou devient célèbre malgré lui. Par sa maladresse et sa naïveté, il traversera mille péripéties...

Par ailleurs, Memento films a décidé de changer le titre de Plus fort que les bombes (Louder than Bombs), le film de Joachim Trier, avec Isabelle Huppert, Gabriel Byrne et Jesse Eisenberg (en compétition à Cannes cette année). Ce drame intime et familial qui doit sortir le 9 décembre, sans changement, s'intitulera désormais Back Home, "afin d'éviter toute confusion sur le contenu du film".

Cannes 2013 : la 1ère Assemblée des Cinéastes s’interroge sur la production indépendante

Posté par kristofy, le 19 mai 2013

Assemblee cineastesLe thème de la 1e assemblée des cinéastes était "Comment faire des films indépendants aujourd’hui ?" et chacun a évoqué les différentes démarches possibles pour trouver un financement pour produire un film.

Rien de bien nouveau : ce sont les habituelles sources qui ensemble forment une coproduction. La question était en fait mal formulée à la base, rien n’empêche vraiment de produire des films indépendants et c’est souvent même plus facile que des films à gros budgets. Du coup le débat était biaisé et sans véritable dialogue.

Le panel de cinéastes (réalisateurs et producteurs) réunis était lui bien trouvé, tous d’âge et de pays différents : Raoul Peck (parrain du pavillon du monde), Joachim Trier, Costa Gavras, Anurag Kashyap (dont on a vu Ugly à la Quinzaine), et Amat Escalante (dont on a vu Heli en compétition).

Extraits choisis :

- Raoul Peck : Quel que soit le pays, préserver l’œuvre que l’on a en tête est un combat ou au moins une tension. Aux Etats-Unis, le dénommé "cinéma indépendant" n’est pas si indépendant que ça quand on regarde ses sources de financement, et on peut y voir des exigences parfois communes à celles des films de studios. En France il y a plusieurs types de cinémas qui vivent ou survivent en parallèle, et la question de l’utilisation de fonds publics est posée.

- Costa Gavras : Le système français est en grand danger actuellement. Il fonctionne sur les mots "exception culturelle". [Une pétition de plus de 5000 signatures est d'ailleurs adressée aux députés européens pour défendre les principes de l’exception culturelle.] C’est l’Etat qui prend en main le financement de la Culture, dont le cinéma. Ce système est actuellement mis en cause dans les négociations commerciales entre les Etats-Unis et l’Europe. Les autorités politiques françaises sont avec nous cinéastes, mais ce n’est pas le cas de beaucoup de pays européens. En Corée ils avaient établis un système de quotas de jours d’exploitation de films coréens, et alors il y a eu un vrai cinéma coréen intéressant qui a d’ailleurs circulé à travers le monde. Cet accord a ensuite été revu à la baisse sous l’influence américaine, et du coup le nombre de films produits en Corée a baissé car moins de possibilité d’être distribué face à la part de marché grandissante des films américains.

- Joachim Trier : J’ai réalisé deux films en Norvège, c’est presque la banlieue de l’Europe. On a une tradition cinématographique plutôt récente, avec depuis environ une quinzaine d’années un système d’aide à la promotion de notre cinéma. Pour l’indépendance, il faut simplement distinguer l’argent bon à prendre et l’argent qui va nuire au projet. Tout dépend de la source ou des partenaires. On peut aussi baratiner des financiers comme on peut le faire avec des acteurs parfois, les faire s’engager sur le projet et puis faire de toute façon le film que l’on veut au final.

- Anurag Kashyap : Le contexte indien est spécifique, avec environ 1000 films produits chaque année et une part de marché de 90% environ. La liberté est de faire le film que l’on veut. On ne peut travailler de façon libre que s'il y a peu d’argent en jeu. Par exemple, il m’arrive de choisir des nouveaux visages dans la rue pour beaucoup de rôles. Il faut rester fidèle à ce que l’on veut faire. L’étape suivante est que le film soit vu par des spectateurs, avec un de mes films je me suis rendu compte qu’il n’intéressait pas le public indien mais par contre beaucoup plus le public des autres pays.

- Amat Escalante : Au Mexique, il n’y a pas vraiment de cinéma indépendant face à un autre cinéma, tous nos films sont indépendants en quelque sorte, surtout vis-à-vis du cinéma américain. Aujourd’hui au Mexique, il y a un nouveau système de taxes, des entreprises peuvent verser 10% de leurs impôts à un fond pour le cinéma, c’est plutôt bien. Pour mettre en route mon film Heli ça m’a pris 5 ans passés à envoyer mon scénario à différents endroits pour obtenir des fonds.

Isabelle Huppert, Gabriel Byrne et Jesse Eisenberg dans le prochain film de Joachim Trier

Posté par vincy, le 11 mai 2013

Joachim Trier a décidé de changer de catégorie pour son troisième film. Après le très beau Nouvelle donne et le succès critique et le bel accueil public pour Oslo, 31 août, le cinéaste norvégien a enrôlé Isabelle Huppert, Gabriel Byrne et Jesse Eisenberg (The Social Network) pour son projet Louder than Bombs (Plus fort que les bombes), coproduction française. Casting international et tournage hors Norvège puisqu'il aura lieu cet automne, entre les USA et l'Allemagne.

Selon les informations du Film Français, Isabelle Huppert incarnera une photographe de guerre très célèbre dont la mort fera ressurgir du passé un secret enfoui trop longtemps. Gabriel Byrne jouera son mari et Jesse Eisenberg son fils.

Il fera sans doute parti des prétendants pour la compétition cannoise en 2014.

Rencontres Henri Langlois 2012 : cinéma des Balkans, effets spéciaux, et premiers pas des cinéastes de demain

Posté par MpM, le 8 octobre 2012

Les grandes lignes des 35e Rencontres Henri Langlois sont désormais connues. Pour son édition 2012, qui se tiendra du 30 novembre au 9 décembre, le festival international des Ecoles de cinéma a ainsi choisi de mettre en lumière le cinéma "des Balkans à la mer noire", autrement dit des œuvres venues de Bulgarie, Croatie, Roumanie et Serbie, le tout sous le parrainage du cinéaste croate Rajko GRLIC.

Par ailleurs, la compétition de courts métrages demeure le cœur de la manifestation. Après avoir visionné 1343 films, le comité de sélection en a retenu 41, venant de 22 pays et représentant 34 écoles des cinq continents. Les cinéastes qui viendront défendre leur premier film à Poitiers marchent sur les traces d'auteurs aujourd'hui reconnus comme Andreas Dresen (Septième ciel), Joachim Trier (Oslo, 31 août), Na Hong-Jin (The Murderer) ou encore Pascale Ferran (Lady Chatterley), tous sélectionnés aux Rencontres Henri Langlois par le passé. On a vu pire filiation...

Pour compléter ce programme déjà très alléchant, la traditionnelle Leçon de cinéma (consacrée cette année aux effets spéciaux), plusieurs séances spéciales, des avant-premières, un fil rouge sur la musique de films et la célébration de l'anniversaire de l'INSAS (Institut national supérieur des Arts du spectacle et des techniques de diffusion) sont d'ores et déjà prévus, sans oublier les rencontres entre public et réalisateurs qui ont fait le succès de la manifestation.

Comme chaque année depuis 2007, Ecran Noir est partenaire du festival et vous fera vivre ses principaux temps forts dès le 30 novembre.

Saint-Jean-de-Luz dévoile sa sélection

Posté par vincy, le 19 septembre 2011

11 films seront en compétition pour le 16e Festival des Jeunes Réalisateurs de Saint-Jean-de-Luz (11-15 octobre), dédié aux premiers et deuxièmes films. L'ouverture, hors compétition, révélera le nouveau film de Mélanie Laurent, Les adoptés, tandis que la clôture se fera avec Forces spéciales, le film attendu de Stéphane Rybojad, avec Diane Kruger et Benoît Magimel.

On notera une grande variété de style parmi les films en compétition. Certains ont été sélectionnés dans d'autres festivals comme Poulet aux prunes en compétition à Venise ou Oslo, 31 août, vu à Un certain regard à Cannes.

Une bouteille à la mer de Thierry Binisti (Diaphana), avec Agathe Bonitzer et Hiam Abbass
De force de Franck Henry (Rezo films), avec Isabelle Adjani et Eric Cantona
En secret de Maryam Keshavarz (Ad Vitam), avec Nikohl Boosheri, prix du public à Sundance
Louise Wimmer de Cyril Mennegun (Haut et court), avec Corinne Masiero et Jérôme Kircher, sélectionné à Venise
Émilie Jolie de Francis Nielsen et Philippe Chatel (Gebeka Films), film d'animation
On the Ice de Andrew Okpeaha MacLean (Memento), avec Frank Qutuq Irelan, primé à Belrin et sélectionné à Sundance
Bullhead (Rundskop) de Michael R.Roskam (Ad Vitam), avec Matthias Schoenaerts, sélectionné à Berlin
Poulet aux prunes de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud (Le Pacte), avec Mathieu Amalric et Edouard Baer, en compétition à Venise
L'amour et rien d'autre (Über uns das All) de Jan Schomburg (Sophie Dulac), avec Sandra Hüller et Georg Friedrich, prix Label Europa Cinemas à Berlin
Oslo, 31 août de Joachim Trier (Memento), avec Anders Borchgrevink, sélectionné à Un Certain Regard à Cannes
JC comme Jésus Christ de Jonathan Zaccaï (Mk2), avec Aure Atika et Elsa Zylberstein

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Site internet de la manifestation

Rencontres Henri Langlois : florilège de films d’école

Posté par MpM, le 5 décembre 2008

Dvd 30 ans de films d’écoleLes Rencontres internationales Henri Langlois, dont la 31e édition commence ce soir, célébraient leurs 30 ans en 2007. Pour fêter l’événement, la manifestation consacrée aux films de fin d’étude a réalisé un DVD proposant une sélection des films primés depuis le milieu des années 90. L’occasion de (re)découvrir les premières œuvres de cinéastes qui, depuis, ont fait leur chemin. Ainsi Susanne Seidel, animatrice et responsable effets visuels sur le dernier long métrage de Jacques-Rémy Girerd (Mia et le Migou), qui présentait en 2004 les mésaventures amoureuses d’un crapaud tombé amoureux d’une grenouille… en plastique (Pantoffelhelden). Joliment animé, avec un vrai sens du détail et pas mal d’humour. La même année, Vladmir Kott (La mouche) remportait un certain succès avec La porte, une fable burlesque et poétique sur les fardeaux à porter et les portes à ouvrir. Enfin, Joachim Trier et son complice Eskil Vogt (Nouvelle donne) signaient en 2002 un court appelé Procter dans lequel la vie d’un homme bascule brutalement quand il assiste au suicide de son voisin par auto-immolation. Un film très sobre qui distille froidement malaise et inquiétude. A voir aussi, Overtime de Oury Atlan, Thibaud Berland et Damien Ferrié, sur de petites créatures confrontées à la mort de leur créateur, Lili et le loup de Florence Henrard, un détournement malicieux du célèbre Pierre et le loup, Skröltormar de Halfsteinn Gunnar Sigurdsson, une histoire de bottes et de crocodile sur un ton purement islandais… soit un florilège réussi d’œuvres qui méritent le détour ! En attendant la promotion 2008, à suivre sur Ecran Noir dès la semaine prochaine.

Nouvelle donne, à l’heure norvégienne

Posté par MpM, le 11 juin 2008

L’équipe de Nouvelle donne

A l'occasion de la sortie de Nouvelle donne, premier long métrage norvégien bourré d'énergie, Ecran Noir a rencontré une partie de la joyeuse équipe du film. Au fond, Joachim Trier (le réalisateur) et Anders Danielsen Lie (qui interprète le personnage de Phillip), au premier plan Eskil Vogt (coscénariste et ami d'enfance de Joachim) et Espen Klouman Hoiner (Erik). Ne manque que la très charmante Viktoria Winge (Kari), arrivée plus tard. A lire, l'entretien accordé par les deux auteurs et le point de vue des acteurs sur le film.
Le soir même Malavida films organisait une avant-premère parisienne au goût de saumon, sur une péniche parisienne. Tout le casting était présent. Joachim Trier évoquait son émotion à l'avant veille de la sortie de son film à Paris. Nouvelle donne, qui date de 2006 dans son pays d'origine, découvert au Festival des films nordiques de Rouen et acquis l'an dernier à Cannes par l'équipe de Malavida, se déroule en partie à Paris et rend explicitement hommage à la Nouvelle Vague. Manière de boucler l'aventure en beauté de ce premier film.

Photo : Claire Fayau.