Isabelle Huppert chez Anne Fontaine et Ira Sachs

Posté par vincy, le 15 février 2018

huppertOn la verra au cinéma le 7 mars dans Eva de Benoît Jacquot, avec Gaspard Ulliel, qui est en compétition à Berlin. Isabelle Huppert vient d'être confirmée dans deux prochains films. Blanche comme neige d'Anne Fontaine sera une comédie érotique inspirée du conte des frères Grimm, Blanche neige et les sept nains.

Cette co-production Gaumont/Mandarin/Cine @, annoncée par Variety à l'occasion du marché du film de Berlin, rassemblera Benoît Poelvoorde, Lou de Laâge, Vincent Macaigne, Charles Berling, Jonathan Cohen, Damien Bonnard (Rester vertical) et Pablo Pauly (nommé cette année aux Césars pour Patients).

De Laâge incarnera Claire, une jeune belle femme qui travaille dans l'hôtel de son père, décédé, et qui doit aussi gérer sa diabolique belle-mère Maud, interprétée par Huppert. La jalousie de cette dernière s'accentue quand son amant tombe amoureux de sa belle fille, qu'elle expédie dans une ferme lointaine. Elle fera la rencontre de sept princes...

Le tournage débutera en avril.

En octobre Isabelle Huppert tournera dans le septième film d'Ira Sachs, A Family Vacation, qui réunit Marisa Tomei, Greg Kinnear, Jérémie Renier et André Wilms.

Le tournage de cette production SBS (Elle) se déroulera au Portugal. Il s'agit d'un drame autour de trois générations d'une famille, dont la vie va être bousculée un jour où ils visitent la ville historique de Sintra (près de Lisbonne).

Ira Sachs avait remporté le Grand prix à Deauville pour Brooklyn Village en 2016 et le Grand prix du jury à Sundance pour Forty Shades of Blue en 2005.

François Ozon enrôle Jacqueline Bisset et Jérémie Renier

Posté par vincy, le 22 décembre 2016

François Ozon s'offre une nouvelle icône du cinéma pour son prochain film: Jacqueline Bisset (Bullitt, Le Magnifique). L'actrice britannique francophone et francophile sera entourée de Jérémie Renier, qui a déjà été filmé par Ozon dans Les amants criminels en 1999 puis Potiche en 2010, et Marine Vacth qu'il avait révélé avec Jeune et Jolie en 2013.

L’Amant Double s'annonce comme un thriller érotique. Le tournage débute en cette fin d'année. Mandarin assure la production, comme pour la plupart des films de Ozon depuis Potiche.

Pour Bisset, c'est un retour au cinéma français. L'actrice, née en 1944, n'avait pas joué dans un film hexagonal depuis Les Gens qui s'aiment de Jean-Charles Tacchella en 2000. Elle vient de tourner un film d'action autour du 11 septembre 2001, Nine eleven de Martin Guigui et le thriller politique Backstabbing for Beginners, avec Theo James, du danois Per Fly. Bisset a reçu une nomination aux César pour La cérémonie de Claude Chabrol, il y a 20 ans, comme second-rôle féminin.

Les Magritte 2015 partagent ses prix entre les Dardenne, Belvaux et Coninx

Posté par kristofy, le 9 février 2015

marion cotillard deux jours une nuit

Pour sa cinquième édition, la cérémonie des Magritte, l'équivalent des César pour les films belges francophones, a récompensé les deux films belges qui ont eu à la fois un succès critique et public aussi bien en Belgique qu'en France : 3 prix pour Deux jours, une nuit des frères Jean-Pierre et Luc Dardenne (meilleur film, meilleure réalisation, et meilleur acteur pour Fabrice Rongione) et 3 prix pour Pas son genre de Lucas Belvaux (meilleur scénario, meilleure actrice pour Emilie Dequenne, et meilleur son). A noter également 3 prix pour Marina de Stijn Coninx (meilleur film flamand, meilleurs décors, meilleurs costumes), d'ailleurs coproduit par les Dardenne.

Deux jours, une nuit et Pas son genre étaient les favoris avec chacun 8 nominations. Dans les catégories reines (meilleur film, réalisateur, scénario...), les mêmes films étaient en concurrence : Deux jours, une nuit de Jean-Pierre Dardenne et Luc Dardenne, Pas son genre de Lucas Belvaux, Henri de Yolande Moreau et La marche de Nabil Ben Yadir.

Un Magritte d'Honneur a également été remis à Pierre Richard. L'immense comédien français a souvent joué sous la direction de réalisateurs belges comme La partie d’échec d’Yves Hanchar (1994) et Les âmes de papier (2013) de Vincent Lannoo, présent aux côtés de Julie Gayet, également à l'affiche du film.

Par le jeu des co-productions franco-belges les Magritte sont aussi en correspondance avec les Césars.
Le jeune Marc Zinga a vécu lui une belle année 2014. Couronné par le Magritte du meilleur espoir masculin pour son rôle dans Les rayures du zèbre de Benoît Mariage, il est également nominé au César du meilleur espoir masculin mais pour son autre film de l'année Qu'Allah bénisse la France et il a été choisi pour jouer un rôle de méchant face à 007 dans le prochain James Bond, Spectre.
Magritte du meilleur acteur dans un second rôle pour Jérémie Renier (Saint Laurent) est dans la même catégorie au César. Idem dans la catégorie de scénario pour Lucas Belvaux et Pas son genre.
Pour le César de la meilleure actrice, on retrouvera Émilie Dequenne dans Pas son genre face cette fois à Marion Cotillard (Deux jours, une nuit). Le Magritte du meilleur court métrage a récompensé La bûche de Noël de Stéphane Aubier et Vincent Patar, également en lice pour le César du meilleur court d'animation.

Voici le palmarès pour les principales catégories :

Meilleur film : Deux jours, une nuit de Jean-Pierre et Luc Dardenne
Meilleurs réalisation : Jean-Pierre et Luc Dardenne pour Deux jours, une nuit
Meilleure actrice : Emilie Dequenne dans Pas son genre de Lucas Belvaux (était aussi nominées Déborah François dans Maestro, et Pauline Etienne dans Tokyo fiancée qui sort chez nous le 4 mars)
Meilleur acteur : Fabrice Rongione dans Deux jours, une nuit de Jean-Pierre et Luc Dardenne (révélé avec Emilie Dequenne dans Rosetta des Dardenne, et présent dans leurs films suivants L'enfant, Le silence de Lorna, Le gamin au vélo ; était aussi nominé Benoît Poelvoorde dans Les rayures du zèbre )
Meilleure actrice dans un second rôle : Lubna Azabal dans La marche de Nabil Ben Yadir (était aussi une nouvelle fois nominée Christelle Cornil pour Deux jours, une nuit et qui avait eu ce prix en 2011 pour Illegal)
Meilleur acteur dans un second rôle : Jérémie Renier dans Saint Laurent (il avait reçu déjà ce même prix pour Potiche de François Ozon)
Meilleur espoir féminin : Ambre Grouwels dans Baby Balloon de Stefan Liberski
Meilleur espoir masculin : Marc Zinga dans Les rayures du zèbre de Benoît Mariage
Meilleur scénario : Lucas Belvaux pour Pas son genre
Meilleure image : Manu Dacosse pour L'étrange couleur des larmes de ton corps de Hélène Cattet, Bruno Forzani (égaelement directeur de la photographie de Alléluia de Fabrice Du Welz)
Meilleur montage : Damien Keyeux pour La Marche de Nabil Ben Yadir
Meilleurs décors : Hubert Pouille pour Marina de Stijn Coninx
Meilleurs costumes : Catherine Marchand pour Marina de Stijn Coninx
Meilleur son : Henri Morelle et Luc Thomas pour Pas son genre de Lucas Belvaux
Meilleure musique originale : Soldout (David Baboulis et Charlotte Maison) pour Puppylove de Delphine Lehericey
Meilleur documentaire : Quand je serai dictateur de Yaël André (produit par Morituri)
Magritte du premier film : Je te survivrai de Sylvestre Sbille
Meilleur film étranger en coproduction : Minuscule, la vallée des fourmis perdues de Hélène Giraud et Thomas Szabo (était nominé aussi Une promesse de Patrice Leconte)
Meilleur film flamand : Marina de Stijn Coninx
Meilleur court métrage : La bûche de Noël de Stéphane Aubier et Vincent Patar (était nominé aussi En attendant le dégel de Sarah Hirtt)
A noter que le Magritte du meilleur premier film est lui le résultat du vote du public, et est allé à Je te survivrai de Sylvestre Sbille (avec Jonathan Zaccaï, déjà sorti en France le 28 mai). Les aléas de la distribution en salles sont parfois mystérieux, et c'est le moment de mettre ici en avant un autre premier belge qui était d'ailleurs éligible dans cette catégorie : Puppylove de Delphine Lehericey, qui d'ailleurs figure au palmarès avec un Magritte de la meilleure musique originale (par le duo Soldout). Le film est sorti en mai 2014 en Belgique, mais toujours pas en France alors que les acteurs principaux sont pourtant les français Solène Rigot, Audrey Bastien et Vincent Perez. Le film développe la rencontre entre deux filles très différentes de manière plus subtile que La vie d'Adèle et Respire de Mélanie Laurent (dont les actrices prétendent à un César meilleur espoir féminin que Solène Rigot aurait elle aussi mérité), en voici la bande-annonce :

L’instant Glam’: Julie Gayet, Gaspard Ulliel, Léa Seydoux, Eva Longoria, Salma Hayek, Freida Pinto……

Posté par cynthia, le 17 mai 2014

salma hayek cannes 2014Oyé oyé, cinéphiles! Des nénés, des hommes, de la classe et de la finesse, voilà le quatrième sur la croisette. Il fait toujours chaud (ça nous change de l'année dernière), les stars se dénudent toujours autant, il y a toujours du glamour et des fautes de goûts, bref la routine cannoise en somme.

L'actrice Julie Gayet semblait être heureuse de monter les marches cette année vêtue de sa robe noire transparente. Et ce n'est pas ses tétons qui nous disaient bonsoir qui diront le contraire. Aurait-elle confondue la chambre de François Hollande avec la Croisette dans cette nuisette? A ses côtés, le chanteur Mika est (vu les motifs de son costume) tombé nu dans un vide ordure et s'est couvert avec un sac poubelle pour venir à Cannes. On espère qu'il a pris une douche avant de venir tout de même.

En ce jour, il y avait un peu plus d'hommes à Cannes...et quels hommes! Gaspard Ulliel, venu présenté Saint- Laurent, a fait trembler les marches de ses yeux bleus (de Chanel?). On peut en dire autant de son partenaire Jérémie Renier extrêmement sexy dans son costard. On aurait même envie de jouer aux clodettes avec lui en plein tapis rouge tiens. Ces derniers étaient accompagnés de la sublime Léa Seydoux et de sa robe verte vertigineuse signée Prada. Voilà une actrice de chez nous qui sait s'habiller pour une grande occasion. Merci Léa (si je peux me permettre de t'appeler par ton prénom), tu remontes l'estime du cinéma français à Cannes. La mannequin/actrice Aymeline Valade avait aussi de la classe. Vêtu d'un costard noir et d'un noeud papillon, la jeune fille a mérité sa place parmi le classement des 40 femmes les plus chics. Chic c'est ce qu'était également Roman Polanski qui, du haut de son mètre...50...60...bon aller 65, a frôlé les marches de Cannes fièrement (vu son talent il peut). Autre homme au regard de braise à grimper vers le Palais, l'écossais James McAvoy qui a irradié le public, ainsi que sa somptueuse partenaire Jessica Chastain, par sa prestance.

Côté prestance, Eva Longoria, la desperate housewife préférée des français, n'avait rien à lui envier. La bomba latina a arpenté le tapis rouge tout en finesse avec une robe bustier blanche de Gabriela Cadena. Finesse était également le maître mot de ce quatrième jour. La robe rose bonbon, limite fushia, tout en légèreté de Salma Hayek nous le montre bien. Salma qui en a profité pour passer un message sur le tapis rouge en brandissant une pancarte annotée du célèbre slogan " #Bring back our girls".  Voilà une femme qui malgré les strass et les paillettes n'oublie pas le reste du monde.

Pendant ce temps, l'actrice indienne Freida Pinto arborait un look Black Swan avec une robe à plume. Robe jolie certes, mais un peu trop "Angry Birds" pour l'occasion. On espère que les cuistots de la croisette ne la confonde pas avec le poulet prévu pour le dîner. Ce look serait-il en rapport avec la présence de toute l'équipe de Hunger Games 3? Bah vous savez le geai moqueur! En parlant de moqueur, on pourrait rire de l'équipe du film Run. Les acteurs sont arrivés sur la croisette en tenue de civil. Jean, chaussures de ville, on se serait cru à l'épreuve du bac mais pas au Festival de Cannes.

Ah c'est sûr, Cannes continue et se fait de plus en plus à la bonne franquette chaque jour. On a hâte d'en voir plus!

Berlin 2013 : YSL contre Yves Saint Laurent

Posté par vincy, le 10 février 2013

Berlin a lancé la guerre entre les deux projets. Les couvertures des magazines professionnels annoncent la couleur avec, au choix, le film de Bertrand Bonello, Saint-Laurent, et celui de Jalil Lespert, Yves Saint-Laurent.

Le film de Bonello (voir actualité du 16 mai 2012) affiche d’ores et déjà un casting de stars : Gaspard Ulliel dans le rôle de Saint-Laurent, Jeremie Rénier dans celui de Pierre Berger et Léa Seydoux dans celui de Loulou de la Falaise. Olga Kurylenko est également en négociations.

Le projet de Lespert, porté par SND (filiale du groupe M6), a l’imprimatur de Pierre Bergé, le compagnon du styliste. Les droits du film se sont déjà vendus dans toute l’Europe. Le scénario a été écrit par Marie-Pierre Huster et le cinéaste ont apparemment fait la différence auprès des acheteurs. Le casting était forcément moins vendeur que le projet rival avec Pierre Niney dans le rôle d’YSL (la ressemblance est étonnante), Guillaume Gallienne, Moritz Bleibtreu et Charlotte Le bon. Le film coûtera 12 millions d’euros.
Tout cela rappelle la bataille des deux films sur Coco Chanel.

Jérémie Renier, Audrey Fleurot et Bouli Lanners tournent La confrérie des larmes

Posté par vincy, le 9 novembre 2012

Jean-Baptiste Andrea, scénariste de Hellphone et réalisateur de Big Nothing et Dead End, a rassemblé un joli casting pour son nouveau film, La confrérie des larmes : Jérémie Renier (Le gamin au vélo, Cloclo), Audrey Fleurot (Intouchables) et Bouli Lanners (qui passe d'Audiard à Kervern et Delépine).

Le tournage a débuté hier, le 8 novembre. Modeste production de 6 millions d'euros, le film, qui sera distribué par Rezo Films, a été coécrit par le cinéaste et Gael Maury. L'histoire est celle d'un flic au chômage qui élève seul son gosse et à qui on propose de transporter une mallette pleine de cash. Il croise des gens étranges dans des lieux bizarres. Au fur et à mesure, son instinct de flic reprend le dessus.

Cabourg 2012 : Swann d’Or pour Laurence Anyways de Xavier Dolan

Posté par kristofy, le 17 juin 2012

Le 26ème Festival du Film de Cabourg a doublement récompensé le film Laurence Anyways de Xavier Dolan avec le Grand Prix du Jury et aussi le Prix de la Jeunesse ; un Swann d’or d’honneur a aussi été remis à Vanessa Paradis.

Voici le palmarès des Swann d'Or du Festival du Film de Cabourg 2012 :

- Grand Prix du Festival de Cabourg 2012: Laurence Anyways de Xavier Dolan

- Prix de la Jeunesse: Laurence Anyways de Xavier Dolan

- Prix du public: Ma bonne étoile de Anne Fassio

- Swann d’Or d’honneur : Vanessa Paradis

- Swann d’Or de la meilleure actrice: Léa Seydoux dans Les adieux à la reine de Benoît Jacquot et dans L’enfant d’en haut de Ursula Meier

- Swann d’Or du meilleur acteur: Jérémie Rénier dans Cloclo de Florent Emilio Siri

- Swann d’Or du meilleur réalisateur: Robert Guédiguian pour Les neiges du Kilimandjaro

- Swann d’Or du meilleur film : De rouille et d’os de Jacques Audiard (avec Thomas Bidegain pour le scénario)

- Swann d’Or de la Révélation féminine : Soko dans Bye bye Blondie de Virginie Despentes

- Swann d’Or de la Révélation masculine : Pierre Niney dans J’aime regarder les filles de Frédéric Louf

- Swann Coup de cœur : Corinne Masiero pour Louise Wimmer de Cyril Menneguin

- Swann d’Or du meilleur compositeur : Alex Beaupain

-Meilleur court-métrage : Les navets blancs empêchent de dormir de Rachel Lang

-Meilleure actrice court-métrage : Sophia Leboutte pour A new old story d'Antoine Cuypers

-Meilleur acteur court-métrage : Sébastien Houbani pour La tête froide de Nicolas Mesdom

Par ailleurs les Prix Premiers Rendez-Vous qui récompense les débuts à l’écran d’une actrice et d’un acteur dans un  premier grand rôle ont été donné à Abraham Belaga dans Une bouteille à la mer de Thierry Binisti et à Fleur Lise dans Ma bonne étoile de Anne Fassio.

Les Géants et Bullhead se partagent les prix Magritte

Posté par vincy, le 5 février 2012

Les Magritte du cinéma belge, 2e clap, l'équivalent de nos Césars, ont couronné Les Géants, de Bouli Lanners, qui avait fait la clôture de la Quinzaine de réalisateurs en mai dernier à Cannes. Le film a remporté cinq Magritte, dont celui de meilleur film et de meilleur réalisateur.

Les Magritte sont censés récompensé le cinéma belge francophone. Le gamin au vélo aurait pu ainsi prétendre à de nombreux prix. Mais c'est un film flamand, cofinancé avec des producteurs francophones, Bullhead, qui a été l'autre grand vainqueur de la soirée d'hier, présidée par Bertrand Tavernier. Le film a récolté quatre prix et sera présent aux Oscars dans la catégorie meilleur film en langue étrangère.

Le film des Dardenne n'est reparti qu'avec le prix du meilleur espoir masculin tandis que Lubna Azabal a reçu celui de la meilleure actrice pour le film québécois Incendies. Les émotifs anonymes, de Jean-Piere Améris, a été distingué comme meilleur film étranger en coproduction. Et le belge Jérémie Rénier n'a pas été oublié en fils à maman de Potiche, comme second rôle masculin. Enfin Nathalie Baye a reçu un Magritte d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.

Le palmarès:

Les géants : film, réalisateur (Bouli Lanners), second rôle féminin (Gwen Berrou), image, musique (Bram Van Parys (The Bony King of Nowhere))

Bullhead : film flamand, scénario, acteur (Matthias Schoenaerts), montage

La fée : son, costumes

Les émotifs anonymes : film étranger

Incendies : actrice (Lubna Azabal)

Potiche : second rôle masculin (Jérémie Rénier)

Elle ne pleure pas, elle chante : espoir féminin (Erika Sainte)

Le gamin au vélo : espoir masculin (Thomas Doret)

Quartier lointain : décors

Dimanches : court métrage

LoveMEATender : documentaire

Jérémie Renier incarne Philibert, coeur d’artichaut

Posté par vincy, le 14 août 2010

On en est sait un peu plus sur Philibert (voir actualité du 21 mai). Les équipes sont en tournage à Prague (République Tchèque). Le film de cape et d'épée revu par Sylvain Fusée dure deux mois et demi, avec Jérémie Renier, Manu Payet, Elodie Navarre et Alexandre Astier. Il sortira dans les salles le 6 avril 2011. Doté d'un budget correct (12 millions d'euros), la production de Mandarin Cinéma et Gaumont espère réédité le succès de leurs versions d'OSS 117.

Il s'agit de l'histoire d'un fils aîné dont le père cultive des artichauts dans la Bretagne de 1550. Mais ce jeune homme candide, idéaliste, il croit en son avenir radieux, voulant devenir le roi de l'artichaut. Il croit aussi au grand et unique amour que Dieu lui amènera. Il est puceau. Attend le mariage. Mais quand son père meurt, il apprend qu'il a un autre géniteur. Le vrai paternel est i, gentilhomme assassiné par un Bourguignon très lâche, avec une tache de vin sur le cou. Avec son valet très "Scapin", Philibert va se confronter au monde réel, fait de luxure et d'immoralités. Ils partent en Bourgogne.

Cannes 2010 : Philibert, parodie de film de cape et d’épée

Posté par vincy, le 21 mai 2010

Les producteurs de Mandarin Cinéma nous avait régalé avec les parodies de films d'espionnage grâce à l'anti-héros OSS 117. Les voici lancés à l'assaut de la parodie de film de cape et d'épée avec leur nouveau projet, Philibert. "De la comédie de détournement." Le scénario est signé Jean-François Halin (OSS 117) et Karine Angeli (Brice de Nice). On y retrouvera Jérémie Rénier dans le rôle titre mais aussi Alexandre Astier (le méchant) et Manu Payet (le servant).  Le budget reste humble (12 millions d'euros). Il sera tourné par Sylvain Fusée (l'émission Groland), dont ce sera le premier long métrage, cet été pour une sortie prévue en avril 2011.