10e collaboration pour Vincent Cassel et Monica Bellucci

Posté par vincy, le 15 août 2010

Ils s'étaient rencontrés sur L'appartement, de Gilles Mimouni, sorti en 1996. Depuis, huit films ont ponctué leurs filmographies respectives : Doberman, Embrasse-moi Pasqualino! (1997), Le plaisir (et ses petits tracas) (1998), Méditerranées (1999), Le pacte des loups (2001), Irréversible (2002), Agents secrets (2004) et Sheitan (2006). Autant dire que c'est la plus longue pause, ponctuée par deux enfants, pour le couple à l'écran.

Vincent Cassel et Monica Bellucci seront à l'affiche d'une comédie romantique de Kim Shapiron (le récent Dog Pound, mais aussi Sheitan, qu'avait produit Cassel).  Le film, sans titre, se tournera au Brésil l'an prochain. Le Carnaval de Rio servira de décor.

Pour Vincent Cassel, le planning est déjà très chargé. On le verra dans Notre jour viendra de Romain Gavras, à la rentrée. Black Swan, de Darren Aronosky fera l'ouverture du festival de Venise. Il a déjà tourné au printemps les nouveaux films de David Cronenberg (A Dangerous Method) et Dominik Moll (Le moine). Il va commencer le prochain film d'Andrew Niccol (The Cross). Et il enchaînera avec la grosse production de Christopher Gans, Fantomas.

Monica Bellucci est à l'affiche de L'Apprenti Sorcier, qui vient de sortir dans les salles françaises. The Whistleblower, de Larysa Kondracki, doit sortir d'ici la fin de l'année.

Venise 2010 : Aronofsky et Bruce Lee se partagent la soirée d’ouverture

Posté par MpM, le 24 juillet 2010

natalie portman black swanFinalement, ce n'est pas un film, mais deux, qui ouvriront la 67e Mostra de Venise. En effet, en début de soirée, Black Swan de Darren Aronofsky (lion d'or en 2008 avec The Wrestler), un thriller psychologique situé dans l'univers du ballet, lancera les festivités en présence (on l'espère) de son très beau casting féminin : Natalie Portman, Mila Kunis et Winona Ryder. Vincent Cassel, lui, pourrait ne pas faire le déplacement.

Dans un second temps, les festivaliers découvriront  en avant-première mondiale Legend of the Fist: The Return of Chen Zen, un film d'arts martiaux signé Andrew Lau et réunissant Donnie Yu et Shu Qi. L'occasion pour le Festival de célébrer le 70ème anniversaire de la naissance de Bruce Lee qui avait lui-même interprété Chen Zen (personnage créé par le romancier hongkongais Ni Kuang) en 1972 dans La fureur de vaincre.

Une double ouverture prestigieuse à l'image d'un festival qui s'annonce extrêmement riche en événements, en films ultra-attendus et en stars. Après une sélection cannoise en demi-teinte, Venise avait une carte à jouer... et semble ne pas l'avoir laissée passer. On attend avec impatience le 29 juillet pour savoir qui rejoindra les déjà retenus Anton Corbijn, Sofia Coppola, Johnnie To, Julian Schnabel et François Ozon dans la course au Lion d'or.

Vincent Cassel : de Dominik Moll à David Cronenberg

Posté par vincy, le 11 mars 2010

vincent casselOn devrait le voir à Cannes avec le prochain film de Darren Aronofksy, Le Cygne noir, un thriller avec Natalie Portman.

Entre temps, Vincent Cassel va commencer à tourner, à la mi-avril et pour 3 mois, Moine, l'adaptation du roman gothique de Matthew Lewis. Dominik Moll (Intimité, Harry, un ami qui vous veut du bien, Lemming), qui n'a rien tourné depuis 2005, sera derrière la caméra.

Dans cette tragédie, Vincent Cassel interprétera le frère capucin Ambrosio, aux cotés de  Deborah François, Géraldine Chaplin et Sergi López. Produit par Diaphana pour 11-12 millions d'euros, le film se déroule à Madrid en plein âge d'or espagnol, au début du XVIIe siècle. La musique est signée Alberto Iglesias et la direction artistique Antxon Gomez, qui ont travaillé tous deux pour le Che de Soderbergh et Etreintes brisées d'Almodovar.

Plus hypothétique, il semblerait que le trio David Cronenberg - Viggo Mortensen - Vincent Cassel (Les promesses de l'ombre) se reforme pour un nouveau projet. Il s'agirait d'un film autour de Sigmund Freud, le créateur de la psychanalyse, intitulé The Talking Cure. On y met du conditionnel puisque ce projet devait être dédié à Christoph Waltz, récent Oscar du meilleur second rôle masculin pour son personnage jouissif d'Inglourious Basterds, mais son emploi du temps se surcharge (trois films à venir). Mortensen reprendrait le rôle. Le casting serait complété par Michael Fassbender (en Carl Jung) et Keira Knightley (en patiente et amante). Tournage prévu à partir de mai.

Cassel aura le temps d'aller à Cannes?

Lancôme s’offre le visage de Julia Roberts

Posté par vincy, le 6 décembre 2009

Uma Thurman chez Givenchy, Jude Law chez Dior ou Vincent Cassel chez Yves Saint-Laurent : c'est assez classique de voir une star de cinéma devenir le promoteur d'un parfum. L'Oréal et autres faiseurs de cosmétiques se payent même le luxe d'un casting mondialisé.

Lancôme, filiale de l'Oréal d'ailleurs, a souvent utilisé ce procédé pour lancer des lignes de produits de beauté (on se souvient tous d'Isabella Rossellini vantant le charme sucré de Trésor). Lancôme exploite actuellement les visages de Kate Winslet, Anne Hathaway, Juliette Binoche et Clive Owen.

Désormais, elle s'offre (our un prix confidentiel mais certainement très élevé) Julia Roberts comme ambassadrice "globale" de l'ensemble de la maison, c'est-à-dire de toute les marques. Roberts, qui sera hiérachiquement au dessus de tous les autres, agira comme un porte-parole du groupe.

Les qualificatifs employés par la société sont évidemment des superlatifs : "femme emblématique de son temps", talent exceptionnel et convictions bien trempées", "sublime". Et riche : elle gagne entre 10 et 13 millions d'euros par films.

On ignore pour l'instant comment sera traduit ce nouveau "poste" et la durée du contrat. En attendant on retrouvera Julia Roberts sur les grands écrans dans Valentine's Day, prévu dans toutes les salles en février prochain.

Jeu concours du 7 au 17 juin : des places pour Les lascars

Posté par MpM, le 8 juin 2009

lascars.jpgOui, l'animation française se porte bien ! Lascars, joyeuse farce potache signée Albert Pereira Lazaro et Emmanuel Klotz, l'a confirmé à Cannes le mois dernier. Cette adaptation pour le cinéma de sketches diffusés à la télévision a en effet connu un joli succès lors de sa présentation en séance spéciale à la Semaine de la critique.

Clairement destiné à un public ado-adulte, le film met en scène des losers attachants aux prises avec les pires galères (trafics divers, porno, argent facile... ) qui deviennent autant de sujets de gags. Côté voix, ce sont entre autres Vincent Cassel, Gilles Lelouche, Diane Kruger et Frédérique Bel qui s'y collent.

A l'occasion de la sortie du film le 17 juin prochain, Ecran Noir vous fait gagner cinq invitations pour deux personnes. Pour participer, il suffit de répondre à la question suivante :

 Question : Quel est le nom de la cité où Tony et sa bande zonent ?

Les gagnants seront tirés au sort parmi les bonnes réponses, à nous adresser par e-mail en indiquant votre nom, votre email et votre adresse postale.

César : Richet, Cassel, Mesrine

Posté par MpM, le 28 février 2009

Vincent Cassel"Je me sens gai, léger, joyeux, ému, et un peu fatigué", commente Vincent Cassel juste après avoir reçu le César du meilleur interprète masculin pour son rôle dans le diptyque Mesrine de Jean-françois Richet, lui-même couronné du prix du meilleur réalisateur. "On est tendu avant, puis il y a cette décharge d'émotion... et maintenant j'ai surtout envie d'aller boire un verre !"

En recevant son prix, l'acteur a remercié Claude Berri, "mais pas pour les mêmes raisons que les autres", puisque c'est le fils du producteur décédé, Thomas Langmann, qui a produit les deux Mesrine, ainsi  que sa famille, et a rendu un joli hommage à son père Jean-Pierre Cassel en diffusant un extrait du Farceur de Philippe de Broca. "C'est un des films les moins connus de de Broca", explique-t-il. "En le voyant, j'ai compris pourquoi mon père a marqué son époque en dansant !"

De son travail sur le film de Richet, il ne garde que des bons souvenirs. "On est très vite tombé d'accord sur ce qu'on voulait faire. La direction d'acteur, de la part de Jean-François, consistait surtout dans la manière dont il me regardait. Je voyais tout de suite si j'étais dans le ton ou pas."

"J'arrivais le matin avec une idée, je la lui proposais, et souvent il trouvait mieux", confirme le réalisateur pour qui "tous les films sont des miraculés", y compris le sien, tellement il est aujourd'hui difficile d'en faire.

Vincent Cassel, qui devrait enchaîner un nouveau projet avec Christophe Ganz, confie qu'il n'a eu aucun mal à quitter le personnage de Mesrine. "Je ne suis pas un acteur qui souffre, moi. Je m'arrange pour retourner le plus vite possible à ce que je suis. Ce métier, c'est une source de plaisir : je m'amuse à faire l'acteur, donc du coup c'est facile." Le comédien pourrait à nouveau s'amuser avec jean-François Richet, sur un nouveau diptyque que le cinéaste a en tête. "J'ai déjà une idée du rôle, encore un personnage historique..."

César : dans les coulisses

Posté par MpM, le 27 février 2009

Entre ennui et exaltation, les coulisses de cette 34e édition des César bruissent de mille bruits à l'approche de l'ouverture de la cérémonie. Comme ils n'ont pas grand chose d'autre à faire, les journalistes font connaissance dans le fameux Studio A où, d'ici quelques minutes, défileront les heureux lauréats. Un écran de contrôle donne un aperçu de la salle du théâtre du chatelet. Vide, puis se remplissant peu à peu. Les flashs crépitent et chez les journalistes, le jeu commence. "C'est qui, elle ?", "Tiens, Sandrine Bonnaire et Diane Kruger ont des nattes !", "Et Vincent et Monica, qu'est-ce qu'ils ont ?" C'est vrai que le couple le plus glamour du cinéma français, Vincent Cassel et Monica Bellucci (nos Brad-Angelina à nous), n'a pas l'air dans son assiette. Mince, il y a donc une vie, banale et complexe, en dehors de l'écran ?

La temps de se poser la question, la cérémonie est déjà commencée, sous le signe des hommages. Hommage à Georges Cravenne, bien sûr, le fondateur des César, mais aussi à Claude Berri, par le biais du discours de la présidente Charlotte Gainsbourg (citant le mot de Coluche). Hommage enfin à la comédie musicale, grâce à Antoine de Caunes, animateur de la soirée, chargé de sa bonne cohérence autant que de l'ambiance. Ca commence en musique et avec des entrechats, comme un signe de flamboyance, de rythme, et d'allégresse...

Les Etoiles d’or ne vexent personne…

Posté par vincy, le 9 février 2009

Personne n'a été oublié au Palmarès des 12e Etoiles d'or (voir aussi l'actualité d'hier). Cependant, chaque vote semble assez cohérent et nous paraîtrait même comme un palmarès idéal pour le cinéma français en 2008.

Meilleur film : Entre les murs ; Meilleur réalisateur : Arnaud Desplechin (Un conte de noël) ; Meilleur scénario : Le premier jour du reste de ta vie

Meilleurs premiers films ex-aequo : Versailles et L'Apprenti ; Meilleur documentaire : Les plages d'Agnès

Meilleur premier rôle féminin : Yolande Moreau (Séraphine) ; Meilleur premier rôle masculin : Vincent Cassel (Mesrine) ; Révélation féminine : Nora Arnezeder (Faubourg 36) ; Révélation masculine : Tomer Sisley (Largo Winch)

Meilleur compositeur de musique originale de film : Reinhardt Wagner (Faubourg 36)

Meilleur producteur : Carole Scotta et Caroline Benjo (Haut et court) ; Meilleur distributeur : François Ivernel (Pathé)

Le dilemme des récompenses posthumes

Posté par vincy, le 25 janvier 2009

ledger_williams_oscarsHeath Ledger dans la catégorie second rôle masculin aux Oscars, Guillaume Depardieu en lice pour le César du meilleur acteur... deux comédiens "cultes" cités de manière posthume. Ce n'est pas une première.

Peter Finch avait été récompensé par un Oscar du meilleur acteur en 1977. Sa veuve était venue chercher la statuette. De nombreux artistes - le scénariste Sidney Howard, le chef opérateur Conrad Hall, le musicien Bernard Herrmann - ont reçu des nominations posthumes aux Oscars. Edward G. Robinson et Audrey Hepburn ont même été primés par un Oscar humanitaire quelques mois après leur décès. Le cas le plus connu est évidemment James Dean, décédé en 1955 et cité aux Oscars de 1956 et 1957.

Les César ne sont pas en reste. Jean Gabin fut césarisé d'honneur en 1987, après sa mort. De même Gérard Philipe en 1990, en guise d'hommage. Serge Gainsbourg fut primé en 1996 pour la musique d'Elisa, et Geoffrey Unsworth ne pu jamais recevoir son César pour la photo de Tess en 1980.

Le dilemme est double : la récompense est-elle un hommage déguisé et donc fausse-t-elle l'intention du collège électoral? Qui peut s'approprier dignement un tel prix? Si, par exemple, Cassel, archi-favori, perd contre Guillaume Depardieu, n'y verra-t-on pas un subterfuge?

Pour Heath Ledger, il semble que les producteurs ont déjà tout prévu. L'ex-compagne de l'acteur, l'actrice Michelle Williams, et leur fille, Matilda, pourraient monter sur scène s'il gagne l'Oscar. Pour Michelle Williams, la victoire serait d'autant plus amère, qu'elle figurait parmi les favorites dans la catégorie actrice pour sa performance dans Wendy and Lucy. Elle n'a finalement pas été nommée.

On voit mal Christopher Nolan, le réalisateur du film pour lequel il est cité, Batman The Dark Knight, aller chercher l'Oscar. Lui a été clairement snobbé par l'Académie, alors que nombreux sont ceux qui considèrent ce Batman comme l'un des meilleurs films de l'année.

D'autres solutions s'offent aux producteurs : les parents de l'acteur, Christian Bale ou le producteur du film.

Aux César, si Guillaume Depardieu l'emporte sur Vincent Cassel, le clan Depardieu devrait faire l'affaire. Le père, la mère, la soeur. Mais la tradition française, qui déteste tant l'émotion pré-fabriquée, est de convier sur scène, en cas d'absence, le réalisateur, Pierre Schöller, ou le producteur du film (Géraldine Michelot). Le problème se posera surtout s'il ne gagne pas : comment ne pas faire doublon en cas de victoire, ne pas le passer sous silence en cas de défaite? La grande classe serait que Carax, Salvadori et Rivette viennent juste parler de lui...

Que ce soit le 22 février aux Oscars ou le 27 février aux César, cette année, les soirées glamour seront hantées par des fantômes.

14e Cérémonie des Lumières : le cinéma francophone sous les projecteurs

Posté par MpM, le 20 janvier 2009

Jeanne Balibar et Laurent CantetHollywood a ses Golden Globes, Paris a ses Lumières. Pour entamer la saison des récompenses cinématographiques 2009, les journalistes étrangers en poste dans la capitale remettaient lundi 19 janvier les 14e Prix Lumières du cinéma francophone. Sous la présidence de l’actrice Jeanne Balibar (ci-contre avec Laurent Cantet), ravissante et pleine d’humour, la cérémonie s’est déroulée dans une ambiance particulièrement décontractée en présence d’un parterre de stars. Emmanuelle Devos, Bruno Todeschini,  Sophie Guillemin, Elodie Bouchez ou encore Jonathan Zaccaï ont ainsi défilé sur scène pour remettre les fameuses "panthères d’or" qui, d’après Vincent Cassel, ressembleraient plutôt à des jaguars...  De son côté, la journaliste Estelle Martin (TV5 Monde) a fait face avec amusement et naturel aux inévitables contretemps, des  élèves d’Entre les murs qui ne voulaient plus quitter le buffet du cocktail aux photographes qui n’en finissaient plus de shooter Anna Mouglalis ou Nora Arnezeder.  Qui a dit que ce genre de cérémonie est forcément ennuyeuse et guindée ?!

SéraphinePour ce qui est des récompenses en elles-mêmes, peu de surprises. Laurent Cantet a logiquement reçu le Prix du meilleur film (ainsi que celui du Public mondial TV5Monde) pour Entre les murs, Yolande Moreau (ici avec Bruno Todeschini) a été sacrée meilleure actrice pour Séraphine de Martin Provost et Vincent Cassel (ci-dessous avec Emmanuelle Devos) meilleur acteur pour le diptyque Mesrine par Jean-François Richet. On retrouvera probablement les mêmes noms aux Etoiles d’or (les prix de la presse française) le 9 février prochain (ils sont tous les trois dans la liste des finalistes) et dans les nominations aux César qui seront annoncées à la fin du mois.

Vincent Cassel et Emmanuelle DevosPeut-être plus inattendu, c’est François Dupeyron (ci-dessous avec Elodie Bouchez) qui obtient le titre de meilleur réalisateur pour Aide-toi, le ciel t’aidera,(devant Laurent Cantet, Arnaud Desplechin, Martin Provost et Jean-François Richet) et Samuel Benchetrit (J’ai toujours rêvé d’être un gangster) celui de meilleur scénariste. Les Lumières des meilleurs espoirs sont quant à eux allés à Nora Arnezeder (Faubourg 36 de Christophe Barratier), qui bat la grande favorite Léa Seydoux (La Belle Personne de Christophe Honoré), et à Mohamed Bouchaïb (Mascarades de Lyes Salem). Enfin, les frères Dardenne remportent le prix du Meilleur film francophone (hors de France) pour Le silence de Lorna (face à Faro, la reine des eaux de Salif Traoré, Rumba de Dominique Abel, Fiona Gordon, Bruno Romy, Home d’Ursula Meïer et Johnny Mad Dog de Jean-Stéphane Sauvaire ), la "classe la plus célèbre de France" bénéficie d’une François Dupeyronnomination spéciale pour Entre les murs et Agnès Godard (directrice de la photographie de Claire Denis, Catherine Corsini, Noémie Lvovsky….) est distinguée par le Prix spécial de la Commission supérieure technique de l’image et du son pour l’ensemble de son œuvre.

La soirée a également été l’occasion de regarder vers le passé, avec des hommages à deux grands disparus du cinéma français, Claude Berri et Guillaume Depardieu, et vers l’avenir, avec la projection de deux courts métrages : On the train de Barnabas Toth et Toi que j’eusse aimée d’Emmanuel Broussouloux.

 Crédit photo : Régis d'Audeville.